La karantika est aux Algérois ce qu'est la pizza et les pâtes aux Italiens. Son nom vient du mot espagnol «caliente» qui veut dire «chaud». D'ailleurs il est recommandé de manger la karantika très chaude pour mieux apprécier sa saveur à nulle autres pareille. La karantika est aux Algérois ce qu'est la pizza et les pâtes aux Italiens. Son nom vient du mot espagnol «caliente» qui veut dire «chaud». D'ailleurs il est recommandé de manger la karantika très chaude pour mieux apprécier sa saveur à nulle autres pareille. Considéré comme une spécialité maghrébine, la karantika est particulièrement prisée à Alger, et cela tant en hiver qu'en été. La karantika est de fait nourrissante, consistante et surtout économique. Cette préparation à base de farine de pois chiche se vend dans tous les quartiers algérois, même les plus huppés. D'ailleurs qui de nous n'a pas eu une envie irrésistible de ce met que certains nomment par dérision " kebda beïda ", ou foie blanc. Il est clair que tous les Algérois, sans exception, ont goûté, ne serait-ce qu'une fois dans leur vie, la karantika. La karantika est aux Algérois ce qu'est la pizza et les pâtes aux Italiens. Son nom vient du mot espagnol « caliente » qui veut dire « chaud ». D'ailleurs il est recommandé de manger la karantika très chaude pour mieux apprécier sa saveur à nulle autres pareille. Par vocation, la karantika est un plat simple et bon marché. Il est préparé, à la base, de farine de pois chiches, d'eau, d'huile, de cumin et de sel. Parfois on y ajoute des œufs et du lait, mais cela surtout quand ce plat est préparé au sein des foyers. Car il faut le dire la karantika s'est exportée au sein des foyers où les ménagères n'hésitent pas à proposer à leurs familles ce met qui a fine par s'imposer dans nos coutumes alimentaires. Et sinon on peut retrouver la karantika partout dans les sandwicheries, les marchés, les places publiques et certains boulangeries en ont fait une spécialité puisqu'ils la vendent en parralèle du pain et autres viennoiseries. La karantika, pour exhaler tous ses âromes est accompagnée de harissa bien piquante. Certains la dégustent en plus de la harissa, de mayonnaise et même de frites pour les plus gloutons. Il faut dire qu'à l'heure des pauses déjeuners les plateaux de carantika se vident en un clin d'œil au grand bonheur des commerçants. Les clients de différentes catégories sociales, de tous âges se ruent sur la karantika. Ils se réunissent tous dans ces endroits proposant de la carantika. Quoi de mieux pour faire le bonheur des vendeurs ? « La karantika se vend très bien. C'est un plat qui est très demandé d'abord parce que c'est bon et surtout ce n'est pas cher », nous dira un vendeur de karantika à Alger-Centre. Notre interlocuteur précise en souriant : « Ce plat est autant rentable pour moi que pour mes clients ». Il est vrai qu'à 15 DA le petit sandwich, cela peut être très rentable surtout que l'on sait que cela ne nécessite pas trop d'ingrédients. C'est surtout la dernière semaine du mois, soit avant le virement des salaires que les vendeurs de karantika sont pris d'assaut par les travailleurs qui ne peuvent se payer des repas plus élaborés et donc plus chers. Une dame, abordée à Alger-Centre au moment où elle s'apprêtait à déguster son sandwich-Karantika, nous dira à ce propos : « À Alger-Centre tout est trop cher. Le simple sandwich frites-omelette fait au minimum 70 DA. Et il faut bien admettre que les frites, en plus de n'être pas recommandées pour leur apport en graisse, sont à moitié crues et on utilise la même huile une infinité de fois multipliant les risques d'intoxication. La karantika reste, quant à elle, abordable et c'est plus digeste, du moins je le pense ». On peut donc dire que pour la majorité des Algérois la karantika jouit de deux qualités indétrônables : « économique et savoureuse ! ». Considéré comme une spécialité maghrébine, la karantika est particulièrement prisée à Alger, et cela tant en hiver qu'en été. La karantika est de fait nourrissante, consistante et surtout économique. Cette préparation à base de farine de pois chiche se vend dans tous les quartiers algérois, même les plus huppés. D'ailleurs qui de nous n'a pas eu une envie irrésistible de ce met que certains nomment par dérision " kebda beïda ", ou foie blanc. Il est clair que tous les Algérois, sans exception, ont goûté, ne serait-ce qu'une fois dans leur vie, la karantika. La karantika est aux Algérois ce qu'est la pizza et les pâtes aux Italiens. Son nom vient du mot espagnol « caliente » qui veut dire « chaud ». D'ailleurs il est recommandé de manger la karantika très chaude pour mieux apprécier sa saveur à nulle autres pareille. Par vocation, la karantika est un plat simple et bon marché. Il est préparé, à la base, de farine de pois chiches, d'eau, d'huile, de cumin et de sel. Parfois on y ajoute des œufs et du lait, mais cela surtout quand ce plat est préparé au sein des foyers. Car il faut le dire la karantika s'est exportée au sein des foyers où les ménagères n'hésitent pas à proposer à leurs familles ce met qui a fine par s'imposer dans nos coutumes alimentaires. Et sinon on peut retrouver la karantika partout dans les sandwicheries, les marchés, les places publiques et certains boulangeries en ont fait une spécialité puisqu'ils la vendent en parralèle du pain et autres viennoiseries. La karantika, pour exhaler tous ses âromes est accompagnée de harissa bien piquante. Certains la dégustent en plus de la harissa, de mayonnaise et même de frites pour les plus gloutons. Il faut dire qu'à l'heure des pauses déjeuners les plateaux de carantika se vident en un clin d'œil au grand bonheur des commerçants. Les clients de différentes catégories sociales, de tous âges se ruent sur la karantika. Ils se réunissent tous dans ces endroits proposant de la carantika. Quoi de mieux pour faire le bonheur des vendeurs ? « La karantika se vend très bien. C'est un plat qui est très demandé d'abord parce que c'est bon et surtout ce n'est pas cher », nous dira un vendeur de karantika à Alger-Centre. Notre interlocuteur précise en souriant : « Ce plat est autant rentable pour moi que pour mes clients ». Il est vrai qu'à 15 DA le petit sandwich, cela peut être très rentable surtout que l'on sait que cela ne nécessite pas trop d'ingrédients. C'est surtout la dernière semaine du mois, soit avant le virement des salaires que les vendeurs de karantika sont pris d'assaut par les travailleurs qui ne peuvent se payer des repas plus élaborés et donc plus chers. Une dame, abordée à Alger-Centre au moment où elle s'apprêtait à déguster son sandwich-Karantika, nous dira à ce propos : « À Alger-Centre tout est trop cher. Le simple sandwich frites-omelette fait au minimum 70 DA. Et il faut bien admettre que les frites, en plus de n'être pas recommandées pour leur apport en graisse, sont à moitié crues et on utilise la même huile une infinité de fois multipliant les risques d'intoxication. La karantika reste, quant à elle, abordable et c'est plus digeste, du moins je le pense ». On peut donc dire que pour la majorité des Algérois la karantika jouit de deux qualités indétrônables : « économique et savoureuse ! ».