L'entreprise en charge des travaux de la réfection de la route menant à Haouch Attar, n'ayant pas respecté ses engagements, les services de l'assemblée populaire communale lui ont adressé des mises en demeure. Ne constatant, par la suite, aucun effort notable ou changement positif, ces mêmes services ont procédé à la résiliation du contrat. L'entreprise en charge des travaux de la réfection de la route menant à Haouch Attar, n'ayant pas respecté ses engagements, les services de l'assemblée populaire communale lui ont adressé des mises en demeure. Ne constatant, par la suite, aucun effort notable ou changement positif, ces mêmes services ont procédé à la résiliation du contrat. Les travaux pour la réfection de la route menant à Haouch Attar, quartier situé dans la commune de Dar el-Beïda, sont menés sans progrès notables alors que le chantier a été ouvert en mars dernier. La lenteur désespérante de ces travaux s'est encore compliquée avec le retour des intempéries. Cette lamentable situation pénalise grandement les familles résidant à Haouch Attar. « Les travaux ont pourtant débuté dans la période idéale », nous a déclaré le chef de service technique à l'APC de Dar El-Beïda. Ce dernier nous explioque que ses services avaient, en effet, confié les travaux de remise en l'état de la route Haouch Attar, menant vers la Route nationale numéro 5, à une entreprise de travaux publics privée. Attendu que cette dernière n'a pas tenu ses engagements, plusieurs mises en demeure lui ont été signifiées, au terme desquelles ne constatant aucun effort ou changement positif, ces mêmes services ont été contraints de résilier le contrat. « Hélas, les procédures administratives prennent beaucoup trop de temps », nous avouera le même responsable lequel pour justifier la lenteur de ce chantier précise qu'il faut respecter les procédures pour procéder à la résiliation du contrat avec la première entreprise en avant de pouvoir le remettre enfin à une entreprise plus performante. Notre interlocuteur souligne : « La nouvelle entreprise retenue est publique et elle suit le projet convenablement ». Sauf que : « Les conditions climatiques ne jouent pas en leur faveur. Donc ces travaux tournent au ralenti à cause des intempéries », poursuit notre interlocuteur. Ce dernier nous explique que même si l'étape de terrassement ait été acuevée le terrain doit être parfaitement sec pour pouvoir procéder à la prochaine étape. Avec les averses itératives de ces derniers jours la reprise des travaux peut encore attendre encore. La situation est pitoyable. En fait, les citoyens et usagers de cette route vivent un véritable calvaire au quotidien. Les automobilistes empruntant cette "piste" le font à leur corps défendant craignant que leurs véhicules ne tiennent pas le coup et les lâchent en cours de "piste". Toutes les personnes approchées au sujet de l'état de cette route sont unanimes pour affirmer que rien ne les encourage à emprunter cette route. Ils estiment ce chemin « catastrophique ». «Pour me rendre à mon travail, je suis obligé de passer par cette route. Malheureusement je n'ai pas d'autre choix », nous a déclaré l'un d'eux. Et d'ajouter : « Je sais bien qu'en passant par là avec mon véhicule je risque gros, d'autant que les pièces de rechange sont chères, mais que faire d'autre je ne peux pas faire autrement». Une chose est sûre les usagers de cette route sont lassés d'attendre la fin des travaux et prient pour qu'ils se terminent avant que l'hiver ne s'installe. Les travaux pour la réfection de la route menant à Haouch Attar, quartier situé dans la commune de Dar el-Beïda, sont menés sans progrès notables alors que le chantier a été ouvert en mars dernier. La lenteur désespérante de ces travaux s'est encore compliquée avec le retour des intempéries. Cette lamentable situation pénalise grandement les familles résidant à Haouch Attar. « Les travaux ont pourtant débuté dans la période idéale », nous a déclaré le chef de service technique à l'APC de Dar El-Beïda. Ce dernier nous explioque que ses services avaient, en effet, confié les travaux de remise en l'état de la route Haouch Attar, menant vers la Route nationale numéro 5, à une entreprise de travaux publics privée. Attendu que cette dernière n'a pas tenu ses engagements, plusieurs mises en demeure lui ont été signifiées, au terme desquelles ne constatant aucun effort ou changement positif, ces mêmes services ont été contraints de résilier le contrat. « Hélas, les procédures administratives prennent beaucoup trop de temps », nous avouera le même responsable lequel pour justifier la lenteur de ce chantier précise qu'il faut respecter les procédures pour procéder à la résiliation du contrat avec la première entreprise en avant de pouvoir le remettre enfin à une entreprise plus performante. Notre interlocuteur souligne : « La nouvelle entreprise retenue est publique et elle suit le projet convenablement ». Sauf que : « Les conditions climatiques ne jouent pas en leur faveur. Donc ces travaux tournent au ralenti à cause des intempéries », poursuit notre interlocuteur. Ce dernier nous explique que même si l'étape de terrassement ait été acuevée le terrain doit être parfaitement sec pour pouvoir procéder à la prochaine étape. Avec les averses itératives de ces derniers jours la reprise des travaux peut encore attendre encore. La situation est pitoyable. En fait, les citoyens et usagers de cette route vivent un véritable calvaire au quotidien. Les automobilistes empruntant cette "piste" le font à leur corps défendant craignant que leurs véhicules ne tiennent pas le coup et les lâchent en cours de "piste". Toutes les personnes approchées au sujet de l'état de cette route sont unanimes pour affirmer que rien ne les encourage à emprunter cette route. Ils estiment ce chemin « catastrophique ». «Pour me rendre à mon travail, je suis obligé de passer par cette route. Malheureusement je n'ai pas d'autre choix », nous a déclaré l'un d'eux. Et d'ajouter : « Je sais bien qu'en passant par là avec mon véhicule je risque gros, d'autant que les pièces de rechange sont chères, mais que faire d'autre je ne peux pas faire autrement». Une chose est sûre les usagers de cette route sont lassés d'attendre la fin des travaux et prient pour qu'ils se terminent avant que l'hiver ne s'installe.