"En Algérie, il y a peu de grandes attentes sauf que l'offre n'est pas suffisante sachant qu'il n' y a pas beaucoup d'acteurs dans le secteur de la finance islamique. Par conséquent, il est difficile, voire impossible de financer de grands projets" nous a notamment déclaré le directeur d'Isla Invest, l'organisme chapeautant le forum de la finance islamique ouvert, hier au Club des Pins. "En Algérie, il y a peu de grandes attentes sauf que l'offre n'est pas suffisante sachant qu'il n' y a pas beaucoup d'acteurs dans le secteur de la finance islamique. Par conséquent, il est difficile, voire impossible de financer de grands projets" nous a notamment déclaré le directeur d'Isla Invest, l'organisme chapeautant le forum de la finance islamique ouvert, hier au Club des Pins. En effet, Zoubir Ben Terdeyet a souligné que par rapport à l'édition précédente, il existe une continuité et une suite d'idées dans ce forum, "en ce sens que nous avançons avec des acteurs sur le terrrain où les choses évoluent". Les promoteurs de cet évènement estiment que l'essentiel consiste à voir comment le marché de la finance islamique avance dans les pays arabes, tels ceux du Maghreb à l'exemple de l'Algérie et de la Tunisie où il existe des progrès, contrairement au Maroc et à la Libye où le retard dans l'introduction des banques islamiques est grand. De toute façon, la finance islamique avance d'une manière lente comparativement avec les banques conventionnelles. Les banquiers ne veulent pas prendre des risques. "Cependant, le marché algérien est prometteur où les activités sont beaucoup plus claires par rapport au Maroc et la Libye qui n'ont pas encore un marché de la finance islamique" a affirmé le directeur d'Isla Invest. Mais il reconnaît qu'en France, la finance islamique est plus développée car la formation dans le secteur bancaire est plus importante sachant que pas moins de 5 banques islamiques y sont opérationnelles dont une banque de détail et 4 banques d'affaires. Concernant l'Algérie, Ben Terdeyet indique que "les acteurs algériens ont un rôle à jouer dans la finance islamique en France car la majorité des musulmans en France sont des algériens ou d'origine algérienne. Ainsi, il est possible de profiter de leur expérience et de leur savoir-faire. Il est opportun pour les Algériens de créer une banque islamique pour pouvoir réaliser une expansion à l'international". En guise de message adressé à l'opinion publique et aux différents responsables de la finance en Algérie, le direcetur d'Isla Investa précisé que "l'Algérie a sa place dans le Maghreb tandis qu'elle ne manque pas de compétences nécessaires pour la promotion de la finance islamique puisqu'elle possède déjà une culture islamique. Il existe également un grand élan pour l'introduction en bourse d'une banque islamique au moment où la finance islamique est caractérisée par un rayonnement en Algérie où le marché financier doit être le plus développé au sein du Maghreb". En effet, Zoubir Ben Terdeyet a souligné que par rapport à l'édition précédente, il existe une continuité et une suite d'idées dans ce forum, "en ce sens que nous avançons avec des acteurs sur le terrrain où les choses évoluent". Les promoteurs de cet évènement estiment que l'essentiel consiste à voir comment le marché de la finance islamique avance dans les pays arabes, tels ceux du Maghreb à l'exemple de l'Algérie et de la Tunisie où il existe des progrès, contrairement au Maroc et à la Libye où le retard dans l'introduction des banques islamiques est grand. De toute façon, la finance islamique avance d'une manière lente comparativement avec les banques conventionnelles. Les banquiers ne veulent pas prendre des risques. "Cependant, le marché algérien est prometteur où les activités sont beaucoup plus claires par rapport au Maroc et la Libye qui n'ont pas encore un marché de la finance islamique" a affirmé le directeur d'Isla Invest. Mais il reconnaît qu'en France, la finance islamique est plus développée car la formation dans le secteur bancaire est plus importante sachant que pas moins de 5 banques islamiques y sont opérationnelles dont une banque de détail et 4 banques d'affaires. Concernant l'Algérie, Ben Terdeyet indique que "les acteurs algériens ont un rôle à jouer dans la finance islamique en France car la majorité des musulmans en France sont des algériens ou d'origine algérienne. Ainsi, il est possible de profiter de leur expérience et de leur savoir-faire. Il est opportun pour les Algériens de créer une banque islamique pour pouvoir réaliser une expansion à l'international". En guise de message adressé à l'opinion publique et aux différents responsables de la finance en Algérie, le direcetur d'Isla Investa précisé que "l'Algérie a sa place dans le Maghreb tandis qu'elle ne manque pas de compétences nécessaires pour la promotion de la finance islamique puisqu'elle possède déjà une culture islamique. Il existe également un grand élan pour l'introduction en bourse d'une banque islamique au moment où la finance islamique est caractérisée par un rayonnement en Algérie où le marché financier doit être le plus développé au sein du Maghreb".