Un calme précaire règne sur les différentes communes de la wilaya touchées par les dernières émeutes dénonçant la hausse des prix de certains produits de première nécessité. Néanmoins la tension plane toujours. Les émeutes se sont poursuivies, samedi dans la soirée dans plusieurs localités. Des institutions ont été saccagées ou brûlées. Cette tension a gagné les villes d'Aokas, Darguinah, El Kseur, Amizour et Béjaïa. A Béjaïa, les émeutiers ont saccagé l'agence Edemia d'Ihaddadene, l'Hôtel des finances et le bloc administratif, où des véhicules ont été attaqués. Le dépôt de la SNTA a été également la cible des émeutiers qui ont fait main basse sur les stocks de tabac et autres allumettes. Dans les autres communes, les routes ont été barricadées à l'aide de blocs de pierres et de pneus enflammés pour barrer l'accès aux forces d'intervention. Hier matin, les différentes localités se trouvaient dans un désordre indescriptible, les chaussées étaient jonchées de détritus, de poteaux électriques, de pneus usagers brûlés, d' ordures ménagères, de débris de verre et des morceaux de carrelage arrachés des trottoirs. Béjaïa sentait encore l'odeur des lacrymogènes. L'activité a repris de nouveau, quelques écoliers ont rejoint leurs écoles alors que d'autres se sont rassemblés devant les portails d'entrée créant une atmosphère électrique alors que les employés ont regagné leurs postes de travail. Plusieurs magasins restent fermés. Un calme précaire règne sur les différentes communes de la wilaya touchées par les dernières émeutes dénonçant la hausse des prix de certains produits de première nécessité. Néanmoins la tension plane toujours. Les émeutes se sont poursuivies, samedi dans la soirée dans plusieurs localités. Des institutions ont été saccagées ou brûlées. Cette tension a gagné les villes d'Aokas, Darguinah, El Kseur, Amizour et Béjaïa. A Béjaïa, les émeutiers ont saccagé l'agence Edemia d'Ihaddadene, l'Hôtel des finances et le bloc administratif, où des véhicules ont été attaqués. Le dépôt de la SNTA a été également la cible des émeutiers qui ont fait main basse sur les stocks de tabac et autres allumettes. Dans les autres communes, les routes ont été barricadées à l'aide de blocs de pierres et de pneus enflammés pour barrer l'accès aux forces d'intervention. Hier matin, les différentes localités se trouvaient dans un désordre indescriptible, les chaussées étaient jonchées de détritus, de poteaux électriques, de pneus usagers brûlés, d' ordures ménagères, de débris de verre et des morceaux de carrelage arrachés des trottoirs. Béjaïa sentait encore l'odeur des lacrymogènes. L'activité a repris de nouveau, quelques écoliers ont rejoint leurs écoles alors que d'autres se sont rassemblés devant les portails d'entrée créant une atmosphère électrique alors que les employés ont regagné leurs postes de travail. Plusieurs magasins restent fermés.