Après dix jours de débats à l'hémicycle, Ahmed Ouyahia donnera la réplique à certaines questions de fond, pas trop nombreuses, soulevées par quelques parlementaires. Les quelques critiques exprimées ont été formulées par quelques députés du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). Après dix jours de débats à l'hémicycle, Ahmed Ouyahia donnera la réplique à certaines questions de fond, pas trop nombreuses, soulevées par quelques parlementaires. Les quelques critiques exprimées ont été formulées par quelques députés du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). C'est aujourd'hui que le Premier ministre répondra aux interrogations des députés à l'Assemblée populaire nationale (APN) autour de la Déclaration de politique générale qu'il a présentée le 21 octobre dernier. Après dix jours de débats à l'hémicycle, Ahmed Ouyahia donnera la réplique à certaines questions de fond, pas trop nombreuses, soulevées par quelques parlementaires. Sinon, c'est un exercice de routine, voire une simple formalité au vu de la tendance générale et de la réaction des députés de la Chambre basse à la Déclaration-bilan de Ouyahia. En effet, les partis de l'Alliance présidentielle qui constituent la majorité écrasante des députés à l'APN ont réagi favorablement par rapport à la Déclaration du Premier ministre. Les quelques critiques exprimées ont été l'œuvre de quelques députés du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). C'est dire toute la facilité de la tâche du Premier ministre. Les débats sur la Déclaration de politique générale du gouvernement, clôturés par l'intervention des chefs de groupes parlementaires ont confirmé davantage cette tendance. Néanmoins, quelques députés de la Chambre basse ont émis certaines remarques par rapport à ladite Déclaration. Des remarques qui s'articulent plus sur la forme que sur le fond. Certains déplorent la présentation de la Déclaration sous forme de résumé et l'absence d'un rapport détaillé sur le programme financier du gouvernement. D'autres décrient le retard mis par le gouvernement pour présenter son rapport, alors que certains autres parlementaires, indépendants notamment, se sont plaints de leur non implication dans le développement local, en dépit de l'instruction émise par le gouvernement dans ce sens. Le Premier ministre a été également interpellé sur les phénomènes de corruption et d'enrichissement illicite, tout en déplorant le gel des activités de contrôle menées autrefois par des structures habilitées à l'image de la Cour des comptes qui vient d'être réhabilitée par les pouvoirs publics. Aussi signale-t-on quelques voix qui se sont élevées, bien que timidement, au sein de l'hémicycle, pour dénoncer les retards ressentis dans l'exécution de certains projets de développement. Les rallonges financières accordées à ces projets ont été également décriées. Sinon, les projets et les différentes réalisations du gouvernement ont été applaudis par l'ensemble des députés, ce qui n'est pas pour donner du fil à retordre au Premier ministre. Ce dernier se contentera ainsi d'apporter des explications aux différentes préoccupations soulevées par les députés. M.C. C'est aujourd'hui que le Premier ministre répondra aux interrogations des députés à l'Assemblée populaire nationale (APN) autour de la Déclaration de politique générale qu'il a présentée le 21 octobre dernier. Après dix jours de débats à l'hémicycle, Ahmed Ouyahia donnera la réplique à certaines questions de fond, pas trop nombreuses, soulevées par quelques parlementaires. Sinon, c'est un exercice de routine, voire une simple formalité au vu de la tendance générale et de la réaction des députés de la Chambre basse à la Déclaration-bilan de Ouyahia. En effet, les partis de l'Alliance présidentielle qui constituent la majorité écrasante des députés à l'APN ont réagi favorablement par rapport à la Déclaration du Premier ministre. Les quelques critiques exprimées ont été l'œuvre de quelques députés du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). C'est dire toute la facilité de la tâche du Premier ministre. Les débats sur la Déclaration de politique générale du gouvernement, clôturés par l'intervention des chefs de groupes parlementaires ont confirmé davantage cette tendance. Néanmoins, quelques députés de la Chambre basse ont émis certaines remarques par rapport à ladite Déclaration. Des remarques qui s'articulent plus sur la forme que sur le fond. Certains déplorent la présentation de la Déclaration sous forme de résumé et l'absence d'un rapport détaillé sur le programme financier du gouvernement. D'autres décrient le retard mis par le gouvernement pour présenter son rapport, alors que certains autres parlementaires, indépendants notamment, se sont plaints de leur non implication dans le développement local, en dépit de l'instruction émise par le gouvernement dans ce sens. Le Premier ministre a été également interpellé sur les phénomènes de corruption et d'enrichissement illicite, tout en déplorant le gel des activités de contrôle menées autrefois par des structures habilitées à l'image de la Cour des comptes qui vient d'être réhabilitée par les pouvoirs publics. Aussi signale-t-on quelques voix qui se sont élevées, bien que timidement, au sein de l'hémicycle, pour dénoncer les retards ressentis dans l'exécution de certains projets de développement. Les rallonges financières accordées à ces projets ont été également décriées. Sinon, les projets et les différentes réalisations du gouvernement ont été applaudis par l'ensemble des députés, ce qui n'est pas pour donner du fil à retordre au Premier ministre. Ce dernier se contentera ainsi d'apporter des explications aux différentes préoccupations soulevées par les députés. M.C.