La visite de DSK en Algérie intervient dans un contexte plutôt favorable marqué par une embellie financière, une tendance récemment confirmée par le gouverneur de la Banque d'Algérie dans son rapport. La visite de DSK en Algérie intervient dans un contexte plutôt favorable marqué par une embellie financière, une tendance récemment confirmée par le gouverneur de la Banque d'Algérie dans son rapport. Le directeur général du Fonds monétaire international est arrivé hier à Alger où il a été reçu par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en préambule de sa série de rencontres et d'activités prévues aujourd'hui et demain. Dominique Strauss-Kahn prendra part aux travaux d'une conférence sur le thème «ressources naturelles, finances et développement : faire face aux anciens et nouveaux défis» organisée conjointement entre le Fonds et la Banque d'Algérie, en présence du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Il prononcera un discours à l'occasion, où il devrait noter les avancées réalisées par l'économie algérienne depuis les années de restructuration, notamment sur le plan financier. Le patron français du FMI, reçu hier par le chef de l'Etat, en présence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et du gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci, aura, lors de son séjour en Algérie, avec le Premier ministre et les responsables des autorités financières du pays à passer en revue la situation économique du pays. La visite de DSK en Algérie intervient dans un contexte plutôt favorable marqué par une embellie financière, une tendance récemment confirmée par le gouverneur de la Banque d'Algérie dans son rapport. Des réserves de change assez consistantes, une dette extérieure épongée et des ressources financières appréciables qui font que le pays n'est plus dans la même situation que celle des années 1990, au temps des vaches maigres, où le FMI se présentait pour échelonner et rééchelonner la dette algérienne. D'ailleurs, dans son dernier rapport sur les pays de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient, le FMI a prévu une évolution favorable de la majorité des indicateurs économiques de l'Algérie pour 2010 et 2011 à l'exception du solde budgétaire qui demeurera négatif. Donc, la visite du patron du FMI, au-delà de son aspect économique, répond également, implicitement, aux enjeux de la présidentielle française de 2012. En présidentiable potentiel, Dominique Strauss-Kahn est en quête d'appui de l'un des pays à forte communauté dans l'Hexagone, ce qui constitue un réservoir électoral de poids. Le directeur général du Fonds monétaire international est arrivé hier à Alger où il a été reçu par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en préambule de sa série de rencontres et d'activités prévues aujourd'hui et demain. Dominique Strauss-Kahn prendra part aux travaux d'une conférence sur le thème «ressources naturelles, finances et développement : faire face aux anciens et nouveaux défis» organisée conjointement entre le Fonds et la Banque d'Algérie, en présence du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Il prononcera un discours à l'occasion, où il devrait noter les avancées réalisées par l'économie algérienne depuis les années de restructuration, notamment sur le plan financier. Le patron français du FMI, reçu hier par le chef de l'Etat, en présence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et du gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci, aura, lors de son séjour en Algérie, avec le Premier ministre et les responsables des autorités financières du pays à passer en revue la situation économique du pays. La visite de DSK en Algérie intervient dans un contexte plutôt favorable marqué par une embellie financière, une tendance récemment confirmée par le gouverneur de la Banque d'Algérie dans son rapport. Des réserves de change assez consistantes, une dette extérieure épongée et des ressources financières appréciables qui font que le pays n'est plus dans la même situation que celle des années 1990, au temps des vaches maigres, où le FMI se présentait pour échelonner et rééchelonner la dette algérienne. D'ailleurs, dans son dernier rapport sur les pays de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient, le FMI a prévu une évolution favorable de la majorité des indicateurs économiques de l'Algérie pour 2010 et 2011 à l'exception du solde budgétaire qui demeurera négatif. Donc, la visite du patron du FMI, au-delà de son aspect économique, répond également, implicitement, aux enjeux de la présidentielle française de 2012. En présidentiable potentiel, Dominique Strauss-Kahn est en quête d'appui de l'un des pays à forte communauté dans l'Hexagone, ce qui constitue un réservoir électoral de poids.