Les prix du pétrole ont ouvert la semaine en hausse lors des échanges électroniques en Europe, portés par les espoirs de reprise de l'économie américaine, grosse consommatrice d'énergie fossile. Le marché pétrolier était fermé, hier, à Londres comme la plupart des places financières du pays pour cause de jour férié. Seuls avaient lieu les échanges électroniques. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février s'échangeait à 95,80 dollars en fin de matinée, en hausse de 1,15 dollar par rapport à son cours de clôture vendredi. Il était monté auparavant à 95,82 dollars, un plus haut depuis plus de deux ans. A New York, les cours du brut étaient aussi en hausse lors des échanges électroniques d'avant séance. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février valait 92,09 dollars, en hausse de 71 cents par rapport à vendredi soir. Il avait atteint quelques minutes plus tôt les 92,10 dollars, un prix inédit depuis début octobre 2008. Selon des stratégistes matières premières, les investisseurs parient sur le rétablissement complet de l'économie américaine en 2011, un pronostic nourri par des indicateurs macroéconomiques de plus en plus positifs, selon selon eux. Ce scénario est synonyme d'une demande croissante de brut aux Etats-Unis, gros consommateurs mondiaux d'énergie. La consommation de produits pétroliers s'est par exemple réinstallée à plus de 20 millions de barils par jour en moyenne sur les quatre dernières semaines, renouant avec ses niveaux de début 2008. Cette hypothèse avait déjà dopé les cours du pétrole en fin de semaine dernière, les poussant à des seuils plus vus depuis plus de deux ans. Le baril de Brent avait ainsi terminé l'année à 94,75 dollars et le baril de "light sweet crude" à 91,38 dollars. Sur 2010, le prix du brut affichait une hausse de 15% à New York et de 22% à Londres. Il semble désormais se diriger de nouveau vers le seuil des 100 dollars le baril à Londres, soulignent les analystes pétroliers. Les prix du pétrole ont ouvert la semaine en hausse lors des échanges électroniques en Europe, portés par les espoirs de reprise de l'économie américaine, grosse consommatrice d'énergie fossile. Le marché pétrolier était fermé, hier, à Londres comme la plupart des places financières du pays pour cause de jour férié. Seuls avaient lieu les échanges électroniques. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février s'échangeait à 95,80 dollars en fin de matinée, en hausse de 1,15 dollar par rapport à son cours de clôture vendredi. Il était monté auparavant à 95,82 dollars, un plus haut depuis plus de deux ans. A New York, les cours du brut étaient aussi en hausse lors des échanges électroniques d'avant séance. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février valait 92,09 dollars, en hausse de 71 cents par rapport à vendredi soir. Il avait atteint quelques minutes plus tôt les 92,10 dollars, un prix inédit depuis début octobre 2008. Selon des stratégistes matières premières, les investisseurs parient sur le rétablissement complet de l'économie américaine en 2011, un pronostic nourri par des indicateurs macroéconomiques de plus en plus positifs, selon selon eux. Ce scénario est synonyme d'une demande croissante de brut aux Etats-Unis, gros consommateurs mondiaux d'énergie. La consommation de produits pétroliers s'est par exemple réinstallée à plus de 20 millions de barils par jour en moyenne sur les quatre dernières semaines, renouant avec ses niveaux de début 2008. Cette hypothèse avait déjà dopé les cours du pétrole en fin de semaine dernière, les poussant à des seuils plus vus depuis plus de deux ans. Le baril de Brent avait ainsi terminé l'année à 94,75 dollars et le baril de "light sweet crude" à 91,38 dollars. Sur 2010, le prix du brut affichait une hausse de 15% à New York et de 22% à Londres. Il semble désormais se diriger de nouveau vers le seuil des 100 dollars le baril à Londres, soulignent les analystes pétroliers.