Le Guide de la Révolution libyenne a mis l'accent sur la nécessité de traduire la coopération entre l'Afrique et l'Europe par des actions concrètes sur le terrain, il a également pointé du doigt l'OMC et Le FMI. Le Guide de la Révolution libyenne a mis l'accent sur la nécessité de traduire la coopération entre l'Afrique et l'Europe par des actions concrètes sur le terrain, il a également pointé du doigt l'OMC et Le FMI. Les travaux du 3e Sommet entre l'Union africaine (UA) et l'Union européenne, visant le renforcement des relations stratégiques de coopération entre les deux continents, ont démarré, hier, en début d'après-midi à Tripoli (Libye). Plusieurs chefs d'Etat et de gouvernement, dont le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, participent à cette réunion de haut niveau sur le thème général : « Investissement, croissance économique et création d'emplois » et devra adopter le plan d'action 2011/2013 et la « déclaration de Tripoli ». A l'ouverture de ce sommet, le Guide de la Révolution libyenne, le colonel Maâmar El-Gueddafi s'est félicité que les pays africains et européens eurent dépassé leurs divergences héritées d'un passé colonial, pour se consacrer à leurs efforts à l'édification de relations basées sur la paix et le développement économique. Le Guide de la Révolution libyenne qui a mis l'accent sur la nécessité de traduire la coopération entre l'Afrique et l'Europe par des actions concrètes sur le terrain, a relevé qu' «aujourd'hui nous sommes plus préoccupés par des questions politiques que par notre coopération. Nous souffrons de plusieurs fléaux, dont le terrorisme et l'immigration clandestine (...) et nous faisons face aux exigences du Fonds monétaire international (FMI) et de l'Organisation mondiale du commerce (OMC)». Pour le dirigeant libyen, «les pays du Tiers-Monde, plus particulièrement ceux d'Afrique, n'ont d'aucune manière bénéficié de l'OMC», qu'il a qualifiée, «de nouvel outil du colonialisme» et a appelé à sa disparition, car, a-t-il expliqué, «son seul souci est d'ouvrir nos frontières aux produits des pays industrialisés pour ruiner toute production nationale de nos pays». Abordant le phénomène du terrorisme, Maâmar El-Gueddafi souligne que ce fléau «est condamné par tous et nous voulons nous unir pour lutter contre ce phénomène», tout en requérrant la nécessité de définir le terrorisme. Ce 3e sommet de deux jours est qualifié d' «opportunité» pour évaluer les progrès réalisés dans le cadre du partenariat stratégique Afrique-UE. Le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, a affirmé pour sa part qu'il valorisait la coopération stratégique avec l'Union européenne, et espérait qu'elle se développe pour le bien-être de tous. Il souhaite qu'il s'établisse un partenariat plus solide entre l'Afrique et l'Europe, appelant la réévaluation de la stratégie de coopération au cours de ce 3e Sommet pour le bénéfice de tous. De son côté, le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, a déclaré en marge de la réunion que dans le contexte de la croissante globalisation et de la crise économique et financière, le partenariat de l'UA assume une importance stratégique. Pour sa part, le président de la Commission Européenne, José Manuel Barroso, a souligné que «l'Europe était en train de constituer un partenariat fort et davantage plus proche d'Afrique», appelant à «consolider et approfondir les relations, partant des potentialités non explorées dans les relations entre l'UE et l'Afrique». Au programme d'aujourd'hui, les participants débattront des questions relatives à la «paix et la sécurité», «la gouvernance et les droits de l'Homme» et «l'émigration, mobilité et création d'emplois». Les travaux du 3e Sommet entre l'Union africaine (UA) et l'Union européenne, visant le renforcement des relations stratégiques de coopération entre les deux continents, ont démarré, hier, en début d'après-midi à Tripoli (Libye). Plusieurs chefs d'Etat et de gouvernement, dont le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, participent à cette réunion de haut niveau sur le thème général : « Investissement, croissance économique et création d'emplois » et devra adopter le plan d'action 2011/2013 et la « déclaration de Tripoli ». A l'ouverture de ce sommet, le Guide de la Révolution libyenne, le colonel Maâmar El-Gueddafi s'est félicité que les pays africains et européens eurent dépassé leurs divergences héritées d'un passé colonial, pour se consacrer à leurs efforts à l'édification de relations basées sur la paix et le développement économique. Le Guide de la Révolution libyenne qui a mis l'accent sur la nécessité de traduire la coopération entre l'Afrique et l'Europe par des actions concrètes sur le terrain, a relevé qu' «aujourd'hui nous sommes plus préoccupés par des questions politiques que par notre coopération. Nous souffrons de plusieurs fléaux, dont le terrorisme et l'immigration clandestine (...) et nous faisons face aux exigences du Fonds monétaire international (FMI) et de l'Organisation mondiale du commerce (OMC)». Pour le dirigeant libyen, «les pays du Tiers-Monde, plus particulièrement ceux d'Afrique, n'ont d'aucune manière bénéficié de l'OMC», qu'il a qualifiée, «de nouvel outil du colonialisme» et a appelé à sa disparition, car, a-t-il expliqué, «son seul souci est d'ouvrir nos frontières aux produits des pays industrialisés pour ruiner toute production nationale de nos pays». Abordant le phénomène du terrorisme, Maâmar El-Gueddafi souligne que ce fléau «est condamné par tous et nous voulons nous unir pour lutter contre ce phénomène», tout en requérrant la nécessité de définir le terrorisme. Ce 3e sommet de deux jours est qualifié d' «opportunité» pour évaluer les progrès réalisés dans le cadre du partenariat stratégique Afrique-UE. Le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, a affirmé pour sa part qu'il valorisait la coopération stratégique avec l'Union européenne, et espérait qu'elle se développe pour le bien-être de tous. Il souhaite qu'il s'établisse un partenariat plus solide entre l'Afrique et l'Europe, appelant la réévaluation de la stratégie de coopération au cours de ce 3e Sommet pour le bénéfice de tous. De son côté, le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, a déclaré en marge de la réunion que dans le contexte de la croissante globalisation et de la crise économique et financière, le partenariat de l'UA assume une importance stratégique. Pour sa part, le président de la Commission Européenne, José Manuel Barroso, a souligné que «l'Europe était en train de constituer un partenariat fort et davantage plus proche d'Afrique», appelant à «consolider et approfondir les relations, partant des potentialités non explorées dans les relations entre l'UE et l'Afrique». Au programme d'aujourd'hui, les participants débattront des questions relatives à la «paix et la sécurité», «la gouvernance et les droits de l'Homme» et «l'émigration, mobilité et création d'emplois».