Les souscripteurs de l'AADL menacent de descendre dans la rue mardi prochain pour interpeller les pouvoirs publics sur la prise en charge de leurs dossiers relatifs à l'acquisition d'un logement AADL dans le cadre du programme 2001. Hier l'Association de solidarité et de bienfaisance (ASB) a réuni près de 200 souscripteurs à la salle Ali-Mecili au siège du Front des forces socialistes (FFS) à Alger. «Nous avons manifesté plusieurs fois d'e manière pacifique, mais on nous a matraqué et tabassé, maintenant des gens manifestent en cassant et en semant la zizanie et le trouble, on les écoute et on satisfait leurs revendications, mieux, on leur fait le reproche de n'avoir pas fait des réclamations d'une manière pacifique et bien nous allons le faire mardi» nous a expliqué Akil Ayachi, président de l'ASB. La marche devrait démarrer au niveau de l'Assemblée populaire nationale pour s'ébranler vers le siège du ministère de l'habitat. Mais l'appel à la marche n'est pas définitif, la décision d'y recourir dépend de la réponse que devront donner aujourd'hui les députés de l'Assemblée populaire nationale qui ont été sollicités par l'ASB pour transmettre ses doléances au président de la République. En cas de réponse négative de la part des députés, l'ASB appellera à la marche par différents canaux, la presse écrite, le site internet, etc. Autrement dit l'ASB ne compte pas demander une autorisation. A la question de savoir si l'ASB marchera sous la bannière du RCD qui lui aussi a décidé d'organiser une marche le jour même, Akil Ayachi, répond que les deux initiatives poursuivent des objectifs différents. «Notre mouvement est purement social, nous ne faisons pas de politique» a-t-il précisé. «Nous n'avons rien à voir avec la décision de l'ASB, il y a une autonomie de gestion» assure Nassim Sadeg, secrétaire national, chargé de la communication au FFS. L'ASB qui revendique 2500 adhérents, n'a pas réussi à obtenir un siège pour ses activités, selon son président Akil Ayachi sa demande de local auprès des autorités de la wilaya d'Alger, n'a reçu aucune réponse. Après s'être réunie une première fois à la maison des syndicats, cette association s'est tournée vers les partis politiques en vue d'y trouver aide et assistance. Pour rappel l'ASB a tenu en vain plusieurs sit-in de protestation à Saïd-Hamdine devant le siège de l'AADL ainsi que devant le siège du ministère de l'Habitat. En 2001 les souscripteurs ont vu leurs dossiers acceptés par l'AADL mais leurs noms n'ont jamais figurés depuis sur la liste des bénéficiaires au motif qu'ils ont fait l'objet d'un transfert vers l'AADL-CNEP, une formule en fait qui n'a jamais vu le jour sur le terrain. Les souscripteurs de l'AADL menacent de descendre dans la rue mardi prochain pour interpeller les pouvoirs publics sur la prise en charge de leurs dossiers relatifs à l'acquisition d'un logement AADL dans le cadre du programme 2001. Hier l'Association de solidarité et de bienfaisance (ASB) a réuni près de 200 souscripteurs à la salle Ali-Mecili au siège du Front des forces socialistes (FFS) à Alger. «Nous avons manifesté plusieurs fois d'e manière pacifique, mais on nous a matraqué et tabassé, maintenant des gens manifestent en cassant et en semant la zizanie et le trouble, on les écoute et on satisfait leurs revendications, mieux, on leur fait le reproche de n'avoir pas fait des réclamations d'une manière pacifique et bien nous allons le faire mardi» nous a expliqué Akil Ayachi, président de l'ASB. La marche devrait démarrer au niveau de l'Assemblée populaire nationale pour s'ébranler vers le siège du ministère de l'habitat. Mais l'appel à la marche n'est pas définitif, la décision d'y recourir dépend de la réponse que devront donner aujourd'hui les députés de l'Assemblée populaire nationale qui ont été sollicités par l'ASB pour transmettre ses doléances au président de la République. En cas de réponse négative de la part des députés, l'ASB appellera à la marche par différents canaux, la presse écrite, le site internet, etc. Autrement dit l'ASB ne compte pas demander une autorisation. A la question de savoir si l'ASB marchera sous la bannière du RCD qui lui aussi a décidé d'organiser une marche le jour même, Akil Ayachi, répond que les deux initiatives poursuivent des objectifs différents. «Notre mouvement est purement social, nous ne faisons pas de politique» a-t-il précisé. «Nous n'avons rien à voir avec la décision de l'ASB, il y a une autonomie de gestion» assure Nassim Sadeg, secrétaire national, chargé de la communication au FFS. L'ASB qui revendique 2500 adhérents, n'a pas réussi à obtenir un siège pour ses activités, selon son président Akil Ayachi sa demande de local auprès des autorités de la wilaya d'Alger, n'a reçu aucune réponse. Après s'être réunie une première fois à la maison des syndicats, cette association s'est tournée vers les partis politiques en vue d'y trouver aide et assistance. Pour rappel l'ASB a tenu en vain plusieurs sit-in de protestation à Saïd-Hamdine devant le siège de l'AADL ainsi que devant le siège du ministère de l'Habitat. En 2001 les souscripteurs ont vu leurs dossiers acceptés par l'AADL mais leurs noms n'ont jamais figurés depuis sur la liste des bénéficiaires au motif qu'ils ont fait l'objet d'un transfert vers l'AADL-CNEP, une formule en fait qui n'a jamais vu le jour sur le terrain.