Désormais, les entrepreneurs du secteur public spécialisés dans la transformation de lait pourront bénéficier d'importantes subventions en matière d'approvisionnement en poudre de lait nécessaire à la production du lait en sachet. Désormais, les entrepreneurs du secteur public spécialisés dans la transformation de lait pourront bénéficier d'importantes subventions en matière d'approvisionnement en poudre de lait nécessaire à la production du lait en sachet. En effet, le département du ministre de l'Agriculture et du développement rural, Rachid Benaïssa, vient d'instruire les responsables de laiteries publiques d'atteindre, au minimum, 50 % de l'offre globale du marché national en matière de production de lait pasteurisé conditionné. Ces nouvelles mesures sont destinées, notamment, à endiguer la pénurie de lait en sachet qui a suscité des tensions de la part des consommateurs qui ont eu du mal à s'approvisionner ces derniers jours. Alors que les différentes structures chargées de la gestion et de la production de la filière lait s'accusent mutuellement sur l'origine de ces perturbations dans la distribution de lait, cette directive du ministre vise également à organiser et ordonnancer la filière lait dont l'intégration et le renforcement doivent être finalisés avant janvier 2011. Toutes les facilités sont donc accordées aux transformateurs de lait pour optimiser leur niveau de production, en ce sens qu'ils bénéficieront d'importantes subventions en matière de prix d'achat de la poudre de lait sachant que le prix administré imposé par l'Etat ne doit pas dépasser 25 DA le litre. L'objectif immédiat et essentiel de cette nouvelle stratégie concoctée par le ministère a pour finalité de produire plus que la quantité normale annuelle évaluée à 1,2 milliard de litres. Mais, il s'agit également de sécuriser la production et la disponibilité de ce produit de première nécessité, et ce, afin de réguler le marché domestique du lait pasteurisé conditionné et éviter, ainsi des pénuries récurrentes. Toutefois, les laiteries du secteur privé ne sont pas astreintes d'appliquer cette directive émanant du ministère, car elles sont libres de produire ou ne pas produire l'autre moitié (50 %) du lait pasteurisé pour combler les éventuelles insuffisances et les probables lacunes résultant d'un possible dysfonctionnement du circuit de distribution. Avec la tendance à la baisse du niveau de production des producteurs nationaux de lait cru, lesquels invoquent des raisons évidentes de subventionnement (12 DA par litre de lait produit), l'importation de lait de poudre ne devrait pas connaître le gonflement de la facture d'importation, car de nombreux investisseurs sont actuellement intéressés par le lancement de projets d'élevage bovin après avoir sollicité l'aide et l'assistance de l'Etat. De plus en plus, le pays importe des vaches laitières et des génisses de Hollande dans la mesure où de jjeunes promoteurs de projets d'élevage sollicitent l'apport des importateurs de bovins. Cependant, des efforts sont, donc, consentis pour encourager les producteurs locaux de lait cru, même si l'Algérie commercialise de 5 milliards de litres de lait et dérivés annuellement sur le marché national dont 2,5 milliards de litres proviennent de la collecte du lait cru et de la production locale et 2,5 milliards de litres (poudre de lait) importées. A. A. En effet, le département du ministre de l'Agriculture et du développement rural, Rachid Benaïssa, vient d'instruire les responsables de laiteries publiques d'atteindre, au minimum, 50 % de l'offre globale du marché national en matière de production de lait pasteurisé conditionné. Ces nouvelles mesures sont destinées, notamment, à endiguer la pénurie de lait en sachet qui a suscité des tensions de la part des consommateurs qui ont eu du mal à s'approvisionner ces derniers jours. Alors que les différentes structures chargées de la gestion et de la production de la filière lait s'accusent mutuellement sur l'origine de ces perturbations dans la distribution de lait, cette directive du ministre vise également à organiser et ordonnancer la filière lait dont l'intégration et le renforcement doivent être finalisés avant janvier 2011. Toutes les facilités sont donc accordées aux transformateurs de lait pour optimiser leur niveau de production, en ce sens qu'ils bénéficieront d'importantes subventions en matière de prix d'achat de la poudre de lait sachant que le prix administré imposé par l'Etat ne doit pas dépasser 25 DA le litre. L'objectif immédiat et essentiel de cette nouvelle stratégie concoctée par le ministère a pour finalité de produire plus que la quantité normale annuelle évaluée à 1,2 milliard de litres. Mais, il s'agit également de sécuriser la production et la disponibilité de ce produit de première nécessité, et ce, afin de réguler le marché domestique du lait pasteurisé conditionné et éviter, ainsi des pénuries récurrentes. Toutefois, les laiteries du secteur privé ne sont pas astreintes d'appliquer cette directive émanant du ministère, car elles sont libres de produire ou ne pas produire l'autre moitié (50 %) du lait pasteurisé pour combler les éventuelles insuffisances et les probables lacunes résultant d'un possible dysfonctionnement du circuit de distribution. Avec la tendance à la baisse du niveau de production des producteurs nationaux de lait cru, lesquels invoquent des raisons évidentes de subventionnement (12 DA par litre de lait produit), l'importation de lait de poudre ne devrait pas connaître le gonflement de la facture d'importation, car de nombreux investisseurs sont actuellement intéressés par le lancement de projets d'élevage bovin après avoir sollicité l'aide et l'assistance de l'Etat. De plus en plus, le pays importe des vaches laitières et des génisses de Hollande dans la mesure où de jjeunes promoteurs de projets d'élevage sollicitent l'apport des importateurs de bovins. Cependant, des efforts sont, donc, consentis pour encourager les producteurs locaux de lait cru, même si l'Algérie commercialise de 5 milliards de litres de lait et dérivés annuellement sur le marché national dont 2,5 milliards de litres proviennent de la collecte du lait cru et de la production locale et 2,5 milliards de litres (poudre de lait) importées. A. A.