L'Alliance présidentielle projette de déclarer la guerre à la corruption et aux différents fléaux sociaux. Cette préposition, soumise par le FLN à ses deux partenaires de l'Alliance présidentielle, le RND et le MSP, a été discutée, hier, lors du sommet de ce groupe politique tenue au siège du vieux parti. Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a annoncé que ce point allait figurer à l'ordre du jour de ce conclave. « Il faut combattre la corruption en mettant en œuvre un plan d'action pour mobiliser nos militants ainsi que les citoyens autour de la nécessité de lutter contre ce fléau » a indiqué Abdelaziz Belkhadem, dans son allocution à l'ouverture des travaux de ce sommet au cours duquel son parti va succéder au RND à la présidence tournante de l'Alliance présidentielle. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, et Bouguerra Soltani, président du MSP, qui ont entériné cette proposition qui a été ainsi discuté lors de ce sommet, partage sans doute la meme préoccupation que Belkhadem. Ce d'autant que le président du MSP a, lui aussi, fait clairement référence à la corruption lors de son allocution. « Nous espérons davantage de concertation et de coopération pour lutter contre la corruption comme cela a été le cas dans la lutte contre le terrorisme » a indiqué le président du MSP a l'adresse de ses deux partenaires avant d'ajouter que « nous croyons que la lutte contre la corruption est aussi importante que la lutte contre le terrorisme ». Cela dit le sommet de l'Alliance présidentielle, qui a tardé à se tenir puisque la dernière rencontre des trois dirigeants remonte déjà au début du mois de février, a été l'occasion de faire le point sur les réalisations et les perspectives d'avenir. Et dans ce contexte Ahmed Ouyahia et Bouguerra Soltani ont fait cas de certaines insuffisances qui persistent alors que l'alliance présidentielle a presque 7 ans d'existence. « L'activité partisane commune n'a pas atteint le niveau auquel nous aspirons tous » a, à cet effet, souligné Ahmed Ouyahia, le chef du RND. Une conviction vite, quant-à-lui, que « l'Alliance partagée par Bouguerra Soltani qui a dit espérer «l'approfondissement de la concertation verticale pour pallier certaines insuffisances ». Le patron du mouvement islamiste revient ainsi à une vieille revendication, sans cesse remise sur le tapis.Le MSP a toujours voulu conforter le prolongement de l'Alliance présidentielle au niveau local. Mais malgré ces insuffisances reconnues par ces deux leaders l'accent a été mis sur les mérites de l'Alliance présidentielle qui est devenue, selon Bouguerra Soltani, « un des mécanismes garantissant la stabilité du pays ». C'est dans cette veine qu'a versé le secrétaire général du FLN lorsque'il dira que « l'Alliance a permis la stabilité du pays ». Par ailleurs dans l'ordre du jour préposés par le FLN il a été prévu la tenue d'une conférence des cadres des trois partis lors du 1er trimestre de l'année prochaine. L'Alliance présidentielle projette de déclarer la guerre à la corruption et aux différents fléaux sociaux. Cette préposition, soumise par le FLN à ses deux partenaires de l'Alliance présidentielle, le RND et le MSP, a été discutée, hier, lors du sommet de ce groupe politique tenue au siège du vieux parti. Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a annoncé que ce point allait figurer à l'ordre du jour de ce conclave. « Il faut combattre la corruption en mettant en œuvre un plan d'action pour mobiliser nos militants ainsi que les citoyens autour de la nécessité de lutter contre ce fléau » a indiqué Abdelaziz Belkhadem, dans son allocution à l'ouverture des travaux de ce sommet au cours duquel son parti va succéder au RND à la présidence tournante de l'Alliance présidentielle. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, et Bouguerra Soltani, président du MSP, qui ont entériné cette proposition qui a été ainsi discuté lors de ce sommet, partage sans doute la meme préoccupation que Belkhadem. Ce d'autant que le président du MSP a, lui aussi, fait clairement référence à la corruption lors de son allocution. « Nous espérons davantage de concertation et de coopération pour lutter contre la corruption comme cela a été le cas dans la lutte contre le terrorisme » a indiqué le président du MSP a l'adresse de ses deux partenaires avant d'ajouter que « nous croyons que la lutte contre la corruption est aussi importante que la lutte contre le terrorisme ». Cela dit le sommet de l'Alliance présidentielle, qui a tardé à se tenir puisque la dernière rencontre des trois dirigeants remonte déjà au début du mois de février, a été l'occasion de faire le point sur les réalisations et les perspectives d'avenir. Et dans ce contexte Ahmed Ouyahia et Bouguerra Soltani ont fait cas de certaines insuffisances qui persistent alors que l'alliance présidentielle a presque 7 ans d'existence. « L'activité partisane commune n'a pas atteint le niveau auquel nous aspirons tous » a, à cet effet, souligné Ahmed Ouyahia, le chef du RND. Une conviction vite, quant-à-lui, que « l'Alliance partagée par Bouguerra Soltani qui a dit espérer «l'approfondissement de la concertation verticale pour pallier certaines insuffisances ». Le patron du mouvement islamiste revient ainsi à une vieille revendication, sans cesse remise sur le tapis.Le MSP a toujours voulu conforter le prolongement de l'Alliance présidentielle au niveau local. Mais malgré ces insuffisances reconnues par ces deux leaders l'accent a été mis sur les mérites de l'Alliance présidentielle qui est devenue, selon Bouguerra Soltani, « un des mécanismes garantissant la stabilité du pays ». C'est dans cette veine qu'a versé le secrétaire général du FLN lorsque'il dira que « l'Alliance a permis la stabilité du pays ». Par ailleurs dans l'ordre du jour préposés par le FLN il a été prévu la tenue d'une conférence des cadres des trois partis lors du 1er trimestre de l'année prochaine.