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Flambée des prix et spéculation
Barak, produits agricoles
Publié dans Le Midi Libre le 31 - 10 - 2010

Immédiatement après les importantes précipitations qui se sont abattues sur l'ensemble du territoire national, les marchands de légumes et fruits au niveau des marchés de la circonscription de Baraki ont fait augmenter les prix des principaux produits agricoles de large consommation. L'écart d'augmentation du prix a dépassé dans certains espaces de vente les 5 dinars pour chaque denrée alimentaire.
Aux yeux des observateurs locaux, il est purement et simplement question de flagrante spéculation, sinon comment justifier cette augmentation des prix qui touche, sans préavis, les produits locaux ? Ca, on avait l'habitude depuis l'année 2007 de renvoyer les récurrentes hausses des prix du sucre, de l'huile et d' autres produits alimentaires importés aux fluctuations des prix appliqués dans les marchés mondiaux. D'abord, les prix de la pomme de terre, en production abondante chez nous , en ces derniers mois, ont dépassé les 40 DA le kg à travers plusieurs espaces de vente urbains et semi urbains. A plus de 60 DA le kg, on vend les tomates, les carottes et les navets en surproduction à la Mitidja, alors que le concombre avoisine les 100 da le kg aux Eucalyptus, où il existe l'un des plus grands marchés de gros en fruits et légumes au niveau du centre du pays. Certains commerçants ont constaté que l'augmentation des prix de produits agricoles a été enregistrée initialement au niveau de ce marché. Aussi, les prix de fruits saisonniers ont connu une hausse au marché de Boufarik. Selon des avis concordants de revendeurs rencontrés au marché en gros de Bougara, les raisins et les grenades ont été cédés à plus de 120 le kg pour subir, au détail, une augmentation de 5 à 15 le kg le jour même du rendez- vous hebdomadaire du souk fréquenté par des commerçants venant de 40 wilayas.
L'autre explication donnée à cette subite hausse des prix est celle de la vente sur pied de certains produits agricoles menacés d'altération à cause des pluies parfois torrentielles surtout dans les anciennes fermes et nouvelles exploitations agricoles issues des récentes aides octroyées par les services agricoles locaux aux dizaines d'agriculteurs de produits du terroir, tels les figues, les raisins et les pommes. C'est pourquoi les revendeurs proposent aux agriculteurs des prix encourageants dans l'espoir de les compenser grâce à des augmentations des prix de vente directe, souvent surprenante et ce, en guise de donner l'impression d'une éventuelle rareté de produits faisant objets de spéculation, donc préméditée. M. A.
Immédiatement après les importantes précipitations qui se sont abattues sur l'ensemble du territoire national, les marchands de légumes et fruits au niveau des marchés de la circonscription de Baraki ont fait augmenter les prix des principaux produits agricoles de large consommation. L'écart d'augmentation du prix a dépassé dans certains espaces de vente les 5 dinars pour chaque denrée alimentaire.
Aux yeux des observateurs locaux, il est purement et simplement question de flagrante spéculation, sinon comment justifier cette augmentation des prix qui touche, sans préavis, les produits locaux ? Ca, on avait l'habitude depuis l'année 2007 de renvoyer les récurrentes hausses des prix du sucre, de l'huile et d' autres produits alimentaires importés aux fluctuations des prix appliqués dans les marchés mondiaux. D'abord, les prix de la pomme de terre, en production abondante chez nous , en ces derniers mois, ont dépassé les 40 DA le kg à travers plusieurs espaces de vente urbains et semi urbains. A plus de 60 DA le kg, on vend les tomates, les carottes et les navets en surproduction à la Mitidja, alors que le concombre avoisine les 100 da le kg aux Eucalyptus, où il existe l'un des plus grands marchés de gros en fruits et légumes au niveau du centre du pays. Certains commerçants ont constaté que l'augmentation des prix de produits agricoles a été enregistrée initialement au niveau de ce marché. Aussi, les prix de fruits saisonniers ont connu une hausse au marché de Boufarik. Selon des avis concordants de revendeurs rencontrés au marché en gros de Bougara, les raisins et les grenades ont été cédés à plus de 120 le kg pour subir, au détail, une augmentation de 5 à 15 le kg le jour même du rendez- vous hebdomadaire du souk fréquenté par des commerçants venant de 40 wilayas.
L'autre explication donnée à cette subite hausse des prix est celle de la vente sur pied de certains produits agricoles menacés d'altération à cause des pluies parfois torrentielles surtout dans les anciennes fermes et nouvelles exploitations agricoles issues des récentes aides octroyées par les services agricoles locaux aux dizaines d'agriculteurs de produits du terroir, tels les figues, les raisins et les pommes. C'est pourquoi les revendeurs proposent aux agriculteurs des prix encourageants dans l'espoir de les compenser grâce à des augmentations des prix de vente directe, souvent surprenante et ce, en guise de donner l'impression d'une éventuelle rareté de produits faisant objets de spéculation, donc préméditée. M. A.


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