Dès le lever du jour, trop souvent bien avant, les riverains endurent le supplice des voix stridentes des commerçants et les ronflements incessants des véhicules appartenant à ces derniers. La délocalisation du "trabendo" vers un autre lieu devient, selon leurs dires, une nécessité car ils ne supportent plus tous les désagréments qu'il cause. Dès le lever du jour, trop souvent bien avant, les riverains endurent le supplice des voix stridentes des commerçants et les ronflements incessants des véhicules appartenant à ces derniers. La délocalisation du "trabendo" vers un autre lieu devient, selon leurs dires, une nécessité car ils ne supportent plus tous les désagréments qu'il cause. Notre récent article sur le marché bihebdomadaire de Mila communément appelé "trabendo" où nous avons mis en relief son impact positif sur l'activité commerciale de la ville et la débrouillardise des jeunes quant au commerce informel n'a pas laissé insensibles les riverains du souk. Si dans le fond ils approuvent ce qui a été écrit, ils tiennent, par le biais de notre quotidien à transmettre leurs préoccupations aux responsables de la ville car selon leurs dires ils souffrent des désagréments causés par le bruit des moteurs, de la poussière et des multiples tracas causés par les va et vient de milliers d'acheteurs venus de tous les coins de la wilaya. Un citoyen habitant aux alentours immédiats du souk déplore le fait que les samedis et mardis sont, pour lui, synonymes de "cauchemar". Il ne dort pas la veille de la tenue du marché et durant ces deux jours très longs pour lui, il fuit sa maison comme la peste afin de ne pas subir la torture des cris et bruits. Dès le lever du jour, trop souvent bien avant, les riverains vivent le supplice des voix stridentes des commerçants et les ronflements incessants des véhicules appartenant à ces derniers, ils (commerçants) réveillent les bébés et les vieillards tout en dérangeant les malades se souciant très peu de la santé morale des riverains. La délocalisation du "trabendo" vers un autre lieu devient, selon leurs dires, une nécessité car ils ne supportent plus tous les désagréments qu'il cause. Les collégiens du CEM Emir Abdelkader, quant à eux, selon leurs parents, n'en finissent pas de se plaindre car les cris des marchands parviennent jusque dans leurs salles de cours. Le soulagement des riverains n'a lieu qu'à la fin de la tenue du souk. Cependant, à la vue des déchets et ordures laissés sur place par les commerçants et qui nécessitent beaucoup d'effort et de peine de la part des éboueurs, le soulagement se transforme en véritable tristesse aussi prient-ils de tout leur cœur les responsables locaux à prendre les mesures nécessaires pour les débarrasser de " l'enfer "qu'ils vivent les mardis et samedis. Notre récent article sur le marché bihebdomadaire de Mila communément appelé "trabendo" où nous avons mis en relief son impact positif sur l'activité commerciale de la ville et la débrouillardise des jeunes quant au commerce informel n'a pas laissé insensibles les riverains du souk. Si dans le fond ils approuvent ce qui a été écrit, ils tiennent, par le biais de notre quotidien à transmettre leurs préoccupations aux responsables de la ville car selon leurs dires ils souffrent des désagréments causés par le bruit des moteurs, de la poussière et des multiples tracas causés par les va et vient de milliers d'acheteurs venus de tous les coins de la wilaya. Un citoyen habitant aux alentours immédiats du souk déplore le fait que les samedis et mardis sont, pour lui, synonymes de "cauchemar". Il ne dort pas la veille de la tenue du marché et durant ces deux jours très longs pour lui, il fuit sa maison comme la peste afin de ne pas subir la torture des cris et bruits. Dès le lever du jour, trop souvent bien avant, les riverains vivent le supplice des voix stridentes des commerçants et les ronflements incessants des véhicules appartenant à ces derniers, ils (commerçants) réveillent les bébés et les vieillards tout en dérangeant les malades se souciant très peu de la santé morale des riverains. La délocalisation du "trabendo" vers un autre lieu devient, selon leurs dires, une nécessité car ils ne supportent plus tous les désagréments qu'il cause. Les collégiens du CEM Emir Abdelkader, quant à eux, selon leurs parents, n'en finissent pas de se plaindre car les cris des marchands parviennent jusque dans leurs salles de cours. Le soulagement des riverains n'a lieu qu'à la fin de la tenue du souk. Cependant, à la vue des déchets et ordures laissés sur place par les commerçants et qui nécessitent beaucoup d'effort et de peine de la part des éboueurs, le soulagement se transforme en véritable tristesse aussi prient-ils de tout leur cœur les responsables locaux à prendre les mesures nécessaires pour les débarrasser de " l'enfer "qu'ils vivent les mardis et samedis.