Prenant le grave risque d'être heurté par un véhicule, les jeunes vendeurs aux abords des autoroutes s'enhardissent même jusqu'à surfer entre les véhicules pour proposer leur marchandise aux automobilistes. Prenant le grave risque d'être heurté par un véhicule, les jeunes vendeurs aux abords des autoroutes s'enhardissent même jusqu'à surfer entre les véhicules pour proposer leur marchandise aux automobilistes. Qui d'entre nous n'a pas eu à déplorer le triste spectacle de ces enfants, dont les plus âgés n'ont pas plus de 15 ans, proposant divers articles à la vente aux abords des autoroutes. Galette-maison, bouquets de fleurs, légumes ou fruits sont ainsi étalés sur les voies à grande circulation dans l'espoir de voir les automobilistes s'arrêter pour des achats. Cette situation traduit un réel malaise au sein d'une société qui voient ses enfants, ne pas profiter de leurs vacances et contraints de « travailler » pour aider leurs parents. Ces enfants pourtant, grandis trop vite, jouent à l'adulte exposant leur vie pour simplement glaner quelques sous au terme d'une journée où ils auront inhalé leur saoul de gaz d'échappement. Ces « dangereuses » activités se voient un peu partout à travers la capitale, notamment sur l'autoroute menant vers Zéralda. En effet, affrontant le risque d'être heurté par un véhicule, ces jeunes personnes s'enhardissent même jusqu'à surfer entre les véhicules pour proposer leur marchandise aux automobilistes. Bouquets de fleurs à la main et sourires timides aux lèvres, c'est l'équipement de ces innocents pour leur journée de « travail ». Durant les heures de pointe au moment où l'autoroute est bondée, ils investissent la voie carrossable comme un essaim d'abeilles frappant aux vitres des voitures pour attirer l'attention des conducteurs. Motivés par leurs besoins, rien ne les arrête. Salim, l'un de ces petits vendeurs, âgé de 13 ans nous dira : « J'habite avec mes parents et mes trois sœurs à proximité de l'autoroute. Mon père est handicapé, je suis donc obligé d'aider ma famille. Habituellement c'est en été que je vends les galettes préparées par ma mère, mais là je profite des vacances d'hiver. » Salim comme beaucoup d'autres enfants de son âge ne connaissent pas la vie insouciante des enfants qui ne devraient en aucun cas supperter le joug des adultes, et cela dans une coupable indifférence d'une société qui est censé les protéger et préserver leurs droits. Pour rappel le Mois de l'enfant vient juste de s'achever sur de belles envolées lyriques et promesses d'un avenir meilleur pour nos enfants, mais qui resteront encore une fois de simples vœux pieux. Qui d'entre nous n'a pas eu à déplorer le triste spectacle de ces enfants, dont les plus âgés n'ont pas plus de 15 ans, proposant divers articles à la vente aux abords des autoroutes. Galette-maison, bouquets de fleurs, légumes ou fruits sont ainsi étalés sur les voies à grande circulation dans l'espoir de voir les automobilistes s'arrêter pour des achats. Cette situation traduit un réel malaise au sein d'une société qui voient ses enfants, ne pas profiter de leurs vacances et contraints de « travailler » pour aider leurs parents. Ces enfants pourtant, grandis trop vite, jouent à l'adulte exposant leur vie pour simplement glaner quelques sous au terme d'une journée où ils auront inhalé leur saoul de gaz d'échappement. Ces « dangereuses » activités se voient un peu partout à travers la capitale, notamment sur l'autoroute menant vers Zéralda. En effet, affrontant le risque d'être heurté par un véhicule, ces jeunes personnes s'enhardissent même jusqu'à surfer entre les véhicules pour proposer leur marchandise aux automobilistes. Bouquets de fleurs à la main et sourires timides aux lèvres, c'est l'équipement de ces innocents pour leur journée de « travail ». Durant les heures de pointe au moment où l'autoroute est bondée, ils investissent la voie carrossable comme un essaim d'abeilles frappant aux vitres des voitures pour attirer l'attention des conducteurs. Motivés par leurs besoins, rien ne les arrête. Salim, l'un de ces petits vendeurs, âgé de 13 ans nous dira : « J'habite avec mes parents et mes trois sœurs à proximité de l'autoroute. Mon père est handicapé, je suis donc obligé d'aider ma famille. Habituellement c'est en été que je vends les galettes préparées par ma mère, mais là je profite des vacances d'hiver. » Salim comme beaucoup d'autres enfants de son âge ne connaissent pas la vie insouciante des enfants qui ne devraient en aucun cas supperter le joug des adultes, et cela dans une coupable indifférence d'une société qui est censé les protéger et préserver leurs droits. Pour rappel le Mois de l'enfant vient juste de s'achever sur de belles envolées lyriques et promesses d'un avenir meilleur pour nos enfants, mais qui resteront encore une fois de simples vœux pieux.