Les formations politiques, qui sont totalement effacées de la scène selon certains, ont des lectures divergentes puisqu'ils n'ont pas la même interprétation des faits. En effet, à titre d'exemple, la position du RND n'est en rien semblable à celle du FNA ou du mouvement Ennahda. Ainsi, le Rassemblement national démocratique (RND) pointe d'emblée du doigt certains lobbys qu'il accuse d'être derrière ces manifestations. Les formations politiques, qui sont totalement effacées de la scène selon certains, ont des lectures divergentes puisqu'ils n'ont pas la même interprétation des faits. En effet, à titre d'exemple, la position du RND n'est en rien semblable à celle du FNA ou du mouvement Ennahda. Ainsi, le Rassemblement national démocratique (RND) pointe d'emblée du doigt certains lobbys qu'il accuse d'être derrière ces manifestations. Avec ces événements que connaît le pays depuis ces trois derniers jours, il est évident que les regards soient un tant soit peu braqués en direction des partis politiques. Quelles lectures font ces derniers sur ces manifestations qui ont eu lieu un peu partout sur l'ensemble du territoire, pour s'élever contre la hausse vertigineuse de certains produits de large consommation. Les formations politiques, qui sont totalement effacées de la scène selon certains, ont des lectures divergentes puisqu'ils n'ont pas la même interprétation des faits. En effet, à titre d'exemple, la position du RND n'est en rien semblable à celle du FNA ou du mouvement Ennahda. Ainsi, le Rassemblement national démocratique (RND) pointe d'emblée du doigt certains lobbies qu'il accuse d'être derrière ces manifestations. «Nous dénonçons les provocations exercées par certaines parties et certains lobbies d'intérêts qui sont derrière ces émeutes» souligne d'emblée le porte -parole du RND ajoutant que «ces lobbies, qui font dans la spéculation, veulent profiter de la situation en nageant dans les eaux troubles en faisant de la jeunesse un tremplin pour atteindre leurs objectifs». Selon Miloud Chorfi, joint hier par téléphone, «le RND considère que ces hausses des prix sont inacceptables, tout en regrettant profondément ces événements, notamment la destruction de biens publics que nous dénonçons puisque ce sont des attitudes immorales».Le porte-parole du RND, dont le secrétaire général n'est autre que le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, défend les dernières mesures prises par le gouvernement «dans le but de mieux réguler le marché national et protéger ainsi l'économie nationale» et appelle les jeunes à la raison «et à ne pas servir de marchepied à ceux qui font dans les manipulations ce d'autant que le gouvernement veille à régler cette question». Miloud Chorfi, dont la position est aux antipodes de certains partis de l'opposition, estime aussi que les militants et cadres de son parti sont présents sur le terrain pour favoriser l'apaisement. Si le RND a vite réagi par rapport à ces émeutes, ce n'est pas la cas du FLN , le parti qui dispose de la majorité dans les assemblées élues. Kassa Aissi, membre du bureau politique chargé du département de l'information et de la communication, contacté hier, a indiqué que «nous sommes en train de réunir toutes les données sur ces événements pour avoir une idée précise et par conséquent une position claire. Une position qui sera connue aujourd'hui puisque le FLN va réunir l'ensemble de son état-major politique. Selon Kassa, en effet, Abdelaziz Belkhadem a convoqué une réunion du bureau politique pour ce matin alors que dans l'après midi ce sera au tour de l'instance de coordination de tenir un conclave. C'est dire combien ces émeutes sont prises très au sérieux par le FLN et l'ensemble de la classe politique nationale. Le mouvement Ennahda a déjà exprimé sa profonde préoccupation et, dans un communiqué rendu public avant-hier, ce parti islamiste déclare qu' «il suit de prés l'évolution de la situation sociale et les larges manifestations des citoyens». Le mouvement considère «qu'il y'a de réels dangers qui menace la société dans le cas où il n'y a pas une réponse favorable aux revendications». D'où l'appel adressé au gouvernement afin «de prendre des mesures urgentes au profit des citoyens et l'ouverture d'un dialogue sérieux avec la classe politique et toutes les composantes de la société». C'est presque dans cette même veine que s'inscrit la position du Front national algérien (FNA) dont le président dit «regretter cette situation où le peuple algérien agit de la sorte pour revendiquer une vie décente». Moussa Touati, contacté hier par téléphone, indique que «le gouvernement aurait dû examiner avec sérieux les préoccupations du peuple algérien au lieu de donner de faux chiffres sur la situation socio économique. Le gouvernement doit impérativement réviser ses politiques, même si l'on est fort sceptique sur sa capacité à le faire puisque la situation de l'économie nationale est très précaire». Avec ces événements que connaît le pays depuis ces trois derniers jours, il est évident que les regards soient un tant soit peu braqués en direction des partis politiques. Quelles lectures font ces derniers sur ces manifestations qui ont eu lieu un peu partout sur l'ensemble du territoire, pour s'élever contre la hausse vertigineuse de certains produits de large consommation. Les formations politiques, qui sont totalement effacées de la scène selon certains, ont des lectures divergentes puisqu'ils n'ont pas la même interprétation des faits. En effet, à titre d'exemple, la position du RND n'est en rien semblable à celle du FNA ou du mouvement Ennahda. Ainsi, le Rassemblement national démocratique (RND) pointe d'emblée du doigt certains lobbies qu'il accuse d'être derrière ces manifestations. «Nous dénonçons les provocations exercées par certaines parties et certains lobbies d'intérêts qui sont derrière ces émeutes» souligne d'emblée le porte -parole du RND ajoutant que «ces lobbies, qui font dans la spéculation, veulent profiter de la situation en nageant dans les eaux troubles en faisant de la jeunesse un tremplin pour atteindre leurs objectifs». Selon Miloud Chorfi, joint hier par téléphone, «le RND considère que ces hausses des prix sont inacceptables, tout en regrettant profondément ces événements, notamment la destruction de biens publics que nous dénonçons puisque ce sont des attitudes immorales».Le porte-parole du RND, dont le secrétaire général n'est autre que le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, défend les dernières mesures prises par le gouvernement «dans le but de mieux réguler le marché national et protéger ainsi l'économie nationale» et appelle les jeunes à la raison «et à ne pas servir de marchepied à ceux qui font dans les manipulations ce d'autant que le gouvernement veille à régler cette question». Miloud Chorfi, dont la position est aux antipodes de certains partis de l'opposition, estime aussi que les militants et cadres de son parti sont présents sur le terrain pour favoriser l'apaisement. Si le RND a vite réagi par rapport à ces émeutes, ce n'est pas la cas du FLN , le parti qui dispose de la majorité dans les assemblées élues. Kassa Aissi, membre du bureau politique chargé du département de l'information et de la communication, contacté hier, a indiqué que «nous sommes en train de réunir toutes les données sur ces événements pour avoir une idée précise et par conséquent une position claire. Une position qui sera connue aujourd'hui puisque le FLN va réunir l'ensemble de son état-major politique. Selon Kassa, en effet, Abdelaziz Belkhadem a convoqué une réunion du bureau politique pour ce matin alors que dans l'après midi ce sera au tour de l'instance de coordination de tenir un conclave. C'est dire combien ces émeutes sont prises très au sérieux par le FLN et l'ensemble de la classe politique nationale. Le mouvement Ennahda a déjà exprimé sa profonde préoccupation et, dans un communiqué rendu public avant-hier, ce parti islamiste déclare qu' «il suit de prés l'évolution de la situation sociale et les larges manifestations des citoyens». Le mouvement considère «qu'il y'a de réels dangers qui menace la société dans le cas où il n'y a pas une réponse favorable aux revendications». D'où l'appel adressé au gouvernement afin «de prendre des mesures urgentes au profit des citoyens et l'ouverture d'un dialogue sérieux avec la classe politique et toutes les composantes de la société». C'est presque dans cette même veine que s'inscrit la position du Front national algérien (FNA) dont le président dit «regretter cette situation où le peuple algérien agit de la sorte pour revendiquer une vie décente». Moussa Touati, contacté hier par téléphone, indique que «le gouvernement aurait dû examiner avec sérieux les préoccupations du peuple algérien au lieu de donner de faux chiffres sur la situation socio économique. Le gouvernement doit impérativement réviser ses politiques, même si l'on est fort sceptique sur sa capacité à le faire puisque la situation de l'économie nationale est très précaire».