Des Français, d'origine algérienne pour la plupart, avait projeté d'assassiner le recteur de la Grande mosquée de Paris Dalil Boubekeur pour ne pas avoir pris position lors du débat sur le port du voile intégral, qui a été voté en 14 septembre 2010 par le Parlement français d'une part et lui reprochent de prôner un Islam modéré et de juste milieu d'autre part. Des Français, d'origine algérienne pour la plupart, avait projeté d'assassiner le recteur de la Grande mosquée de Paris Dalil Boubekeur pour ne pas avoir pris position lors du débat sur le port du voile intégral, qui a été voté en 14 septembre 2010 par le Parlement français d'une part et lui reprochent de prôner un Islam modéré et de juste milieu d'autre part. Cinq personnes, soupçonnées d'appartenir à une filière djihadiste, l'un d'entre eux avait séjourné dans la zone pakistano-afghane en 2009 et était familier des sites djihadistes sur Internet, ont été interpellées lundi et mardi passés. Ils s'apprêtaient à commettre des attentats en France. Des Français, d'origine algérienne pour la plupart, avait projeté d'assassiner le recteur de la Grande mosquée de Paris Dalil Boubekeur pour ne pas avoir pris position lors du débat sur le port du voile intégral, qui a été voté en 14 septembre 2010 par le Parlement français d'une part et lui reprochent de prôner un Islam modéré et de juste milieu concernant le dialogue entre les religions et les cultures, et qu'il soit intégré à la société française d'autre part. Il fut également critiqué pour son soutien immédiat au ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux auteur d'une phrase jugée raciste par plusieurs associations des droits de l'Homme et condamné par la justice. Ce même ministre a rappelé lors d'une conférence de presse, tenue mercredi dernier, que le soupçon qui pesait sur la tentative d'assassinat du recteur avait été prise très au sérieux rapporte le journal Libération, d'autant que la vague d'attentats qui avait touché la France en 1995 avait débuté par l'assassinat de l'iman Sahraoui de la mosquée de la rue Myrrha, à Paris. Après les alertes à la bombe dans Paris et la menace d'assassinat du recteur de la grande mosquée de Paris, celui-ci avait bénéficié d'une garde rapprochée à la mi-septembre. L'attentat a pu être déjoué grâce, selon le ministre de l'Intérieur rapporte le même journal, à l'activité des services secrets français. Les cinq terroristes présumés sont soupçonnés d'appartenir à un groupe radical. Ils ont été interpellés à l'aéroport Roissy Charles de Gaulle, alors qu'ils devaient se rendre dans la zone pakistano-afghane, par la brigade antiterroriste et ont été placés en garde à vue. Ils étaient prêts à mourir « pour la cause » dans le cadre de leur action fanatique. Il y avait parmi eux une femme que les services auraient remise en liberté jeudi dernier. Reste que l'Islam modéré reste une cible pour les djihadistes et que la menace terroriste est plus que présente sans pour autant la surestimée pas plus qu'elle ne doit être sous-estimée comme en atteste les enlèvements de cinq Français au Mali et deux autres au Nigéria, des enlèvements revendiqués par l'AQMI. Pour sa part, le Conseil français du culte musulman, par la voix de son président Mohamed Moussaoui, a vivement condamné les menaces d'assassinat contre Dalil Boubekeur et réitère l'appel à la vigilance de la communauté musulmane contre toute dérive extrémiste contraire aux valeurs de l'Islam. Bio express Boubekeur Dalil est le fils de Boubekeur Hamza ancien recteur de la Grande mosquée de Paris. Il rejoint la France avec sa famille en 1957 lors de la Guerre d'Algérie. Il poursuit des études de médecine et devient médecin rattaché à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Par la suite, il est chargé d'enseignement aux Facultés de médecine de Paris-Créteil, de Kremlin-Bicêtre et de la Pitié-Salpêtrière. Il est membre du conseil de l'Ordre des médecins de Paris depuis 1977. En 1985, il devient président de la Société des habous et Lieux-Saints de l'Islam puis vice-président de 1987 à 1992. Il est ensuite nommé en 1992 recteur de l'Institut musulman de la Grande mosquée de Paris à la suite des deux recteurs ayant succédé à son père entre 1982 et 1992 (Cheikh Abbas et Tidjani Haddam. En avril 2003, il devient président du Conseil français du culte musulman qui vient d'être créé avec le soutien actif de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur. Il est réélu en avril 2005. Il en est aujourd'hui le vice-président. Il est aussi membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence et vice-président du conseil (départemental) de l'Ordre des médecins de la Ville de Paris. Cinq personnes, soupçonnées d'appartenir à une filière djihadiste, l'un d'entre eux avait séjourné dans la zone pakistano-afghane en 2009 et était familier des sites djihadistes sur Internet, ont été interpellées lundi et mardi passés. Ils s'apprêtaient à commettre des attentats en France. Des Français, d'origine algérienne pour la plupart, avait projeté d'assassiner le recteur de la Grande mosquée de Paris Dalil Boubekeur pour ne pas avoir pris position lors du débat sur le port du voile intégral, qui a été voté en 14 septembre 2010 par le Parlement français d'une part et lui reprochent de prôner un Islam modéré et de juste milieu concernant le dialogue entre les religions et les cultures, et qu'il soit intégré à la société française d'autre part. Il fut également critiqué pour son soutien immédiat au ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux auteur d'une phrase jugée raciste par plusieurs associations des droits de l'Homme et condamné par la justice. Ce même ministre a rappelé lors d'une conférence de presse, tenue mercredi dernier, que le soupçon qui pesait sur la tentative d'assassinat du recteur avait été prise très au sérieux rapporte le journal Libération, d'autant que la vague d'attentats qui avait touché la France en 1995 avait débuté par l'assassinat de l'iman Sahraoui de la mosquée de la rue Myrrha, à Paris. Après les alertes à la bombe dans Paris et la menace d'assassinat du recteur de la grande mosquée de Paris, celui-ci avait bénéficié d'une garde rapprochée à la mi-septembre. L'attentat a pu être déjoué grâce, selon le ministre de l'Intérieur rapporte le même journal, à l'activité des services secrets français. Les cinq terroristes présumés sont soupçonnés d'appartenir à un groupe radical. Ils ont été interpellés à l'aéroport Roissy Charles de Gaulle, alors qu'ils devaient se rendre dans la zone pakistano-afghane, par la brigade antiterroriste et ont été placés en garde à vue. Ils étaient prêts à mourir « pour la cause » dans le cadre de leur action fanatique. Il y avait parmi eux une femme que les services auraient remise en liberté jeudi dernier. Reste que l'Islam modéré reste une cible pour les djihadistes et que la menace terroriste est plus que présente sans pour autant la surestimée pas plus qu'elle ne doit être sous-estimée comme en atteste les enlèvements de cinq Français au Mali et deux autres au Nigéria, des enlèvements revendiqués par l'AQMI. Pour sa part, le Conseil français du culte musulman, par la voix de son président Mohamed Moussaoui, a vivement condamné les menaces d'assassinat contre Dalil Boubekeur et réitère l'appel à la vigilance de la communauté musulmane contre toute dérive extrémiste contraire aux valeurs de l'Islam. Bio express Boubekeur Dalil est le fils de Boubekeur Hamza ancien recteur de la Grande mosquée de Paris. Il rejoint la France avec sa famille en 1957 lors de la Guerre d'Algérie. Il poursuit des études de médecine et devient médecin rattaché à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Par la suite, il est chargé d'enseignement aux Facultés de médecine de Paris-Créteil, de Kremlin-Bicêtre et de la Pitié-Salpêtrière. Il est membre du conseil de l'Ordre des médecins de Paris depuis 1977. En 1985, il devient président de la Société des habous et Lieux-Saints de l'Islam puis vice-président de 1987 à 1992. Il est ensuite nommé en 1992 recteur de l'Institut musulman de la Grande mosquée de Paris à la suite des deux recteurs ayant succédé à son père entre 1982 et 1992 (Cheikh Abbas et Tidjani Haddam. En avril 2003, il devient président du Conseil français du culte musulman qui vient d'être créé avec le soutien actif de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur. Il est réélu en avril 2005. Il en est aujourd'hui le vice-président. Il est aussi membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence et vice-président du conseil (départemental) de l'Ordre des médecins de la Ville de Paris.