Désormais, une simple coupe de cheveux est taxée à 100 dinars, soit 30 dinars de plus pour les hommes. Quant aux enfants, le prix exigé est de l'ordre de 100 dinars, alors que dans un passé récent, il était fixé à 70 dinars. Désormais, une simple coupe de cheveux est taxée à 100 dinars, soit 30 dinars de plus pour les hommes. Quant aux enfants, le prix exigé est de l'ordre de 100 dinars, alors que dans un passé récent, il était fixé à 70 dinars. Décidément, la spirale de l'envolée des produits de première nécessité qui affecte le citoyen lambda n'épargne aucun secteur. En effet, depuis quelques jours, des citoyens ont été désagréalement surpris par les nouveaux tarifs des prestations de service de leurs coiffeurs qui ont décidé d'instaurer une augmentation de 30%. Désormais, une simple coupe de cheveux est taxée à 100 dinars, soit 30 dinars de plus pour les hommes. Quant aux enfants, le prix exigé est de l'ordre de 100 dinars, alors que dans un passé récent, il était fixé à 70 dinars. Exacerbés, ils ont manifesté leur courroux et leur ras-le-bol aux spécialistes des ciseaux qui ont prétexté la cherté de la vie et leurs conditions de travail. Ces derniers ont répondu que ces nouveaux tarifs sont avalisés par leur syndicat et ils estiment avoir agi dans la stricte légalité. De toute évidence, cette mesure s'avère impopulaire car elle pénalise les familles modestes qui se démènent quotidiennement pour assurer leur subsistance. Un père de famille, employé dans une entreprise privée de travaux publics explose : "Chaque mois, je dois débourser 300 DA pour mes trois garçons et 130 DA pour moi ! C'est inadmissible ! Les coiffeurs réalisent des recettes mirobolantes sans se fatiguer car ils consacrent à peine une dizaine de minutes à chaque client." Quant aux coiffeuses pour dames, les tarifs appliqués sont excessifs, ils oscillent de cent à mille dinars, selon les prestations pratiquées. Une maman nous révèle que la mariée doit débourser la somme de 2.500 dinars pour une coiffure personnalisée et un maquillage adéquat ! Ce métier s'avère fructueux et c'est la raison pour laquelle des stagiaires des centres de formation professionnelle ouvrent des salons de coiffure dès qu'elles achèvent leur cycle de formation. OUED-CHEHAM, en tournée marathon Le wali inspecte les projets Poursuivant sa tournée marathon à travers la wilaya, le nouveau wali de Guelma, accompagné du président de l'APW et des directeurs de l'exécutif, a effectué sa huitième sortie dans la daïra de Hammam-N'Baïls, réputée pour son relief accidenté et montagneux et ses hivers particulièrement rigoureux. Ce mardi matin, le cortège a entamé son programme de visite de travail et d'inspection à El-Bernous, importante agglomération rattachée au chef-lieu de daïra où il s'est enquis du projet de 50 logements RHP, destinés à des familles recensées et vivant dans des bidonvilles. Le plan directeur d'occupation des sols a été présenté par le directeur de l'urbanisme et de la construction et il ressort que le POS d'El-Bernous dispose d'une superficie de 2,5 hectares, devant abriter une centaine de logements, soit 500 pesronnes, sachant que l'AP allouée dépasse les 17 millions de dinars. Les équipements existants, à savoir un centre de formation professionnelle, un complexe sportif de proximité, une école primaire, une salle de soins, des locaux commerciaux, les sièges de la garde communale, de la Protection civile, seront étendus à d'autres secteurs. Plus de 18 millions de dinars ont été consacrés aux aménagements urbains dans le cadre de l'amélioration du cadre de vie, assainissement, voirie et trottoirs, AEP, éclairage public et revêement en béton bitumineux. Le chef de l'exécutif a successivement inspecté les projets de subdivision des travaux publics, de subdivision de l'hydraulique, de 50 logements sociaux, de dix locaux professionnels et du centre de formation professionnelle. Dans la localité de Dahouara, il a visité la salle de soins, la stèle de Besbessa, érigée en hommage à 300 djounoud de l'ALN morts les armes à la main lors d'une bataille sanglante engagée par des milliers de soldats français, une unité de mise en bouteilles d'eau minérale d'un investisseur privé et l'ouvrage sur le CW 19. Se déplaçant à Oued-Cheham, une commune limitrophe, l'exécutif de wilaya qui a visité la polyclinique, la bibliothèque communale, les projets de 10 logements RHP et 40 LSP, a consacré une heure au minimum au douar Laouayed qui regroupe 14 mechtas abritant plus de 1.060 habitants. Saisissant cette opportunité, ces autochtones ont tenu à engager un dialogue constructif avec le wali pour exposer leurs légitimes doléances, à savoir aménagement d'une piste reliant Dahouara à Magroune, alimentation en gaz à partir de Oued-Cheham, alimentatioin en eau potable, école et salle de soins fermés à mechta Bounarada. Le premier magistrat de la wilaya a écouté avec attention ces requêtes et il a promis de les prendre en considération selon les priorités et les moyens dont il dispose. Cette tournée s'est avérée fructueuse car elle aura permis à M. Merzoug Larbi, chef de l'exécutif, de s'imprégner sur le terrain de la situation qui prévaut dans sa wilaya et de mettre en branle sa feuille de route afin d'appliquer efficacement le programme quinquennal 2010-2014 initié par le président de la République. Décidément, la spirale de l'envolée des produits de première nécessité qui affecte le citoyen lambda n'épargne aucun secteur. En effet, depuis quelques jours, des citoyens ont été désagréalement surpris par les nouveaux tarifs des prestations de service de leurs coiffeurs qui ont décidé d'instaurer une augmentation de 30%. Désormais, une simple coupe de cheveux est taxée à 100 dinars, soit 30 dinars de plus pour les hommes. Quant aux enfants, le prix exigé est de l'ordre de 100 dinars, alors que dans un passé récent, il était fixé à 70 dinars. Exacerbés, ils ont manifesté leur courroux et leur ras-le-bol aux spécialistes des ciseaux qui ont prétexté la cherté de la vie et leurs conditions de travail. Ces derniers ont répondu que ces nouveaux tarifs sont avalisés par leur syndicat et ils estiment avoir agi dans la stricte légalité. De toute évidence, cette mesure s'avère impopulaire car elle pénalise les familles modestes qui se démènent quotidiennement pour assurer leur subsistance. Un père de famille, employé dans une entreprise privée de travaux publics explose : "Chaque mois, je dois débourser 300 DA pour mes trois garçons et 130 DA pour moi ! C'est inadmissible ! Les coiffeurs réalisent des recettes mirobolantes sans se fatiguer car ils consacrent à peine une dizaine de minutes à chaque client." Quant aux coiffeuses pour dames, les tarifs appliqués sont excessifs, ils oscillent de cent à mille dinars, selon les prestations pratiquées. Une maman nous révèle que la mariée doit débourser la somme de 2.500 dinars pour une coiffure personnalisée et un maquillage adéquat ! Ce métier s'avère fructueux et c'est la raison pour laquelle des stagiaires des centres de formation professionnelle ouvrent des salons de coiffure dès qu'elles achèvent leur cycle de formation. OUED-CHEHAM, en tournée marathon Le wali inspecte les projets Poursuivant sa tournée marathon à travers la wilaya, le nouveau wali de Guelma, accompagné du président de l'APW et des directeurs de l'exécutif, a effectué sa huitième sortie dans la daïra de Hammam-N'Baïls, réputée pour son relief accidenté et montagneux et ses hivers particulièrement rigoureux. Ce mardi matin, le cortège a entamé son programme de visite de travail et d'inspection à El-Bernous, importante agglomération rattachée au chef-lieu de daïra où il s'est enquis du projet de 50 logements RHP, destinés à des familles recensées et vivant dans des bidonvilles. Le plan directeur d'occupation des sols a été présenté par le directeur de l'urbanisme et de la construction et il ressort que le POS d'El-Bernous dispose d'une superficie de 2,5 hectares, devant abriter une centaine de logements, soit 500 pesronnes, sachant que l'AP allouée dépasse les 17 millions de dinars. Les équipements existants, à savoir un centre de formation professionnelle, un complexe sportif de proximité, une école primaire, une salle de soins, des locaux commerciaux, les sièges de la garde communale, de la Protection civile, seront étendus à d'autres secteurs. Plus de 18 millions de dinars ont été consacrés aux aménagements urbains dans le cadre de l'amélioration du cadre de vie, assainissement, voirie et trottoirs, AEP, éclairage public et revêement en béton bitumineux. Le chef de l'exécutif a successivement inspecté les projets de subdivision des travaux publics, de subdivision de l'hydraulique, de 50 logements sociaux, de dix locaux professionnels et du centre de formation professionnelle. Dans la localité de Dahouara, il a visité la salle de soins, la stèle de Besbessa, érigée en hommage à 300 djounoud de l'ALN morts les armes à la main lors d'une bataille sanglante engagée par des milliers de soldats français, une unité de mise en bouteilles d'eau minérale d'un investisseur privé et l'ouvrage sur le CW 19. Se déplaçant à Oued-Cheham, une commune limitrophe, l'exécutif de wilaya qui a visité la polyclinique, la bibliothèque communale, les projets de 10 logements RHP et 40 LSP, a consacré une heure au minimum au douar Laouayed qui regroupe 14 mechtas abritant plus de 1.060 habitants. Saisissant cette opportunité, ces autochtones ont tenu à engager un dialogue constructif avec le wali pour exposer leurs légitimes doléances, à savoir aménagement d'une piste reliant Dahouara à Magroune, alimentation en gaz à partir de Oued-Cheham, alimentatioin en eau potable, école et salle de soins fermés à mechta Bounarada. Le premier magistrat de la wilaya a écouté avec attention ces requêtes et il a promis de les prendre en considération selon les priorités et les moyens dont il dispose. Cette tournée s'est avérée fructueuse car elle aura permis à M. Merzoug Larbi, chef de l'exécutif, de s'imprégner sur le terrain de la situation qui prévaut dans sa wilaya et de mettre en branle sa feuille de route afin d'appliquer efficacement le programme quinquennal 2010-2014 initié par le président de la République.