Comme à l'accoutumée et à la veille de l'Aïd El-Adha ou comme cette fête est appelée communément chez nous : Aïd El-Kebir, des troupeaux de moutons envahissent les espaces verts de la capitale y causant des dégâts incommensurables. C'est le cas notamment dans les communes de Zéralda, Bouchaoui, Beni-Messous, Staoueli... - communes semi-rurales - tout comme d'ailleurs dans l'ensemble des autres localités de la capitale, même si c'est à un degré moindre. Les automobilistes, empruntant l'autoroute Alger-Tipasa, n'ont certainement pas manqué de remarquer les innombrables troupeaux de moutons broutant en toute liberté les maigres pelouses des espaces verts - pâtissant déjà de l'incivisme de certains citoyens - sous la surveillance de leurs «bergers», qui ont pour objectif principal, d'engraisser au mieux leurs bêtes afin de les écouler au prix fort, cela en faisant l'économie de l'aliment pour bétail. Cette fête religieuse, représente une symbolique particulière pour les Musulmans, lesquels écument les lieux réservés à la vente des ovins à la recherche, depuis déjà quelques jours, du mouton qui n'hypothéquerait pas plusieurs mois du budget familial. Ces bergers, qui font paître leurs bêtes dans les espaces publics, savent très bien que plus le mouton est gras plus son prix peut atteindre des pics vertigineux. Ainsi au vu et au su de tous : (autorités communales comprises), ces maquignons engraissent leur bétail au détriment des rares espaces verts subsistant encore dans l'Algérois. Tout ce qui est verdure est bon à prendre pour ces bergers : gazon, herbe poussant le long de l'autoroute, décharges sauvages... rien n'est à l'abri de l'appétit vorace de ces moutons appelés, pour certains d'entre eux, à finir dans nos assiettes. Comme à l'accoutumée et à la veille de l'Aïd El-Adha ou comme cette fête est appelée communément chez nous : Aïd El-Kebir, des troupeaux de moutons envahissent les espaces verts de la capitale y causant des dégâts incommensurables. C'est le cas notamment dans les communes de Zéralda, Bouchaoui, Beni-Messous, Staoueli... - communes semi-rurales - tout comme d'ailleurs dans l'ensemble des autres localités de la capitale, même si c'est à un degré moindre. Les automobilistes, empruntant l'autoroute Alger-Tipasa, n'ont certainement pas manqué de remarquer les innombrables troupeaux de moutons broutant en toute liberté les maigres pelouses des espaces verts - pâtissant déjà de l'incivisme de certains citoyens - sous la surveillance de leurs «bergers», qui ont pour objectif principal, d'engraisser au mieux leurs bêtes afin de les écouler au prix fort, cela en faisant l'économie de l'aliment pour bétail. Cette fête religieuse, représente une symbolique particulière pour les Musulmans, lesquels écument les lieux réservés à la vente des ovins à la recherche, depuis déjà quelques jours, du mouton qui n'hypothéquerait pas plusieurs mois du budget familial. Ces bergers, qui font paître leurs bêtes dans les espaces publics, savent très bien que plus le mouton est gras plus son prix peut atteindre des pics vertigineux. Ainsi au vu et au su de tous : (autorités communales comprises), ces maquignons engraissent leur bétail au détriment des rares espaces verts subsistant encore dans l'Algérois. Tout ce qui est verdure est bon à prendre pour ces bergers : gazon, herbe poussant le long de l'autoroute, décharges sauvages... rien n'est à l'abri de l'appétit vorace de ces moutons appelés, pour certains d'entre eux, à finir dans nos assiettes.