Le président de la République présidera demain l'ouverture de l'année judiciaire 2010-2011 à la Cour suprême, et prononcera à l'occasion un discours dans lequel il va, avons-nous appris de source officielle, réitérer ses instructions à l'ensemble du staff gouvernemental et de l'administration les grandes orientations du pays. Abdelaziz Bouteflika ne manquera à cette occasion pas de rappeler l'intérêt de poursuivre la réforme de la justice, un chantier entamé depuis son avènement à la magistrature suprême en 1999. Etroitement lié aux préoccupations citoyennes, à la notion de l'Etat de droit et à la modernisation de l'économie nationale, le secteur de la Justice constitue la pierre angulaire de tous les chantiers de réforme initiés par le chef de l'Etat à travers ses mandats précédents. Il sera également question de rappeler le combat institutionnel mené contre le phénomène de corruption, une véritable gangrène qui mine l'économie nationale et fragilise le développement du pays. Aux mécanismes législatifs mis en place pour ce faire s'ajoute la grande mobilisation des tribunaux et des Cours de justice qui ont traité des centaines d'affaires de dilapidation de deniers publics ces dernières années. Donc, il s'agit d'appuyer ces dispositions jusqu'à assainir tous les foyers de corruption, et poursuivre sereinement le développement du pays dans divers domaines. Il est de même pour les nouvelles données induites par l'ouverture de l'économie nationale. En d'autres termes, les grands litiges et conflits économiques se doivent d'être réglés par un arsenal juridique et judiciaire dûment conçu répondant aux standards universels en la matière. C'est dans cette optique que la formation des magistrats à travers la coopération avec les grandes législations européenne et américainedevient de plus en plus impérieuse. Le chef de l'Etat a, de tout le temps, insisté sur ce volet, qu'il ne manquera de réitérer aujourd'hui, devant les cadres du pays et les différents intervenants dans le secteur de la Justice. Le président de la République présidera demain l'ouverture de l'année judiciaire 2010-2011 à la Cour suprême, et prononcera à l'occasion un discours dans lequel il va, avons-nous appris de source officielle, réitérer ses instructions à l'ensemble du staff gouvernemental et de l'administration les grandes orientations du pays. Abdelaziz Bouteflika ne manquera à cette occasion pas de rappeler l'intérêt de poursuivre la réforme de la justice, un chantier entamé depuis son avènement à la magistrature suprême en 1999. Etroitement lié aux préoccupations citoyennes, à la notion de l'Etat de droit et à la modernisation de l'économie nationale, le secteur de la Justice constitue la pierre angulaire de tous les chantiers de réforme initiés par le chef de l'Etat à travers ses mandats précédents. Il sera également question de rappeler le combat institutionnel mené contre le phénomène de corruption, une véritable gangrène qui mine l'économie nationale et fragilise le développement du pays. Aux mécanismes législatifs mis en place pour ce faire s'ajoute la grande mobilisation des tribunaux et des Cours de justice qui ont traité des centaines d'affaires de dilapidation de deniers publics ces dernières années. Donc, il s'agit d'appuyer ces dispositions jusqu'à assainir tous les foyers de corruption, et poursuivre sereinement le développement du pays dans divers domaines. Il est de même pour les nouvelles données induites par l'ouverture de l'économie nationale. En d'autres termes, les grands litiges et conflits économiques se doivent d'être réglés par un arsenal juridique et judiciaire dûment conçu répondant aux standards universels en la matière. C'est dans cette optique que la formation des magistrats à travers la coopération avec les grandes législations européenne et américainedevient de plus en plus impérieuse. Le chef de l'Etat a, de tout le temps, insisté sur ce volet, qu'il ne manquera de réitérer aujourd'hui, devant les cadres du pays et les différents intervenants dans le secteur de la Justice.