Dès la rentrée, les membres de la commission se sont montrés intransigeants sur les erreurs commises par certains gestionnaires n'ayant pas suivi à la lettre les orientations du premier responsable du secteur. Ainsi donc, il a été relevé que des élèves ont été éjectés du système scolaire bien avant l'âge requis, bien que la réglementation leur garantisse la scolarité jusqu'à l'âge de seize ans. Dès la rentrée, les membres de la commission se sont montrés intransigeants sur les erreurs commises par certains gestionnaires n'ayant pas suivi à la lettre les orientations du premier responsable du secteur. Ainsi donc, il a été relevé que des élèves ont été éjectés du système scolaire bien avant l'âge requis, bien que la réglementation leur garantisse la scolarité jusqu'à l'âge de seize ans. La commission dépêchée par le ministre de l'Education nationale à travers la wilaya d'El-Tarf est à pied-d'œuvre depuis une quinzaine de jours. Elle s'est installée dans la daïra de Dréan. Elle a achevé jeudi dernier ses travaux. Selon le rapport établi, la wilaya n'enregistre pas de problèmes cruciaux pouvant entraver la rentrée scolaire. Néanmoins, notons que les membres ont eu pour rôle de superviser la rentrée scolaire qui a débuté le 13 de ce mois. Elle a amorcé ses travaux par le regroupement de tous les directeurs des collèges d'enseignement moyen et lycées. Dès le début de la rentrée, les membres de la commission se sont montrés intransigeants sur les erreurs commises par certains gestionnaires n'ayant pas suivi à la lettre les orientations du premier responsable du secteur, Benbouzid. Ainsi donc, il a été relevé que des élèves ont été éjectés du système scolaire bien avant l'âge requis, bien que la réglementation leur garantisse la scolarité jusqu'à l'âge de seize ans. En outre, le président de la commission, qui semble connaître les problèmes auxquels se heurte la wilaya, a rappelé aux gestionnaires des CEM et établissements secondaires l'obligation de veiller sur la disponibilité des enseignants et le recrutement de suppléants afin que les jeunes potaches ne se heurtent pas au manque d'enseignants dès le début de la rentrée. Dans son intervention, le secrétaire général a essayé de remettre les pendules à l'heure en déclarant que la wilaya d'El-Tarf ne compte pas d'élèves exclus, au contraire les élèves sont favorisés dans ce sens. S'agissant du livre scolaire, la wilaya dispose, selon le directeur du CRDDP, d'un quota appréciable pouvant satisfaire tous les élèves scolarisés ainsi que les démunis. Pour la wilaya, elle a annoncé qu'elle enregistre cette année scolaire 2010-2011 un surplus de livres. Notons au passage que les élèves du primaire ainsi que ceux de la première année moyenne recevront un nouveau manuel de langue française. Plusieurs autres sujets non de moindre importance ont été, en outre, abordés au cours de ce conclave de rentrée scolaire. Une rentrée amorcée par un premier couac des intendants bien que le ministre, lors de la dernière rencontre avec les directeurs d'éducation, ait précisé que «ce dossier est clos». L'on se demande comment alors pouvoir distribuer les livres sachant que les directeurs gestionnaires n'ont pas cette prérogative de la vente et de la distribution des livres. Apparemment, toutes les insuffisances constatées sur le terrain ont été relevées surtout le manque de personnel encadreurs et du corps commun. Plusieurs établissements n'ont pas pu ouvrir les cantines vu l'insuffisance criante d'agents et de cuisiniers qualifiés. Ces derniers sont largement sollicités dans les fêtes en particulier les mariages et refusent de travailler dans le secteur public. La commission dépêchée par le ministre de l'Education nationale à travers la wilaya d'El-Tarf est à pied-d'œuvre depuis une quinzaine de jours. Elle s'est installée dans la daïra de Dréan. Elle a achevé jeudi dernier ses travaux. Selon le rapport établi, la wilaya n'enregistre pas de problèmes cruciaux pouvant entraver la rentrée scolaire. Néanmoins, notons que les membres ont eu pour rôle de superviser la rentrée scolaire qui a débuté le 13 de ce mois. Elle a amorcé ses travaux par le regroupement de tous les directeurs des collèges d'enseignement moyen et lycées. Dès le début de la rentrée, les membres de la commission se sont montrés intransigeants sur les erreurs commises par certains gestionnaires n'ayant pas suivi à la lettre les orientations du premier responsable du secteur, Benbouzid. Ainsi donc, il a été relevé que des élèves ont été éjectés du système scolaire bien avant l'âge requis, bien que la réglementation leur garantisse la scolarité jusqu'à l'âge de seize ans. En outre, le président de la commission, qui semble connaître les problèmes auxquels se heurte la wilaya, a rappelé aux gestionnaires des CEM et établissements secondaires l'obligation de veiller sur la disponibilité des enseignants et le recrutement de suppléants afin que les jeunes potaches ne se heurtent pas au manque d'enseignants dès le début de la rentrée. Dans son intervention, le secrétaire général a essayé de remettre les pendules à l'heure en déclarant que la wilaya d'El-Tarf ne compte pas d'élèves exclus, au contraire les élèves sont favorisés dans ce sens. S'agissant du livre scolaire, la wilaya dispose, selon le directeur du CRDDP, d'un quota appréciable pouvant satisfaire tous les élèves scolarisés ainsi que les démunis. Pour la wilaya, elle a annoncé qu'elle enregistre cette année scolaire 2010-2011 un surplus de livres. Notons au passage que les élèves du primaire ainsi que ceux de la première année moyenne recevront un nouveau manuel de langue française. Plusieurs autres sujets non de moindre importance ont été, en outre, abordés au cours de ce conclave de rentrée scolaire. Une rentrée amorcée par un premier couac des intendants bien que le ministre, lors de la dernière rencontre avec les directeurs d'éducation, ait précisé que «ce dossier est clos». L'on se demande comment alors pouvoir distribuer les livres sachant que les directeurs gestionnaires n'ont pas cette prérogative de la vente et de la distribution des livres. Apparemment, toutes les insuffisances constatées sur le terrain ont été relevées surtout le manque de personnel encadreurs et du corps commun. Plusieurs établissements n'ont pas pu ouvrir les cantines vu l'insuffisance criante d'agents et de cuisiniers qualifiés. Ces derniers sont largement sollicités dans les fêtes en particulier les mariages et refusent de travailler dans le secteur public.