Rattachée à la daïra de Hammam Debagh, distante d'une quarantaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya, la localité rurale de Bouhamdane a été longtemps confrontée à un isolement pénalisant en dépit de la réalisation de plusieurs projets. Caractérisée par son relief montagneux, elle abrite une stèle érigée en 1989 à la mémoire des glorieux martyrs tombés au champ d'honneur lors des violents combats engagés contre la soldatesque coloniale durant les journées des 28 et 29 mai 1958. Cette bataille de Mermoura est un fait d'armes sans précédent car de valeureux djounoud de l'ALN avaient infligé une cuisante défaite aux parachutistes français et avaient abattu l'hélicoptère où se trouvait le sinistre colonel Jean-Pierre, patron des Bérets rouges, et qui y trouva la mort. Samedi dernier, le wali, accompagné du président de l'APW et des directeurs de l'exécutif, s'est rendu sur ce site historique et a accompli une visite de travail et d'inspection dans cette commune qui abrite actuellement plus de quatre milliers d'âmes vivant essentiellement dans des mechtas éparses où elles s'adonnent aux travaux agricoles, à l'élevage de bovins et d'ovins et à l'apiculture. La délégation a inspecté un lieu de glissement de terrain sur le CW 27, la salle de soins de Mermoura, le foyer de la jeunesse fermé depuis huit ans et qui est, enfin, cédé à la DJS qui va entreprendre sa réouverture, un projet de 20 logements RHP. Le siège de l'APC édifié en 1969 est dans un état avancé de dégradation : murs et cloisons fissurés, décrépitude, menuiserie défectueuse, infiltration des eaux pluviales, étanchéité inopérante, odeur de moisi, éclairage blafard, bureaux exigus et non fonctionnels. A la faveur de ce constat, le wali a ordonné une expertise par les services du CTC qui lui permettrait d'opter pour une solution idoine. La polyclinique de Houari Boumediene délabrée Commune natale du défunt président de la République dont elle porte désormais le nom, l'ex-commune Ain-Hassainia érigée en chef-lieu de daira lors du dernier découpage administratif abrite actuellement huit millies habitants résidant notamment dans les mechtas et les agglomérations de Ain-Kharouba, Ain-Amara et au niveau du centre. Lors de sa visite de travail et d'inspection effectuée ce lundi, le wali a visité de nombreux projets en voie de réalisation à savoir la subdivision de l'hydraulique, la mosquée Omar Ben El Khatab, la subdivision des travaux publics, la bibliothèque, la sûreté de daira, la collège, les 50 logements RHP, la salle de sports du lycée et l'extension du siège de la mairie. A la faveur de trois rencontres avec les citoyens de cette localité, le chef de l'exécutif s'est rendu à la polyclinique et cette visite inopinée a dévoilé des carences inadmissibles . D'emblée, il a émis de sévères critiques au responsable de cette infrastructure et particulièrement au directeur de l'EPSP de Oued-Zénati qui en assure la tutelle. En effet, cette polyclinique, censée être un modèle d'hygiène et de salubrité, est dans un état catastrophique : murs décrépis et sales , faience dégradée, vitres cassées, boiserie défectueuse, tristesse des lieux, déchets jonchant le sol, installation électrique inopérante , etc. Visiblement exaspéré par ce laisser-aller qui déshonore un secteur stratégique, le wali a vertement sermonné les gestionnaires concernés et a laissé entendre que des décisions conséquentes seront prises pour mettre le holà à cette gabégie alors que les pouvoirs publics ne lésinent pas sur les moyens humains, matériels et financiers pour améliorer les prestations médicales et le cadre de vie des citoyens. Rattachée à la daïra de Hammam Debagh, distante d'une quarantaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya, la localité rurale de Bouhamdane a été longtemps confrontée à un isolement pénalisant en dépit de la réalisation de plusieurs projets. Caractérisée par son relief montagneux, elle abrite une stèle érigée en 1989 à la mémoire des glorieux martyrs tombés au champ d'honneur lors des violents combats engagés contre la soldatesque coloniale durant les journées des 28 et 29 mai 1958. Cette bataille de Mermoura est un fait d'armes sans précédent car de valeureux djounoud de l'ALN avaient infligé une cuisante défaite aux parachutistes français et avaient abattu l'hélicoptère où se trouvait le sinistre colonel Jean-Pierre, patron des Bérets rouges, et qui y trouva la mort. Samedi dernier, le wali, accompagné du président de l'APW et des directeurs de l'exécutif, s'est rendu sur ce site historique et a accompli une visite de travail et d'inspection dans cette commune qui abrite actuellement plus de quatre milliers d'âmes vivant essentiellement dans des mechtas éparses où elles s'adonnent aux travaux agricoles, à l'élevage de bovins et d'ovins et à l'apiculture. La délégation a inspecté un lieu de glissement de terrain sur le CW 27, la salle de soins de Mermoura, le foyer de la jeunesse fermé depuis huit ans et qui est, enfin, cédé à la DJS qui va entreprendre sa réouverture, un projet de 20 logements RHP. Le siège de l'APC édifié en 1969 est dans un état avancé de dégradation : murs et cloisons fissurés, décrépitude, menuiserie défectueuse, infiltration des eaux pluviales, étanchéité inopérante, odeur de moisi, éclairage blafard, bureaux exigus et non fonctionnels. A la faveur de ce constat, le wali a ordonné une expertise par les services du CTC qui lui permettrait d'opter pour une solution idoine. La polyclinique de Houari Boumediene délabrée Commune natale du défunt président de la République dont elle porte désormais le nom, l'ex-commune Ain-Hassainia érigée en chef-lieu de daira lors du dernier découpage administratif abrite actuellement huit millies habitants résidant notamment dans les mechtas et les agglomérations de Ain-Kharouba, Ain-Amara et au niveau du centre. Lors de sa visite de travail et d'inspection effectuée ce lundi, le wali a visité de nombreux projets en voie de réalisation à savoir la subdivision de l'hydraulique, la mosquée Omar Ben El Khatab, la subdivision des travaux publics, la bibliothèque, la sûreté de daira, la collège, les 50 logements RHP, la salle de sports du lycée et l'extension du siège de la mairie. A la faveur de trois rencontres avec les citoyens de cette localité, le chef de l'exécutif s'est rendu à la polyclinique et cette visite inopinée a dévoilé des carences inadmissibles . D'emblée, il a émis de sévères critiques au responsable de cette infrastructure et particulièrement au directeur de l'EPSP de Oued-Zénati qui en assure la tutelle. En effet, cette polyclinique, censée être un modèle d'hygiène et de salubrité, est dans un état catastrophique : murs décrépis et sales , faience dégradée, vitres cassées, boiserie défectueuse, tristesse des lieux, déchets jonchant le sol, installation électrique inopérante , etc. Visiblement exaspéré par ce laisser-aller qui déshonore un secteur stratégique, le wali a vertement sermonné les gestionnaires concernés et a laissé entendre que des décisions conséquentes seront prises pour mettre le holà à cette gabégie alors que les pouvoirs publics ne lésinent pas sur les moyens humains, matériels et financiers pour améliorer les prestations médicales et le cadre de vie des citoyens.