Le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'Rakech, a demandé la contribution des banques pour aider financièrement les entreprises, notamment les PME, non seulement pour leur mise à niveau, mais également pour aplanir les difficultés inhérentes aux importations. Le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'Rakech, a demandé la contribution des banques pour aider financièrement les entreprises, notamment les PME, non seulement pour leur mise à niveau, mais également pour aplanir les difficultés inhérentes aux importations. La chute de 15 % du volume des importations de l'Algérie durant le mois d'août montre l'incapacité des opérateurs économiques à pouvoir augmenter leurs activités importatrices comme dans le passé. Certains chefs d'entreprise et responsables d'organisations patronales estiment que l'instauration du crédit documentaire (Credoc) constitue un frein pour les importations de biens et d'équipements. Ainsi, le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'Rakech, a demandé la contribution des banques pour aider financièrement les entreprises, notamment les PME, non seulement pour leur mise à niveau, mais également pour aplanir les difficultés inhérentes aux importations. Ce constat démontre, donc, la baisse du niveau des importations de l'Algérie durant le mois d'août qui ont connu, selon le centre de documentation d'information et des statistiques des douanes, une courbe descendante chiffrée à près de 15 % en termes de montant financier en passant à 2,9 milliards de dollars en août 2010, contre 3,4 milliards de dollars pendant la même période l'année 2009. Les données chiffrées du CNIS font état de baisses importantes de deux groupes de produit, à savoir les biens d'équipements avec une diminution de l'ordre de 26,25 %, passant à 1 milliard de dollars contre 1,46 milliard de dollars l'année précédente. Quant aux biens de consommation non alimentaires, ils ont aussi subi une réduction nette en matière d'importations puisqu'elles sont tombées à moins de 25,76 % en totalisant 490 millions de dollars contre 660 millions de dollars en 2009. Les statistiques du CNIS montrent que cinq produits classés dans le groupe des biens d'équipement ont enregistré une baisse, en ce sens que les produits sanitaires tel que la robinetterie, ont connu donc une chute de l'ordre de 38 % alors que les importations de véhicules de transport public de voyageurs et de marchandises ont également dégringolé atteignant moins de 24 %. S'agissant des bulldozers et des pompes à air, ces deux produits ont chuté respectivement de 20 et 17 %. De nombreux entrepreneurs privés ne sont pas en mesure de prendre en charge les importations par le biais du Credoc dont ils jugent la procédure bancaire lente. Ils estiment aussi que le montant de 2 millions DA auquel ils ont droit sans passer par le Credoc pour l'acquisition de biens d'importation n'est pas suffisant pour optimiser leurs importations et leurs imputs nécessaires au fonctionnement de leurs usines et unité de production. Tandis que les importations du thé et du café ont baissé de plus de 51 %, les autres produits alimentaires ont connu une hausse significative durant le mois d'août au point où les importations de sucre et produits dérivés ont grimpé de près de 58 %, les légumes secs (45%), les produits laitiers (21 %), les viandes (15%) et les semoules, céréales et farines (plus de 18%). Cela s'explique, notamment, par la surconsommation de produits alimentaires de large consommation pendant le mois sacré du Ramadhan. La chute de 15 % du volume des importations de l'Algérie durant le mois d'août montre l'incapacité des opérateurs économiques à pouvoir augmenter leurs activités importatrices comme dans le passé. Certains chefs d'entreprise et responsables d'organisations patronales estiment que l'instauration du crédit documentaire (Credoc) constitue un frein pour les importations de biens et d'équipements. Ainsi, le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'Rakech, a demandé la contribution des banques pour aider financièrement les entreprises, notamment les PME, non seulement pour leur mise à niveau, mais également pour aplanir les difficultés inhérentes aux importations. Ce constat démontre, donc, la baisse du niveau des importations de l'Algérie durant le mois d'août qui ont connu, selon le centre de documentation d'information et des statistiques des douanes, une courbe descendante chiffrée à près de 15 % en termes de montant financier en passant à 2,9 milliards de dollars en août 2010, contre 3,4 milliards de dollars pendant la même période l'année 2009. Les données chiffrées du CNIS font état de baisses importantes de deux groupes de produit, à savoir les biens d'équipements avec une diminution de l'ordre de 26,25 %, passant à 1 milliard de dollars contre 1,46 milliard de dollars l'année précédente. Quant aux biens de consommation non alimentaires, ils ont aussi subi une réduction nette en matière d'importations puisqu'elles sont tombées à moins de 25,76 % en totalisant 490 millions de dollars contre 660 millions de dollars en 2009. Les statistiques du CNIS montrent que cinq produits classés dans le groupe des biens d'équipement ont enregistré une baisse, en ce sens que les produits sanitaires tel que la robinetterie, ont connu donc une chute de l'ordre de 38 % alors que les importations de véhicules de transport public de voyageurs et de marchandises ont également dégringolé atteignant moins de 24 %. S'agissant des bulldozers et des pompes à air, ces deux produits ont chuté respectivement de 20 et 17 %. De nombreux entrepreneurs privés ne sont pas en mesure de prendre en charge les importations par le biais du Credoc dont ils jugent la procédure bancaire lente. Ils estiment aussi que le montant de 2 millions DA auquel ils ont droit sans passer par le Credoc pour l'acquisition de biens d'importation n'est pas suffisant pour optimiser leurs importations et leurs imputs nécessaires au fonctionnement de leurs usines et unité de production. Tandis que les importations du thé et du café ont baissé de plus de 51 %, les autres produits alimentaires ont connu une hausse significative durant le mois d'août au point où les importations de sucre et produits dérivés ont grimpé de près de 58 %, les légumes secs (45%), les produits laitiers (21 %), les viandes (15%) et les semoules, céréales et farines (plus de 18%). Cela s'explique, notamment, par la surconsommation de produits alimentaires de large consommation pendant le mois sacré du Ramadhan.