Par ce mouvement des magistrats, le chef de l'Etat veut impulser un souffle nouveau à la justice et assurer une meilleure crédibilité des représentants de ce secteur aux niveaux des cours de justice à travers le pays. Par ce mouvement des magistrats, le chef de l'Etat veut impulser un souffle nouveau à la justice et assurer une meilleure crédibilité des représentants de ce secteur aux niveaux des cours de justice à travers le pays. Paru au journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire sous le n° 51 du 5 septembre en cours, le mouvement dans les corps des présidents de cours effectué le 15 juillet dernier par le président de la République, conformément aux prérogatives qui lui sont conférées par les articles 77-8 et 78-7 de la Constitution et en vertu de l'article 49 de la loi organique portant statut de la magistrature, constitue l'un des cadres prioritaires du programme du président en vue de réformer la justice. Par ce mouvement des magistrats, le chef de l'Etat veut impulser un souffle nouveau à la justice et assurer une meilleure crédibilité des représentants de ce secteur aux niveaux des cours de justice à travers le pays. Certes, l'objectif de cette réforme s'inscrit dans le prolongement des décisions déjà arrêté et qui consistent au traitement juste et équitable des dossiers des citoyens appelés à comparaître dans les différentes affaires devant les tribunaux. L'effort consenti par l'état dans le domaine de la modernisation du secteur judicaire s'est concrétisé sur le terrain par la lutte des divers fléaux sociaux et économiques tels que la drogue, le blanchissement d'argent, la corruption et la cybercriminalité. Dans cette optique, la formation des magistrats a été l'un des créneaux arrêtés par le secteur, une formation qui met à niveau les compétences des magistrats appelés à traiter de lourds dossiers dans la plus grande indépendance de la justice et sans aucune pression. A travers ce mouvement, la promotion de nouveaux présidents de cours,à l'instar de CHERGUI Abdelkader président de la chambre près la Cour de M'sila à la Cour de Biskra, Daâlache Abdelhak, président du tribunal de Sidi M'hamed à la Cour de Tebessa, Bensada Ahmed président de chambre près la Cour d'Alger à M'Sila et Ayachi Salah, vice président de la Cour de Relizane à Mascara s'inscrit dans le rajeunissement et l'impulsion de nouvelles compétences à des postes supérieurs dans le secteur. Rappelant que ce mouvement a concerné la mutation de neuf présidents de Cour avec Aggoun Brahim, président de la Cour de Laghouat muté dans les mêmes fonctions à la Cour de Béchar, Sakhraoui Hocine , président de la Cour de Batna à la Cour de Constantine, Rezgani Maamar , président de la Cour de Biskra muté président de la Cour de Batna, Yaacoub Moussa , président de la Cour de Béchar muté dans les mêmes fonctions à la Cour de Relizane, Bourafa Rachid, président de la cour de Tebessa a la Cour de Sétif, Brahmi Slimane président de la Cour de Sétif a la Cour de Blida , Hamdane Abdelkader président de la Cour de Constantine muté Président de la cour d'Alger, Mezhoud Rachid, président de la Cour de M'Sila muté dans les memes fonction a la Cour de Annaba et Mansour Ahmed , président de la cour de Mascara muté président de la Cour de Laghouat .Comme il a été mis fin aux fonctions aux anciens présidents des Cours de Blida , Alger, Annaba et Relizane qui seront affectés à la Cour suprême. Ainsi, depuis son investiture à la magistrature du pays, il y a plus de dix années, le président de la République veille scrupuleusement au bon déroulement des réformes de la justice et relance les débats à chaque occasion qui lui est présentée. Paru au journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire sous le n° 51 du 5 septembre en cours, le mouvement dans les corps des présidents de cours effectué le 15 juillet dernier par le président de la République, conformément aux prérogatives qui lui sont conférées par les articles 77-8 et 78-7 de la Constitution et en vertu de l'article 49 de la loi organique portant statut de la magistrature, constitue l'un des cadres prioritaires du programme du président en vue de réformer la justice. Par ce mouvement des magistrats, le chef de l'Etat veut impulser un souffle nouveau à la justice et assurer une meilleure crédibilité des représentants de ce secteur aux niveaux des cours de justice à travers le pays. Certes, l'objectif de cette réforme s'inscrit dans le prolongement des décisions déjà arrêté et qui consistent au traitement juste et équitable des dossiers des citoyens appelés à comparaître dans les différentes affaires devant les tribunaux. L'effort consenti par l'état dans le domaine de la modernisation du secteur judicaire s'est concrétisé sur le terrain par la lutte des divers fléaux sociaux et économiques tels que la drogue, le blanchissement d'argent, la corruption et la cybercriminalité. Dans cette optique, la formation des magistrats a été l'un des créneaux arrêtés par le secteur, une formation qui met à niveau les compétences des magistrats appelés à traiter de lourds dossiers dans la plus grande indépendance de la justice et sans aucune pression. A travers ce mouvement, la promotion de nouveaux présidents de cours,à l'instar de CHERGUI Abdelkader président de la chambre près la Cour de M'sila à la Cour de Biskra, Daâlache Abdelhak, président du tribunal de Sidi M'hamed à la Cour de Tebessa, Bensada Ahmed président de chambre près la Cour d'Alger à M'Sila et Ayachi Salah, vice président de la Cour de Relizane à Mascara s'inscrit dans le rajeunissement et l'impulsion de nouvelles compétences à des postes supérieurs dans le secteur. Rappelant que ce mouvement a concerné la mutation de neuf présidents de Cour avec Aggoun Brahim, président de la Cour de Laghouat muté dans les mêmes fonctions à la Cour de Béchar, Sakhraoui Hocine , président de la Cour de Batna à la Cour de Constantine, Rezgani Maamar , président de la Cour de Biskra muté président de la Cour de Batna, Yaacoub Moussa , président de la Cour de Béchar muté dans les mêmes fonctions à la Cour de Relizane, Bourafa Rachid, président de la cour de Tebessa a la Cour de Sétif, Brahmi Slimane président de la Cour de Sétif a la Cour de Blida , Hamdane Abdelkader président de la Cour de Constantine muté Président de la cour d'Alger, Mezhoud Rachid, président de la Cour de M'Sila muté dans les memes fonction a la Cour de Annaba et Mansour Ahmed , président de la cour de Mascara muté président de la Cour de Laghouat .Comme il a été mis fin aux fonctions aux anciens présidents des Cours de Blida , Alger, Annaba et Relizane qui seront affectés à la Cour suprême. Ainsi, depuis son investiture à la magistrature du pays, il y a plus de dix années, le président de la République veille scrupuleusement au bon déroulement des réformes de la justice et relance les débats à chaque occasion qui lui est présentée.