Le Front des forces socialistes a entamé son cycle de rencontres régionales en prévision de la tenue, au début de l'année prochaine, de la conférence nationale du parti. C'est là justement que le plus vieux parti d'opposition décidera d'aller ou non vers les élections législatives et locales qui auront lieu en 2012. Cette série de rencontres régionales que la formation politique de Hocine Aït Ahmed a entreprise tend à « renforcer ses rangs par le plus grand nombre possible de militants qui respectent les positions du parti et qui les trouvent nationales, compte tenu de son rapprochement des citoyens modestes », pour paraphraser le premier secrétaire national du FFS, lors d'une rencontre à Mascara. Animant une conférence de presse, Karim Tabbou a expliqué à l'assistance que le citoyen est la base de tout programme politique et économique, d'où le choix du parti porté sur les préoccupations des citoyens de base qui forment la majorité de la société algérienne. « Le FFS porte et défend les idées des citoyens », a-t-il dit, tout en reconnaissant que l'expérience cumulée par le parti jusque-là « n'encourage pas à la participation ». Le premier secrétaire national du FFS fait évidemment allusion au boycottage des échéances électorales par le passé, qui a fait que le parti s'est davantage éloigné de la population. Bien que la décision définitive de participer ou pas aux prochaines élections ne sera prise que lors de la prochaine conférence nationale, Karim Tabbou annonce d'ores et déjà la couleur. Mieux, le parti d'Aït Ahmed est porteur d' « un projet national », visant à améliorer les conditions de vie des citoyens, a expliqué Tabbou, dans une tentative de capter un électorat potentiel. Donc, le plus vieux parti d'opposition compte investir le terrain de plus belle à travers des actions qui sentent le parfum d'une campagne électorale précoce. Conscient de l'impérieuse nécessité de se rapprocher davantage de la population à travers une présence dans les assemblées élues, le FFS compte bousculer les autres formations politiques sur le terrain. Pour ce faire, le parti compte entamer l'année 2011 avec plein d'activités à la clé, une manière de revenir en force sur la scène politique nationale et investir les assemblées élues. Si le parti est présent dans les assemblées communales, le parti cher à Aït Ahmed est resté loin de l'Assemblée populaire nationale (APN) depuis bientôt trois législatures. Néanmoins, le parti compte réinvestir l'hémicycle, car toute opposition ne serait plus efficace en dehors des assemblées. Le Front des forces socialistes a entamé son cycle de rencontres régionales en prévision de la tenue, au début de l'année prochaine, de la conférence nationale du parti. C'est là justement que le plus vieux parti d'opposition décidera d'aller ou non vers les élections législatives et locales qui auront lieu en 2012. Cette série de rencontres régionales que la formation politique de Hocine Aït Ahmed a entreprise tend à « renforcer ses rangs par le plus grand nombre possible de militants qui respectent les positions du parti et qui les trouvent nationales, compte tenu de son rapprochement des citoyens modestes », pour paraphraser le premier secrétaire national du FFS, lors d'une rencontre à Mascara. Animant une conférence de presse, Karim Tabbou a expliqué à l'assistance que le citoyen est la base de tout programme politique et économique, d'où le choix du parti porté sur les préoccupations des citoyens de base qui forment la majorité de la société algérienne. « Le FFS porte et défend les idées des citoyens », a-t-il dit, tout en reconnaissant que l'expérience cumulée par le parti jusque-là « n'encourage pas à la participation ». Le premier secrétaire national du FFS fait évidemment allusion au boycottage des échéances électorales par le passé, qui a fait que le parti s'est davantage éloigné de la population. Bien que la décision définitive de participer ou pas aux prochaines élections ne sera prise que lors de la prochaine conférence nationale, Karim Tabbou annonce d'ores et déjà la couleur. Mieux, le parti d'Aït Ahmed est porteur d' « un projet national », visant à améliorer les conditions de vie des citoyens, a expliqué Tabbou, dans une tentative de capter un électorat potentiel. Donc, le plus vieux parti d'opposition compte investir le terrain de plus belle à travers des actions qui sentent le parfum d'une campagne électorale précoce. Conscient de l'impérieuse nécessité de se rapprocher davantage de la population à travers une présence dans les assemblées élues, le FFS compte bousculer les autres formations politiques sur le terrain. Pour ce faire, le parti compte entamer l'année 2011 avec plein d'activités à la clé, une manière de revenir en force sur la scène politique nationale et investir les assemblées élues. Si le parti est présent dans les assemblées communales, le parti cher à Aït Ahmed est resté loin de l'Assemblée populaire nationale (APN) depuis bientôt trois législatures. Néanmoins, le parti compte réinvestir l'hémicycle, car toute opposition ne serait plus efficace en dehors des assemblées.