Les Verts reprennent le travail au CTN    Lotfi Amrouche, nouvel entraîneur    Complexe de transformation et de production de fertilisants à Oued Keberit    Merad préside la cérémonie d'installation du nouveau wali de Mascara    Match Algérie-Libéria : mesures organisationnelles pour faciliter l'accès des supporteurs au Stade de Tizi Ouzou    Annaba : ouverture du Salon national du miel    upe d'Algérie de cyclisme 2024/cadets : Abdallah Allal et Hadjer Bousbaa couronnés    Des milliers de personnes manifestent à Madrid pour réclamer l'autodétermination du peuple sahraoui    Le rôle de l'association des Ouléma dans la préservation de l'identité nationale durant la période coloniale mis en avant à Djanet    Loi de finances 2025: le Premier ministre saisit la Cour constitutionnelle sur la constitutionnalité de certains amendements    Faid : des réformes en 2025 pour améliorer le recouvrement fiscal    Sommet de la jeunesse africaine en Ethiopie: une opportunité de plaider pour les différentes questions concernant l'Afrique (Hidaoui)    Belaribi inspecte l'avancement des travaux de réalisation du nouveau siège du ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville    L'OMS condamne l'attaque sioniste contre le Centre de défense civile au Liban    70e anniversaire du déclenchement de la Révolution : un parcours révolutionnaire jalonné d'étapes phares    Agression contre Ghaza : la vice-Première ministre de Belgique appelle à des sanctions de l'UE contre l'entité sioniste    AG élective de la Fédération algérienne des luttes associées : Hamza Doghdogh réélu à la tête de la FALA    Alger : 13 blessés suite au dérapage d'un bus de transport de personnel    SILA 2024: conférence à Alger sur l'écriture et la transmission de l'histoire    L'Algérie appelle à une refonte du système international actuel de lutte contre le terrorisme    L'UNRWA dénonce le vote «scandaleux» du Parlement sioniste interdisant ses activités    Saisie de plus de 2 quintaux de viande blanche avariée à Bendaoud    Plusieurs quartiers et cités privés d'eau depuis hier dans la commune d'El Matmar    Deux septuagénaires escroqués à Bir El Ater : un suspect arrêté et condamné    Le président de la République supervise la cérémonie de la 52e édition de la finale    Inter-régions : Le RC Relizane règle ses dettes envers la LNFA    La mise en place prochaine d'une société néocoloniale en France    Les valeurs humaines et spirituelles de l'Emir Abdelkader mises en avant    Des professionnels de l'édition se penchent sur l'industrie du livre et l'économie culturelle    Un scénario macabre No pasarán !    Algérie-Grande Bretagne: rencontre à la Chambre des Lords sur le partenariat bilatéral    Séminaire régional de formation au profit d'agents de vulgarisation agricole    Sortie de la 4e promotion d'agents de police    Ami de la Révolution algérienne Villar Raphaël Luc n'est plus    Le projet de loi de Finances pour l'année 2025 adopté par l'APN    Répondre aux préoccupations quotidiennes des citoyens    L'Algérie happée par le maelström malien    Un jour ou l'autre.    En Algérie, la Cour constitutionnelle double, sans convaincre, le nombre de votants à la présidentielle    Tunisie. Une élection sans opposition pour Kaïs Saïed    Algérie : l'inquiétant fossé entre le régime et la population    BOUSBAA بوصبع : VICTIME OU COUPABLE ?    Des casernes au parlement : Naviguer les difficiles chemins de la gouvernance civile en Algérie    Les larmes de Imane    Algérie assoiffée : Une nation riche en pétrole, perdue dans le désert de ses priorités    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    Pôle urbain Ahmed Zabana: Ouverture prochaine d'une classe pour enfants trisomiques    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Le Conseil de sécurité préoccupé
Prises d'otage et financement des groupes terroristes
Publié dans Le Midi Libre le 29 - 09 - 2010

Le président du Conseil de sécurité a réaffirmé l'obligation faite aux Etats membres de ''prévenir et de réprimer le financement d'actes terroristes et d'ériger en infraction la fourniture ou la collecte délibérée, par leurs nationaux ou sur leur territoire, par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, de fonds que l'on prévoit d'utiliser, ou dont on sait qu'ils seront utilisés, pour perpétrer des actes de terrorisme''.
Le président du Conseil de sécurité a réaffirmé l'obligation faite aux Etats membres de ''prévenir et de réprimer le financement d'actes terroristes et d'ériger en infraction la fourniture ou la collecte délibérée, par leurs nationaux ou sur leur territoire, par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, de fonds que l'on prévoit d'utiliser, ou dont on sait qu'ils seront utilisés, pour perpétrer des actes de terrorisme''.
Le Conseil de sécurité a exprimé, lundi soir, sa préoccupation concernant les opérations de prises d'otage et sur l'utilisation de ce moyen par les groupes terroristes pour obtenir des financements. ''Le Conseil se déclare préoccupé par la multiplication des enlèvements et des prises d'otages dans certaines régions du monde et dans un contexte politique particulier dans le but de lever des fonds ou d'obtenir des concessions politiques'', a indiqué la déclaration présidentielle approuvée par la réunion du Conseil de sécurité consacrée à la lutte contre le terrorisme, dont plusieurs membres étaient représentés au niveau ministériel dont la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton. En outre, il a réaffirmé l'obligation faite aux Etats membres de ''prévenir et de réprimer le financement d'actes terroristes et d'ériger en infraction la fourniture ou la collecte délibérée, par leurs nationaux ou sur leur territoire, par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, de fonds que l'on prévoit d'utiliser, ou dont on sait qu'ils seront utilisés, pour perpétrer des actes de terrorisme''. Concernant les opérations de prise d'otage précisément, le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et du Commonwealth du Royaume-Uni, William Hague, a affirmé, lors de cette réunion, qu'en se basant sur l'expérience de son propre pays, il était clairement prouvé que ''le paiement de rançon a non seulement permis le financement du terrorisme, mais a aussi encouragé davantage les prises d'otages''.
Drogue, blanchiment d'argent et trafic d'armes
Par ailleurs, le Conseil a réitéré sa préoccupation que lui inspirent ''les liens de plus en plus étroits que le terrorisme entretient, dans bien des cas, avec la criminalité transnationale organisée, la drogue illicite, le blanchiment d'argent et le trafic d'armes'' et a souligné qu'il convient de mieux coordonner l'action menée aux échelons national, sous-régional, régional et international afin de renforcer la riposte mondiale face à ce grave problème. Le Conseil a noté, avec préoccupation, que le terrorisme reste une grave menace pour la paix et la sécurité internationales et compromet la stabilité et la prospérité mondiales, une menace devenue plus diffuse du fait de la multiplication, dans diverses régions du monde, des actes de terrorisme inspirés notamment par l'intolérance et l'extrémisme, le Conseil a ainsi exprimé sa détermination à combattre cette menace. Il a condamné le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations, réaffirmé que tout acte de terrorisme est criminel et injustifiable, en réaffirmant également que ''le terrorisme ne saurait être associé à aucune religion ou nationalité, ni à aucun groupe ethnique''. Le Conseil, tout en étant conscient des importants progrès accomplis, a reconnu qu'il restait des insuffisances à combler dans la lutte mondiale contre le fléau du terrorisme. Il a exhorté tous les Etats membres et le système des Nations unies à remédier à ces insuffisances et a souligné la nécessité de veiller à ce que la lutte contre le terrorisme demeure une priorité à l'échelon international. Le Conseil a réaffirmé ''l'importance de toutes ses résolutions et déclarations sur le terrorisme rappelant notamment ses résolutions 1373 (2001) et 1624 (2005), ainsi que les autres instruments internationaux de lutte contre le terrorisme'', et a souligné qu'ils devaient être pleinement mis en œuvre, et a lancé un appel en faveur d'une coopération accrue à cet égard.
Adhésion aux conventions internationales
Le Conseil a appelé, à nouveau, tous les Etats membres à adhérer d'urgence aux conventions et protocoles internationaux relatifs à la lutte antiterroriste, qu'ils soient ou non parties à une convention régionale sur la matière, et à s'acquitter pleinement des obligations qui leur incombe en vertu des instruments auxquels ils sont parties. Il a appelé à nouveau les Etats à renforcer leur coopération et leur solidarité, notamment par le biais d'arrangements et d'accords bilatéraux et multilatéraux visant à prévenir et à réprimer les attentats terroristes, et les a encouragés à renforcer leur coopération aux niveaux régional et sous-régional, en particulier par l'intermédiaire de mécanismes régionaux et sous-régionaux et grâce à une meilleure coordination sur le plan opérationnel. Il a condamné, une fois de plus, dans les termes les plus vigoureux, l'incitation à commettre des actes de terrorisme et toute tentative pour justifier ou glorifier des actes de terrorisme susceptibles d'inciter à commettre d'autres actes de terrorisme et a reconnu qu'il importait que les Etats membres coopèrent pour empêcher les terroristes d'exploiter les technologies, moyens de communication et ressources disponibles pour inciter à appuyer des actes de terrorisme. Le Conseil a estimé que les sanctions sont un outil important de lutte contre le terrorisme, et est resté résolu à faire en sorte qu'il soit institué des procédures équitables et claires pour l'inscription d'individus et d'entités sur les listes des comités des sanctions et leur radiation de ces listes, ainsi que pour l'octroi d'exemptions pour raisons humanitaires et a rappelé, dans ce contexte, ses résolutions 1822 (2008) et 1904 (2009), y compris la désignation d'un médiateur et d'autres aménagements d'ordre procédural apportés au régime des sanctions contre Al-Qaida et les Taliban. Il a rappelé ce que les entités des Nations unies et leurs organes subsidiaires font pour aider les Etats membres à renforcer leurs capacités techniques et autres de lutte contre le terrorisme, tout en soulignant que certains Etats membres n'avaient pas les moyens d'appliquer les résolutions du Conseil concernant la lutte contre le terrorisme et des questions connexes et a noté, avec préoccupation, que les groupes terroristes et autres organisations criminelles cherchent à exploiter ces défaillances. Le Conseil a souligné à cet égard qu'il importait d'aider les Etats à se donner les moyens nécessaires en leur fournissant l'assistance technique voulue pour donner effet aux résolutions, et a encouragé les Etats à faire tout leur possible pour mener à bien les négociations sur le projet de convention générale sur le terrorisme international.
Menaces sur la sécurité internationale
Il est à rappeler que le conseiller auprès du Président de la République, Kamel Rezag Bara, avait mis en garde récemment à New York sur la grave menace pesant sur la sécurité internationale du phénomène de prises d'otages par les groupes terroristes suivie de demandes de rançons et d'élargissement de terroristes en contrepartie de la libération d'otages, appelant à la mise en place de procédures de rappel à l'ordre contre les Etats qui ne respecteraient pas leurs engagements. Intervenant dans le cadre de la deuxième revue par l'Onu de la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme tenue au début du mois en cours, à travers le panel consacré au thème ''La rançon comme moyen de financement du terrorisme'', Rezag Bara avait avisé la communauté internationale qu'outre une médiatisation importante des opérations de kidnapping, les terroristes exercent par ce procédé, une pression sur les pays d'origine des otages. A ce propos, il avait regretté qu'en cédant au chantage, ces Etats ne font qu'encourager les groupes terroristes à persévérer dans leurs activités criminelles : ''Certains de ces pays semblent, en tout cas, obéir à la seule sécurité de leurs ressortissants, sachant l'usage que fait le terrorisme des rançons récoltées pour le financement de leurs activités criminelles, notamment en termes d'acquisition d'armements, de capacité de recrutement et de moyens logistiques sophistiqués.''
Le Conseil de sécurité a exprimé, lundi soir, sa préoccupation concernant les opérations de prises d'otage et sur l'utilisation de ce moyen par les groupes terroristes pour obtenir des financements. ''Le Conseil se déclare préoccupé par la multiplication des enlèvements et des prises d'otages dans certaines régions du monde et dans un contexte politique particulier dans le but de lever des fonds ou d'obtenir des concessions politiques'', a indiqué la déclaration présidentielle approuvée par la réunion du Conseil de sécurité consacrée à la lutte contre le terrorisme, dont plusieurs membres étaient représentés au niveau ministériel dont la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton. En outre, il a réaffirmé l'obligation faite aux Etats membres de ''prévenir et de réprimer le financement d'actes terroristes et d'ériger en infraction la fourniture ou la collecte délibérée, par leurs nationaux ou sur leur territoire, par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, de fonds que l'on prévoit d'utiliser, ou dont on sait qu'ils seront utilisés, pour perpétrer des actes de terrorisme''. Concernant les opérations de prise d'otage précisément, le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et du Commonwealth du Royaume-Uni, William Hague, a affirmé, lors de cette réunion, qu'en se basant sur l'expérience de son propre pays, il était clairement prouvé que ''le paiement de rançon a non seulement permis le financement du terrorisme, mais a aussi encouragé davantage les prises d'otages''.
Drogue, blanchiment d'argent et trafic d'armes
Par ailleurs, le Conseil a réitéré sa préoccupation que lui inspirent ''les liens de plus en plus étroits que le terrorisme entretient, dans bien des cas, avec la criminalité transnationale organisée, la drogue illicite, le blanchiment d'argent et le trafic d'armes'' et a souligné qu'il convient de mieux coordonner l'action menée aux échelons national, sous-régional, régional et international afin de renforcer la riposte mondiale face à ce grave problème. Le Conseil a noté, avec préoccupation, que le terrorisme reste une grave menace pour la paix et la sécurité internationales et compromet la stabilité et la prospérité mondiales, une menace devenue plus diffuse du fait de la multiplication, dans diverses régions du monde, des actes de terrorisme inspirés notamment par l'intolérance et l'extrémisme, le Conseil a ainsi exprimé sa détermination à combattre cette menace. Il a condamné le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations, réaffirmé que tout acte de terrorisme est criminel et injustifiable, en réaffirmant également que ''le terrorisme ne saurait être associé à aucune religion ou nationalité, ni à aucun groupe ethnique''. Le Conseil, tout en étant conscient des importants progrès accomplis, a reconnu qu'il restait des insuffisances à combler dans la lutte mondiale contre le fléau du terrorisme. Il a exhorté tous les Etats membres et le système des Nations unies à remédier à ces insuffisances et a souligné la nécessité de veiller à ce que la lutte contre le terrorisme demeure une priorité à l'échelon international. Le Conseil a réaffirmé ''l'importance de toutes ses résolutions et déclarations sur le terrorisme rappelant notamment ses résolutions 1373 (2001) et 1624 (2005), ainsi que les autres instruments internationaux de lutte contre le terrorisme'', et a souligné qu'ils devaient être pleinement mis en œuvre, et a lancé un appel en faveur d'une coopération accrue à cet égard.
Adhésion aux conventions internationales
Le Conseil a appelé, à nouveau, tous les Etats membres à adhérer d'urgence aux conventions et protocoles internationaux relatifs à la lutte antiterroriste, qu'ils soient ou non parties à une convention régionale sur la matière, et à s'acquitter pleinement des obligations qui leur incombe en vertu des instruments auxquels ils sont parties. Il a appelé à nouveau les Etats à renforcer leur coopération et leur solidarité, notamment par le biais d'arrangements et d'accords bilatéraux et multilatéraux visant à prévenir et à réprimer les attentats terroristes, et les a encouragés à renforcer leur coopération aux niveaux régional et sous-régional, en particulier par l'intermédiaire de mécanismes régionaux et sous-régionaux et grâce à une meilleure coordination sur le plan opérationnel. Il a condamné, une fois de plus, dans les termes les plus vigoureux, l'incitation à commettre des actes de terrorisme et toute tentative pour justifier ou glorifier des actes de terrorisme susceptibles d'inciter à commettre d'autres actes de terrorisme et a reconnu qu'il importait que les Etats membres coopèrent pour empêcher les terroristes d'exploiter les technologies, moyens de communication et ressources disponibles pour inciter à appuyer des actes de terrorisme. Le Conseil a estimé que les sanctions sont un outil important de lutte contre le terrorisme, et est resté résolu à faire en sorte qu'il soit institué des procédures équitables et claires pour l'inscription d'individus et d'entités sur les listes des comités des sanctions et leur radiation de ces listes, ainsi que pour l'octroi d'exemptions pour raisons humanitaires et a rappelé, dans ce contexte, ses résolutions 1822 (2008) et 1904 (2009), y compris la désignation d'un médiateur et d'autres aménagements d'ordre procédural apportés au régime des sanctions contre Al-Qaida et les Taliban. Il a rappelé ce que les entités des Nations unies et leurs organes subsidiaires font pour aider les Etats membres à renforcer leurs capacités techniques et autres de lutte contre le terrorisme, tout en soulignant que certains Etats membres n'avaient pas les moyens d'appliquer les résolutions du Conseil concernant la lutte contre le terrorisme et des questions connexes et a noté, avec préoccupation, que les groupes terroristes et autres organisations criminelles cherchent à exploiter ces défaillances. Le Conseil a souligné à cet égard qu'il importait d'aider les Etats à se donner les moyens nécessaires en leur fournissant l'assistance technique voulue pour donner effet aux résolutions, et a encouragé les Etats à faire tout leur possible pour mener à bien les négociations sur le projet de convention générale sur le terrorisme international.
Menaces sur la sécurité internationale
Il est à rappeler que le conseiller auprès du Président de la République, Kamel Rezag Bara, avait mis en garde récemment à New York sur la grave menace pesant sur la sécurité internationale du phénomène de prises d'otages par les groupes terroristes suivie de demandes de rançons et d'élargissement de terroristes en contrepartie de la libération d'otages, appelant à la mise en place de procédures de rappel à l'ordre contre les Etats qui ne respecteraient pas leurs engagements. Intervenant dans le cadre de la deuxième revue par l'Onu de la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme tenue au début du mois en cours, à travers le panel consacré au thème ''La rançon comme moyen de financement du terrorisme'', Rezag Bara avait avisé la communauté internationale qu'outre une médiatisation importante des opérations de kidnapping, les terroristes exercent par ce procédé, une pression sur les pays d'origine des otages. A ce propos, il avait regretté qu'en cédant au chantage, ces Etats ne font qu'encourager les groupes terroristes à persévérer dans leurs activités criminelles : ''Certains de ces pays semblent, en tout cas, obéir à la seule sécurité de leurs ressortissants, sachant l'usage que fait le terrorisme des rançons récoltées pour le financement de leurs activités criminelles, notamment en termes d'acquisition d'armements, de capacité de recrutement et de moyens logistiques sophistiqués.''


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.