La position du FCE concernant la tripartite demeure inchangée en dépit des récentes frictions et des divergences de vue au sein de cette organisation patronale. L'association dirigée par Hamiani maintient également son intention de mener à bien le dialogue avec le gouvernement au sein de la réunion tripartite. Le forum des chefs d'entreprise de Reda Hamiani rejoint les rangs des organisations patronales au sein de la tripartite. « Notre Forum de chefs d'entreprise souhaite participer à la prochaine tripartite dans une logique de concertation et de dialogue avec les autorités » a déclaré, jeudi, Reda Hamiani, président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), lors d'une conférence de presse organisée à l'hôtel El Aurassi, en marge de la tenue d'une assemblée générale ordinaire. C'est une principale résolution qui a été prise, dit-il, à l'unanimité par les chefs d'entreprises qui désirent contribuer à l'enrichissement du dialogue économique et social en Algérie, a-t-il ajouté, mettant l'accent sur l'importance d'une telle instance de concertation entre le gouvernement, le partenaire social et les différentes organisations patronales. Il s'agit pour le FCE de participer pour donner, dit-il, son point de vue sous forme de propositions et d'interrogations que pose l'économie nationale en termes d'enjeux et de création de la richesse ainsi que de l'amélioration de l'environnement de l'entreprise algérienne. Le FCE réaffirme ainsi sa force d'union et de proposition pour contribuer activement au développement durable du pays. « Nous répondrons positivement pour participer cette instance si nous sommes invités car elle constitue le seul cadre de concertations. Mais il ne s'agit pas de renier notre identité » a-t-il ajouté dans ce message lancé au chef du gouvernement. Désormais le FCE s'inscrit dans une logique participative et non de l'opposition. « Nous ne sommes pas dans l'opposition mais des alliés objectifs du pouvoir pour la protection de l'entreprise algérienne » tient en outre à souligner le président du FCE qui dénonce « le dérapage » des importateurs dont la politique industrielle a fait les frais, a-t-il ajouté. Le FCE n'a pas caché son adhésion à la politique de l'Etat relative à la consolidation des plans de développement économique, notamment le programme quinquennal 2010-2014. Hamiani explique la nouvelle démarche du FCE qui se veut un partenaire de la politique du gouvernement. « Nous voulons simplement discuter sur le terrain les questions liées aux procédures afin de gérer correctement et selon les normes les différentes politiques publiques de l'Etat en termes de méthodes d'application » a-t-il indiqué, pour exprimer clairement le nouveau cadrage apporté par son organisation patronale en tant qu'acteur économique qui se soucie des défis qui se posent à l'économie nationale. Et c'est ainsi qu'il a insisté sur l'état des zones industrielles, les effets de la zone arabe de libre échange et la compétitivité industrielle. Toutes ces questions ont été discutées durant cette assemblée générale qui a permis aux participants formuler des propositions afin d'alléger, dit-il, les contraintes de l'environnement de l'environnement et de l'économie nationale. Le FCE compte participer, dit-il, à la prochaine tripartite avec une cinquantaine de recommandations. L'assemblée générale a eu aussi à débattre les questions inhérentes à l'amendement des statuts de l'organisation patronale et du règlement intérieur. L'article 3 dispose ainsi expressément que le FCE a « pour but principal l'instauration d'un cadre permanent de dialogue, de concertation, de réflexion et proposition au service de l'entreprise algérienne ». Cette organisation patronale qui a connu en mai 2009 le retrait de 12 entreprises publiques compte aujourd'hui, selon son président, 245 membres. Malgré les dissidences de certaines entreprises, le FCE est donc sorti plus fort moralement en s'insérant dans la logique de concertation et de dialogue permanent avec les autres partenaires de la tripartite. La position du FCE concernant la tripartite demeure inchangée en dépit des récentes frictions et des divergences de vue au sein de cette organisation patronale. L'association dirigée par Hamiani maintient également son intention de mener à bien le dialogue avec le gouvernement au sein de la réunion tripartite. Le forum des chefs d'entreprise de Reda Hamiani rejoint les rangs des organisations patronales au sein de la tripartite. « Notre Forum de chefs d'entreprise souhaite participer à la prochaine tripartite dans une logique de concertation et de dialogue avec les autorités » a déclaré, jeudi, Reda Hamiani, président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), lors d'une conférence de presse organisée à l'hôtel El Aurassi, en marge de la tenue d'une assemblée générale ordinaire. C'est une principale résolution qui a été prise, dit-il, à l'unanimité par les chefs d'entreprises qui désirent contribuer à l'enrichissement du dialogue économique et social en Algérie, a-t-il ajouté, mettant l'accent sur l'importance d'une telle instance de concertation entre le gouvernement, le partenaire social et les différentes organisations patronales. Il s'agit pour le FCE de participer pour donner, dit-il, son point de vue sous forme de propositions et d'interrogations que pose l'économie nationale en termes d'enjeux et de création de la richesse ainsi que de l'amélioration de l'environnement de l'entreprise algérienne. Le FCE réaffirme ainsi sa force d'union et de proposition pour contribuer activement au développement durable du pays. « Nous répondrons positivement pour participer cette instance si nous sommes invités car elle constitue le seul cadre de concertations. Mais il ne s'agit pas de renier notre identité » a-t-il ajouté dans ce message lancé au chef du gouvernement. Désormais le FCE s'inscrit dans une logique participative et non de l'opposition. « Nous ne sommes pas dans l'opposition mais des alliés objectifs du pouvoir pour la protection de l'entreprise algérienne » tient en outre à souligner le président du FCE qui dénonce « le dérapage » des importateurs dont la politique industrielle a fait les frais, a-t-il ajouté. Le FCE n'a pas caché son adhésion à la politique de l'Etat relative à la consolidation des plans de développement économique, notamment le programme quinquennal 2010-2014. Hamiani explique la nouvelle démarche du FCE qui se veut un partenaire de la politique du gouvernement. « Nous voulons simplement discuter sur le terrain les questions liées aux procédures afin de gérer correctement et selon les normes les différentes politiques publiques de l'Etat en termes de méthodes d'application » a-t-il indiqué, pour exprimer clairement le nouveau cadrage apporté par son organisation patronale en tant qu'acteur économique qui se soucie des défis qui se posent à l'économie nationale. Et c'est ainsi qu'il a insisté sur l'état des zones industrielles, les effets de la zone arabe de libre échange et la compétitivité industrielle. Toutes ces questions ont été discutées durant cette assemblée générale qui a permis aux participants formuler des propositions afin d'alléger, dit-il, les contraintes de l'environnement de l'environnement et de l'économie nationale. Le FCE compte participer, dit-il, à la prochaine tripartite avec une cinquantaine de recommandations. L'assemblée générale a eu aussi à débattre les questions inhérentes à l'amendement des statuts de l'organisation patronale et du règlement intérieur. L'article 3 dispose ainsi expressément que le FCE a « pour but principal l'instauration d'un cadre permanent de dialogue, de concertation, de réflexion et proposition au service de l'entreprise algérienne ». Cette organisation patronale qui a connu en mai 2009 le retrait de 12 entreprises publiques compte aujourd'hui, selon son président, 245 membres. Malgré les dissidences de certaines entreprises, le FCE est donc sorti plus fort moralement en s'insérant dans la logique de concertation et de dialogue permanent avec les autres partenaires de la tripartite.