Les cours du pétrole accentuaient leur progression jeudi dernier en début d'échanges européens, évoluant à des niveaux plus vus depuis deux ans, sur un marché toujours porté par la publication la veille d'un recul colossal et inattendu des réserves pétrolières américaines. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 89,47 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, progressant de 51 cents par rapport à la clôture de la veille. Le baril de Brent est monté jeudi jusqu'à 89,70 dollars, son niveau le plus élevé depuis deux ans, et à courte distance du seuil de 90 dollars qu'il n'a plus franchi depuis début octobre 2008. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance identique gagnait 68 cents à 88,49 dollars. Le WTI, qui a renoué depuis la semaine dernière avec ses niveaux de l'automne 2008, a atteint jeudi un nouveau plus haut depuis deux ans. Une hausse du billet vert est habituellement de nature à rendre les achats de matières premières libellées en dollars, comme l'or noir, moins attractifs pour les investisseurs munis d'autres devises. Les cours du brut étaient ainsi portés par la publication mercredi d'un recul bien plus fort que prévu et dans toutes les catégories des stocks pétroliers aux Etats-Unis lors de la semaine achevée le 5 novembre. Selon le rapport publié par le Département américain de l'Energie (DoE), les stocks de brut aux Etats-Unis, qui évoluaient à leur plus haut niveau en vingt ans, ont reculé contre toutes attentes de 3,3 millions de barils. Les stocks d'essence ont quant à eux diminué bien plus que prévu, de 1,9 million de barils, et les stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage), très surveillés avant la période hivernale, ont également chuté plus qu'attendu, de 5 millions de barils. Par ailleurs, les cours étaient soutenus par la publication d'indicateurs chinois, "qui ont fait état d'une activité économique solide", ajoutaient les analystes, ce qui implique que la demande chinoise de brut devrait rester robuste. Les cours du pétrole accentuaient leur progression jeudi dernier en début d'échanges européens, évoluant à des niveaux plus vus depuis deux ans, sur un marché toujours porté par la publication la veille d'un recul colossal et inattendu des réserves pétrolières américaines. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 89,47 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, progressant de 51 cents par rapport à la clôture de la veille. Le baril de Brent est monté jeudi jusqu'à 89,70 dollars, son niveau le plus élevé depuis deux ans, et à courte distance du seuil de 90 dollars qu'il n'a plus franchi depuis début octobre 2008. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance identique gagnait 68 cents à 88,49 dollars. Le WTI, qui a renoué depuis la semaine dernière avec ses niveaux de l'automne 2008, a atteint jeudi un nouveau plus haut depuis deux ans. Une hausse du billet vert est habituellement de nature à rendre les achats de matières premières libellées en dollars, comme l'or noir, moins attractifs pour les investisseurs munis d'autres devises. Les cours du brut étaient ainsi portés par la publication mercredi d'un recul bien plus fort que prévu et dans toutes les catégories des stocks pétroliers aux Etats-Unis lors de la semaine achevée le 5 novembre. Selon le rapport publié par le Département américain de l'Energie (DoE), les stocks de brut aux Etats-Unis, qui évoluaient à leur plus haut niveau en vingt ans, ont reculé contre toutes attentes de 3,3 millions de barils. Les stocks d'essence ont quant à eux diminué bien plus que prévu, de 1,9 million de barils, et les stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage), très surveillés avant la période hivernale, ont également chuté plus qu'attendu, de 5 millions de barils. Par ailleurs, les cours étaient soutenus par la publication d'indicateurs chinois, "qui ont fait état d'une activité économique solide", ajoutaient les analystes, ce qui implique que la demande chinoise de brut devrait rester robuste.