Les récentes déclarations du secrétaire général du Front de libération national (FLN), loin d'apaiser les tensions, a ajouté de l'huile sur le feu de la contestation. La réaction des redresseurs ne se fera pas longtemps attendre, puisqu'une réunion est convoquée pour aujourd'hui afin de décider de la riposte à donner aux propos d'Abdelaziz Belkhadem. Selon le porte-parole de la dissidence, Mohamed-Seghir Kara, le mouvement de redressement ne va pas s'estomper en si bon chemin. « C'est désolant d'entendre des dirigeants du parti proférer de tels propos à l'adresse des militants, les vrais du parti », a souligné Kara, tout en soulignant que le mouvement de redressement se poursuivra jusqu'à l'assainissement total des rangs du FLN. En attendant, la scission semble définitivement consommée au sein du vieux parti. Abdelaziz Belkhadem, qui ignorait jusque-là l'existence d'une quelconque fronde au parti, a fini par l'avouer entrant de la sorte en clash direct avec ses détracteurs. « Le mouvement de redressement du FLN se réunira aujourd'hui pour étudier les développements de la situation et décidera de la suite à donner », s'est contenté de dire Mohamed-Seghir Kara, tout en faisant savoir que ladite réunion sera sanctionnée par un communiqué dans lequel seront notées toutes les remarques et les actions à entreprendre dans l'avenir. Dans ce sens, on devrait s'attendre à un "regain" des hostilités entre les deux factions du FLN. Le discours prononcé par Belkhadem, ces derniers jours, à l'occasion d'une réunion tenue à Alger pour évaluer l'opération de renouvellement de structures de base du parti a mis le feu aux poudres. Il a notamment accusé les frondeurs de courir après des postes de responsabilité au sein du parti, opportunistes autrement dit, allant jusqu'à les réduire en un simple cas disciplinaire. D'ailleurs, la réunion du comité central du FLN, prévue les 23 et 24 du mois courant, planchera sur cette question, dans une ultime tentative d'éteindre les feux de la contestation et aborder sereinement le renouvellement des mouhafadhas prévue en janvier et février de l'année prochaine. Cette opération est déjà très en retard par rapport au programme tracé par le FLN. Elle devait en effet s'achever avant la fin de l'année en cours. Une chose est cependant sûre, la situation ne connaîtra pas son épilogue de sitôt. L'approche des élections législatives et municipales de 2012 accentuera davantage les clivages. Ce qui augure, dans un avenir très proche, l'éclatement de véritables guéguerres entre militants de base afin de postuler à des places dans les listes électorales relatives aux futures échéances. Les récentes déclarations du secrétaire général du Front de libération national (FLN), loin d'apaiser les tensions, a ajouté de l'huile sur le feu de la contestation. La réaction des redresseurs ne se fera pas longtemps attendre, puisqu'une réunion est convoquée pour aujourd'hui afin de décider de la riposte à donner aux propos d'Abdelaziz Belkhadem. Selon le porte-parole de la dissidence, Mohamed-Seghir Kara, le mouvement de redressement ne va pas s'estomper en si bon chemin. « C'est désolant d'entendre des dirigeants du parti proférer de tels propos à l'adresse des militants, les vrais du parti », a souligné Kara, tout en soulignant que le mouvement de redressement se poursuivra jusqu'à l'assainissement total des rangs du FLN. En attendant, la scission semble définitivement consommée au sein du vieux parti. Abdelaziz Belkhadem, qui ignorait jusque-là l'existence d'une quelconque fronde au parti, a fini par l'avouer entrant de la sorte en clash direct avec ses détracteurs. « Le mouvement de redressement du FLN se réunira aujourd'hui pour étudier les développements de la situation et décidera de la suite à donner », s'est contenté de dire Mohamed-Seghir Kara, tout en faisant savoir que ladite réunion sera sanctionnée par un communiqué dans lequel seront notées toutes les remarques et les actions à entreprendre dans l'avenir. Dans ce sens, on devrait s'attendre à un "regain" des hostilités entre les deux factions du FLN. Le discours prononcé par Belkhadem, ces derniers jours, à l'occasion d'une réunion tenue à Alger pour évaluer l'opération de renouvellement de structures de base du parti a mis le feu aux poudres. Il a notamment accusé les frondeurs de courir après des postes de responsabilité au sein du parti, opportunistes autrement dit, allant jusqu'à les réduire en un simple cas disciplinaire. D'ailleurs, la réunion du comité central du FLN, prévue les 23 et 24 du mois courant, planchera sur cette question, dans une ultime tentative d'éteindre les feux de la contestation et aborder sereinement le renouvellement des mouhafadhas prévue en janvier et février de l'année prochaine. Cette opération est déjà très en retard par rapport au programme tracé par le FLN. Elle devait en effet s'achever avant la fin de l'année en cours. Une chose est cependant sûre, la situation ne connaîtra pas son épilogue de sitôt. L'approche des élections législatives et municipales de 2012 accentuera davantage les clivages. Ce qui augure, dans un avenir très proche, l'éclatement de véritables guéguerres entre militants de base afin de postuler à des places dans les listes électorales relatives aux futures échéances.