Le projet est estimé, selon les premières évaluations, à 5 millions DA. Il va s'étaler sur une année dit-on. Les tractations pour nouer un partenariat avec des opérateurs intéressés par la portée écologique et les retombées économiques du projet sont sur la voie d'aboutir affirme par ailleurs le numéro 1 de l'Anpep. Le projet est estimé, selon les premières évaluations, à 5 millions DA. Il va s'étaler sur une année dit-on. Les tractations pour nouer un partenariat avec des opérateurs intéressés par la portée écologique et les retombées économiques du projet sont sur la voie d'aboutir affirme par ailleurs le numéro 1 de l'Anpep. L'expérience, 5 années durant, avec l'agence allemande GTZ, n'a pas été très concluante pour l'APC d'Annaba qui avait contracté une convention avec l'organisme germanique en tant que commune-pilote pour la gestion des déchets ménagers et solides. « Cette expérience nous a inspiré dans notre démarche pour investir dans l'économie sociale, en tant que réseau écologique et d'insertion en lançant un ambitieux projet dans la récupération des déchets solides » a indiqué Ali Halim président de l'Anpep (Association nationale pour la protection de l'environnement). Selon la fiche technique du projet, deux wilayas sont ciblés, El Taraf et Annaba. « Il s'agit d'entamer progressivement une nouvelle expérience en la matière en fonction des moyens disponibles pour ratisser au niveau des zones urbaines. truffées de décharges sauvages notamment au niveau des sites sensibles comme les plages, les forêts, devenus les cibles de prédilection pour tous les rejets des travaux de batiments pris en charge par des entrepreneurs, privés », explique le patron de l'Anpep et d'ajouter qu'il est urgent aujourd'hui, d'initier, de concert avec les pouvoirs publics et les autorités compétentes, des opérations périodiques pour assainir totalement ces sites. Le projet, estimé selon les premières évaluations à 5 millions DA, va s'étaler sur une année, à partir de son démarrage, imminent, dit-on. Les tractations pour nouer un partenariat avec des opérateurs intéressés par la portée écologique et les retombées économiques du projet sont sur la voie d'aboutir affirme, par ailleurs, le numéro 1 de l'Anpep. Cette association projette également de lancer, outre la récupération du verre en premier lieu, de mettre en place un dispositif approprié pour la récupération des déchets électroménager et électroniques (vieux frigos, téléviseurs hors d'usage « ce créneau est dans nos cordes nous sommes, avec le concours de certains industriels, en train de peaufiner ce projet très important générateur d'emplois spécifiques. Nous attendons les conclusions d'un industriel qui prévoit la création d'une fabrique de recyclage des déchets en question. Nous envisageons, sinon de lancer la récupération et d'ouvrir une déchetterie pour traiter au moins une partie de vieux frigos, que nous pouvons réparer», révèle A. H. dans une lettre de sensibilisation adressée à tous les potentiels partenaires, l'Anpep souligne avec force, la nécessité de maintenir en éveil permanente, le système d'assainissement de l'environnement par une nouvelle approche de la gestion des déchets solides, (verre plastique) et électroménagers et électroniques. L'expérience, 5 années durant, avec l'agence allemande GTZ, n'a pas été très concluante pour l'APC d'Annaba qui avait contracté une convention avec l'organisme germanique en tant que commune-pilote pour la gestion des déchets ménagers et solides. « Cette expérience nous a inspiré dans notre démarche pour investir dans l'économie sociale, en tant que réseau écologique et d'insertion en lançant un ambitieux projet dans la récupération des déchets solides » a indiqué Ali Halim président de l'Anpep (Association nationale pour la protection de l'environnement). Selon la fiche technique du projet, deux wilayas sont ciblés, El Taraf et Annaba. « Il s'agit d'entamer progressivement une nouvelle expérience en la matière en fonction des moyens disponibles pour ratisser au niveau des zones urbaines. truffées de décharges sauvages notamment au niveau des sites sensibles comme les plages, les forêts, devenus les cibles de prédilection pour tous les rejets des travaux de batiments pris en charge par des entrepreneurs, privés », explique le patron de l'Anpep et d'ajouter qu'il est urgent aujourd'hui, d'initier, de concert avec les pouvoirs publics et les autorités compétentes, des opérations périodiques pour assainir totalement ces sites. Le projet, estimé selon les premières évaluations à 5 millions DA, va s'étaler sur une année, à partir de son démarrage, imminent, dit-on. Les tractations pour nouer un partenariat avec des opérateurs intéressés par la portée écologique et les retombées économiques du projet sont sur la voie d'aboutir affirme, par ailleurs, le numéro 1 de l'Anpep. Cette association projette également de lancer, outre la récupération du verre en premier lieu, de mettre en place un dispositif approprié pour la récupération des déchets électroménager et électroniques (vieux frigos, téléviseurs hors d'usage « ce créneau est dans nos cordes nous sommes, avec le concours de certains industriels, en train de peaufiner ce projet très important générateur d'emplois spécifiques. Nous attendons les conclusions d'un industriel qui prévoit la création d'une fabrique de recyclage des déchets en question. Nous envisageons, sinon de lancer la récupération et d'ouvrir une déchetterie pour traiter au moins une partie de vieux frigos, que nous pouvons réparer», révèle A. H. dans une lettre de sensibilisation adressée à tous les potentiels partenaires, l'Anpep souligne avec force, la nécessité de maintenir en éveil permanente, le système d'assainissement de l'environnement par une nouvelle approche de la gestion des déchets solides, (verre plastique) et électroménagers et électroniques.