Les débats à l'APN portant sur la déclaration de politique générale ont pris fin avant-hier soir après l'intervention des chefs des groupes parlementaires des partis représentés à l'Assemblée. Des interventions qui ont, à l'exception du chef du groupe parlementaire du RCD, gratifié le gouvernement de bons points. En effet les représentants des trois partis de l'Alliance présidentielle, en l'occurrence le FLN, le RND et le MSP, ne se sont point montrés avares en éloges en exprimant haut et fort leur satisfecit. Cette position a été pratiquement partagée par les chefs des groupes parlementaires du Parti des travailleurs, du FNA ainsi que des indépendants qui ont toutefois nuancé un tant soit peu leurs propos puisqu'ils n'ont pas manqué, comme ce fut le cas pour Louisa Hanoune, d'exprimer quelques réserves sur le bilan de l'action du gouvernement qui couvre la période allant de janvier 2009 à Juin 2010. La seule « fausse note » dans ce concert de satisfecit a été, on s'en doutait, la position du RCD, un parti qui n'a eu de cesse de clamer ouvertement son opposition. « Le bilan du gouvernement a complètement occulté les véritables préoccupations des citoyens » a indiqué, à ce titre, Athmane Maâzouz, le chef du groupe parlementaire de ce parti politique. Il a dans ce contexte cité les problèmes générés par le fléau de la corruption ainsi que la persistance des pratiques bureaucratiques lesquelles, a-t-il soutenu, « entravent le développement du pays ». Comme il a mis en exergue les difficultés des jeunes qui font face au chômage et qui sont poussés vers la toxicomanie et l'émigration clandestine. Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs et qui assume la charge de chef du groupe parlementaire de son parti, a évoqué ses thèmes de prédilection à l'exemple de la nécessité des pouvoirs publics de renforcer le secteur public économique. Ainsi elle a fait montre de sa farouche opposition à la politique de privatisation et les méfaits du partenariat initié par le gouvernement en donnant l'exemple d'ArcelorMittal et de l'entreprise Sider qui n'a abouti à aucun résultat positif pour l'économie nationale. Abdelkader Drihem, le chef du groupe parlementaire du FNA, a mis lui aussi l'accent sur les insuffisances qui persistent et, à ce titre, il a évoqué le tergiversations dans l'application des lois et ce particulièrement lorsque il s'agit de la lutte contre la criminalité. Il a aussi lancé des appels pour une meilleure prise en charge des jeunes et l'intensification de la lutte contre la corruption, la mauvaise gestion et la fraude lesquelles, comme il l'a indiqué, « nuisent à l'économie nationale ». Les représentants des trois partis de l'Alliance présidentielle, qui détient l'écrasante majorité des siéges à l'APN, ont, quant à eux apporté un franc soutien à l'action du gouvernement. Miloud Chorfi au nom du RND, Boubaker Mohamed Saïd pour le MSP et Hocine Khaldoun du FLN ont, en effet, exprimé leur satisfaction en insistant sur la nécessité de poursuivre ces efforts pour réaliser dans les délais les projets inscrits dans le programme quinquennal 2010 2014 . Ils n'ont point hésité à citer les chiffres avancés par Ahmed Ouyahia dans la déclaration de politique générale. Des chiffres, ont ils estimé, qui en disent long sur l'ampleur des réalisations. Après deux jours de débats, dimanche et lundi, le Premier-ministre dispose de 48h pour préparer ses réponses. Ouyahia répondra ainsi demain jeudi aux préoccupations exprimées par les députés. Les débats à l'APN portant sur la déclaration de politique générale ont pris fin avant-hier soir après l'intervention des chefs des groupes parlementaires des partis représentés à l'Assemblée. Des interventions qui ont, à l'exception du chef du groupe parlementaire du RCD, gratifié le gouvernement de bons points. En effet les représentants des trois partis de l'Alliance présidentielle, en l'occurrence le FLN, le RND et le MSP, ne se sont point montrés avares en éloges en exprimant haut et fort leur satisfecit. Cette position a été pratiquement partagée par les chefs des groupes parlementaires du Parti des travailleurs, du FNA ainsi que des indépendants qui ont toutefois nuancé un tant soit peu leurs propos puisqu'ils n'ont pas manqué, comme ce fut le cas pour Louisa Hanoune, d'exprimer quelques réserves sur le bilan de l'action du gouvernement qui couvre la période allant de janvier 2009 à Juin 2010. La seule « fausse note » dans ce concert de satisfecit a été, on s'en doutait, la position du RCD, un parti qui n'a eu de cesse de clamer ouvertement son opposition. « Le bilan du gouvernement a complètement occulté les véritables préoccupations des citoyens » a indiqué, à ce titre, Athmane Maâzouz, le chef du groupe parlementaire de ce parti politique. Il a dans ce contexte cité les problèmes générés par le fléau de la corruption ainsi que la persistance des pratiques bureaucratiques lesquelles, a-t-il soutenu, « entravent le développement du pays ». Comme il a mis en exergue les difficultés des jeunes qui font face au chômage et qui sont poussés vers la toxicomanie et l'émigration clandestine. Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs et qui assume la charge de chef du groupe parlementaire de son parti, a évoqué ses thèmes de prédilection à l'exemple de la nécessité des pouvoirs publics de renforcer le secteur public économique. Ainsi elle a fait montre de sa farouche opposition à la politique de privatisation et les méfaits du partenariat initié par le gouvernement en donnant l'exemple d'ArcelorMittal et de l'entreprise Sider qui n'a abouti à aucun résultat positif pour l'économie nationale. Abdelkader Drihem, le chef du groupe parlementaire du FNA, a mis lui aussi l'accent sur les insuffisances qui persistent et, à ce titre, il a évoqué le tergiversations dans l'application des lois et ce particulièrement lorsque il s'agit de la lutte contre la criminalité. Il a aussi lancé des appels pour une meilleure prise en charge des jeunes et l'intensification de la lutte contre la corruption, la mauvaise gestion et la fraude lesquelles, comme il l'a indiqué, « nuisent à l'économie nationale ». Les représentants des trois partis de l'Alliance présidentielle, qui détient l'écrasante majorité des siéges à l'APN, ont, quant à eux apporté un franc soutien à l'action du gouvernement. Miloud Chorfi au nom du RND, Boubaker Mohamed Saïd pour le MSP et Hocine Khaldoun du FLN ont, en effet, exprimé leur satisfaction en insistant sur la nécessité de poursuivre ces efforts pour réaliser dans les délais les projets inscrits dans le programme quinquennal 2010 2014 . Ils n'ont point hésité à citer les chiffres avancés par Ahmed Ouyahia dans la déclaration de politique générale. Des chiffres, ont ils estimé, qui en disent long sur l'ampleur des réalisations. Après deux jours de débats, dimanche et lundi, le Premier-ministre dispose de 48h pour préparer ses réponses. Ouyahia répondra ainsi demain jeudi aux préoccupations exprimées par les députés.