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Savoir partager les souffrances d'un malade
Mots Sur Maux

Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile pour l'entourage de savoir quelle attitude adopter face à un malade notamment celui atteint de maladies graves ou chroniques. L'apparition d'un cancer par exemple, constitue également chez les proches un traumatisme dans leur vie auquel ils ne sont pas préparés. D'autre part, le suivi quotidien d'un malade chronique, quelque soit la maladie, est parfois difficile à vivre. Certains ont peur, fuient, rejettent le malade et le voient de moins en moins car sa maladie, les menacent, d'autres ont de la pitié, éprouvent de l'amour. Certains arrêtent même de « vivre » une vie personnelle et ne vivent qu'avec la maladie de leur proche afin de l'aider en permanence. Il faut savoir qu'un malade abandonné par son entourage est capable de céder à sa maladie plus vite et n'aura aucun courage pour lutter et espérer guérir. Je voudrais insister dur ce point avant même de parler de la prise en charge médicale dans laquelle se débattents nos citoyens aujourd'hui, parce que le soutien psychologique d'un malade et trois fois plus important et efficace qu'un traitement. Le malade ne pourra accepter sa maladie qu'en voyant son entourage l'aimer malgré la maladie et partager avec lui sa souffrance. Un proche du malade doit être plus solide et plus armé pour aider le malade. Il est aussi vrai que l'entourage a le droit de se plaindre car ses souffrances sont comparables à celles du malade, mais sans que cela décourager le malade et lui fait croire qu'il devient un fardeau sur ses proches ce qu'il mènera sûrement à céder à sa maladie et vouloir partir tôt de la vie pour arrêter les souffrances de ses proches. Il faut savoir qu'un malade souffre de voir les autre souffrir pour lui ou plutôt à cause de lui, donc le plus important aujourd'hui et en luttant contre le laisser -aller des responsables du secteur et la dégradation de la prise en charge, il faut penser aussi à mobiliser un mouvement associatif pour être à l'écoute du malade ainsi que son entourage et le soutenir psychologiquement. Il est temps aujourd'hui de penser à donner de l'espoir aux malades en leur prêtant de l'attention et en les entourant d'amour et d'affection.
Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile pour l'entourage de savoir quelle attitude adopter face à un malade notamment celui atteint de maladies graves ou chroniques. L'apparition d'un cancer par exemple, constitue également chez les proches un traumatisme dans leur vie auquel ils ne sont pas préparés. D'autre part, le suivi quotidien d'un malade chronique, quelque soit la maladie, est parfois difficile à vivre. Certains ont peur, fuient, rejettent le malade et le voient de moins en moins car sa maladie, les menacent, d'autres ont de la pitié, éprouvent de l'amour. Certains arrêtent même de « vivre » une vie personnelle et ne vivent qu'avec la maladie de leur proche afin de l'aider en permanence. Il faut savoir qu'un malade abandonné par son entourage est capable de céder à sa maladie plus vite et n'aura aucun courage pour lutter et espérer guérir. Je voudrais insister dur ce point avant même de parler de la prise en charge médicale dans laquelle se débattents nos citoyens aujourd'hui, parce que le soutien psychologique d'un malade et trois fois plus important et efficace qu'un traitement. Le malade ne pourra accepter sa maladie qu'en voyant son entourage l'aimer malgré la maladie et partager avec lui sa souffrance. Un proche du malade doit être plus solide et plus armé pour aider le malade. Il est aussi vrai que l'entourage a le droit de se plaindre car ses souffrances sont comparables à celles du malade, mais sans que cela décourager le malade et lui fait croire qu'il devient un fardeau sur ses proches ce qu'il mènera sûrement à céder à sa maladie et vouloir partir tôt de la vie pour arrêter les souffrances de ses proches. Il faut savoir qu'un malade souffre de voir les autre souffrir pour lui ou plutôt à cause de lui, donc le plus important aujourd'hui et en luttant contre le laisser -aller des responsables du secteur et la dégradation de la prise en charge, il faut penser aussi à mobiliser un mouvement associatif pour être à l'écoute du malade ainsi que son entourage et le soutenir psychologiquement. Il est temps aujourd'hui de penser à donner de l'espoir aux malades en leur prêtant de l'attention et en les entourant d'amour et d'affection.

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