Le tribunal d'Arzew vient de déterrer un autre scandale où de hauts cadres de la compagnie nationale des hydrocarbures sont impliqués dans de prétendues malversations dans la passation d'un marché conclu avec une société mixte algéro-française. Le tribunal d'Arzew vient de déterrer un autre scandale où de hauts cadres de la compagnie nationale des hydrocarbures sont impliqués dans de prétendues malversations dans la passation d'un marché conclu avec une société mixte algéro-française. Le séisme qui a ébranlé la plus importante société nationale fait encore des répliques. La dernière en date vient de placer sous mandat de dépôt le directeur général de Tassili Airlines, Abdelhafid Feghouli qui a également assuré l'intérim à la tête de Sonatrach après l'inculpation de Mohamed Méziane. Le tribunal d'Arzew vient de déterrer un autre scandale où de hauts cadres de la compagnie nationale des hydrocarbures sont impliqués dans de prétendues malversations dans la passation d'un marché conclu avec une société mixte algéro-française, « Safir » en l'occurrence. Mohamed Méziane l'ex- P-dg de Sonatrach lui, déjà poursuivi dans le cadre de l'affaire qui a secoué la compagnie en janvier 2010, est placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de cette nouvelle affaire. Décidément, les scandales se succèdent et ne se ressemblent pas. Sonatrach est-elle devenue un siège éjectable ? Tout porte à le croire, au vu de la succession extraordinaire des affaires traitées les unes après les autres par la justice algérienne. D'autres têtes vont tomber encore. A qui le tour à présent ? Si cela enseigne sur la mise en œuvre des directives du chef de l'Etat dans le cadre de la lutte contre le phénomène de corruption, il n'en demeure pas moins qu'il reflète une situation des plus catastrophiques qui prévaut au sein de la plus importante compagnie nationale, minée par les complaisances et les transactions illégales. En plaçant sous mandat de dépôt l'ex-P-dg par intérim de Sonatrach, la justice compte aller le plus loin possible suivant les enquêtes minutieuses effectuées par l'Inspection générale des finances (IGF) et les services de sécurité. Abdelhafid Feghouli qui a accompagné les dernières heures de Chakib Khelil, ex-ministre de l'Energie et des Mines avant son éviction, a pris les rênes de la compagnie dans une période cruciale, celle qui avait suivi l'éclatement du premier scandale, vient d'être impliqué ainsi que d'autres hauts cadres et pas des moindres, à l'image du P-dg de la société algéro-française « Safir » en plus de Mohamed Méziane et d'une dizaine de cadres. Le parquet d'Arzew a retenu plusieurs griefs contre les prévenus, dont celui de passation de marchés illégaux. L'affaire Sonatrach promet d'autres révélations dans l'avenir. Jusqu'à présent, près de 200 personnes ont été entendues par le juge d'instruction chargé de cette affaire, dont la majorité l'a été au titre de témoin. Cela renseigne sur l'ampleur de l'affaire, mais aussi sur les dégâts considérables causés à l'économie nationale, car ce sont des milliards de dollars qui sont bradés dans de scabreuses accointances qui sapent la source de toutes les richesses nationales. Le séisme qui a ébranlé la plus importante société nationale fait encore des répliques. La dernière en date vient de placer sous mandat de dépôt le directeur général de Tassili Airlines, Abdelhafid Feghouli qui a également assuré l'intérim à la tête de Sonatrach après l'inculpation de Mohamed Méziane. Le tribunal d'Arzew vient de déterrer un autre scandale où de hauts cadres de la compagnie nationale des hydrocarbures sont impliqués dans de prétendues malversations dans la passation d'un marché conclu avec une société mixte algéro-française, « Safir » en l'occurrence. Mohamed Méziane l'ex- P-dg de Sonatrach lui, déjà poursuivi dans le cadre de l'affaire qui a secoué la compagnie en janvier 2010, est placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de cette nouvelle affaire. Décidément, les scandales se succèdent et ne se ressemblent pas. Sonatrach est-elle devenue un siège éjectable ? Tout porte à le croire, au vu de la succession extraordinaire des affaires traitées les unes après les autres par la justice algérienne. D'autres têtes vont tomber encore. A qui le tour à présent ? Si cela enseigne sur la mise en œuvre des directives du chef de l'Etat dans le cadre de la lutte contre le phénomène de corruption, il n'en demeure pas moins qu'il reflète une situation des plus catastrophiques qui prévaut au sein de la plus importante compagnie nationale, minée par les complaisances et les transactions illégales. En plaçant sous mandat de dépôt l'ex-P-dg par intérim de Sonatrach, la justice compte aller le plus loin possible suivant les enquêtes minutieuses effectuées par l'Inspection générale des finances (IGF) et les services de sécurité. Abdelhafid Feghouli qui a accompagné les dernières heures de Chakib Khelil, ex-ministre de l'Energie et des Mines avant son éviction, a pris les rênes de la compagnie dans une période cruciale, celle qui avait suivi l'éclatement du premier scandale, vient d'être impliqué ainsi que d'autres hauts cadres et pas des moindres, à l'image du P-dg de la société algéro-française « Safir » en plus de Mohamed Méziane et d'une dizaine de cadres. Le parquet d'Arzew a retenu plusieurs griefs contre les prévenus, dont celui de passation de marchés illégaux. L'affaire Sonatrach promet d'autres révélations dans l'avenir. Jusqu'à présent, près de 200 personnes ont été entendues par le juge d'instruction chargé de cette affaire, dont la majorité l'a été au titre de témoin. Cela renseigne sur l'ampleur de l'affaire, mais aussi sur les dégâts considérables causés à l'économie nationale, car ce sont des milliards de dollars qui sont bradés dans de scabreuses accointances qui sapent la source de toutes les richesses nationales.