Deux nouveaux films en langue amazighe sont en cours de projection cette semaine au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. Ainsi, la production audiovisuelle en langue amazighe enregistre un saut quantitatif non négligeable en attendant de connaître le même essor sur le plan qualitatif. Samedi prochain à 14 h, la salle du Petit-Théâtre de la maison de la culture abritera la projection de l'avant-première du long métrage intitulé Tasarut n tudert (la clé de la vie). Il s'agit d'une projection spéciale pour les journalistes qui sera suivie d'un point de presse qu'animera le réalisateur Younes Zidane. Ce dernier est aussi le scénariste et le metteur en scène de cette nouvelle production algérienne, réalisée en collaboration avec l'Observatoire algérien de la femme. Le long métrage est d'une durée de 1 heure 30 minutes. C'est l'histoire de deux familles qui vivaient en parfaite harmonie dans un village de Kabylie avant qu'un conflit n'éclate entre elles. Ce problème est dû à l'héritage familial. Le fossé se creuse alors entre les deux familles. Un silence malheureux durera plusieurs semaines suite à la mort de la mère de Mayas, le héros du film. À son retour d'un long exil, le père de Mayas construisit un pont de résolution du conflit entre les deux familles. Mais le film réserve une surprise au téléspectateur selon les affirmations du réalisateur qui ne veut pas tout dire. Par ailleurs, et toujours dans le domaine du film amazighe, la grande salle du même établissement culturel propose des projections quotidiennes d'un autre film en kabyle intitulé Tifukal (futilités). Le film, qui narre une histoire réaliste d'amour et de haine est réalisé par Rabah Balabed et est produit par les éditions Taduklien 2010. Dans le même sillage, la maison de la culture de Tizi-Ouzou abritera ce vendredi 21 janvier à partir de 13 h le premier tour de manivelle du film, du genre action, intitulé Le sang et l'argent du réalisateur Idir Saoudi. Le film raconte une histoire de vengeance, comme son titre l'indique, et il est inspiré de faits réels. Il y a deux mois, le réalisateur a effectué un casting à Tizi-Ouzou. Des dizaines d'acteurs ont postulé pour jouer dans cette production. Une fois la sélection des acteurs effectuée, ces derniers ont suivi un stage bloqué dans le domaine cinématographique à Aïn El-Hammam. Ce film sera produit sous l'égide de l'Association culturelle Tagharma du village Zoubga, dans la daïra d'Iferhounène. Deux nouveaux films en langue amazighe sont en cours de projection cette semaine au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. Ainsi, la production audiovisuelle en langue amazighe enregistre un saut quantitatif non négligeable en attendant de connaître le même essor sur le plan qualitatif. Samedi prochain à 14 h, la salle du Petit-Théâtre de la maison de la culture abritera la projection de l'avant-première du long métrage intitulé Tasarut n tudert (la clé de la vie). Il s'agit d'une projection spéciale pour les journalistes qui sera suivie d'un point de presse qu'animera le réalisateur Younes Zidane. Ce dernier est aussi le scénariste et le metteur en scène de cette nouvelle production algérienne, réalisée en collaboration avec l'Observatoire algérien de la femme. Le long métrage est d'une durée de 1 heure 30 minutes. C'est l'histoire de deux familles qui vivaient en parfaite harmonie dans un village de Kabylie avant qu'un conflit n'éclate entre elles. Ce problème est dû à l'héritage familial. Le fossé se creuse alors entre les deux familles. Un silence malheureux durera plusieurs semaines suite à la mort de la mère de Mayas, le héros du film. À son retour d'un long exil, le père de Mayas construisit un pont de résolution du conflit entre les deux familles. Mais le film réserve une surprise au téléspectateur selon les affirmations du réalisateur qui ne veut pas tout dire. Par ailleurs, et toujours dans le domaine du film amazighe, la grande salle du même établissement culturel propose des projections quotidiennes d'un autre film en kabyle intitulé Tifukal (futilités). Le film, qui narre une histoire réaliste d'amour et de haine est réalisé par Rabah Balabed et est produit par les éditions Taduklien 2010. Dans le même sillage, la maison de la culture de Tizi-Ouzou abritera ce vendredi 21 janvier à partir de 13 h le premier tour de manivelle du film, du genre action, intitulé Le sang et l'argent du réalisateur Idir Saoudi. Le film raconte une histoire de vengeance, comme son titre l'indique, et il est inspiré de faits réels. Il y a deux mois, le réalisateur a effectué un casting à Tizi-Ouzou. Des dizaines d'acteurs ont postulé pour jouer dans cette production. Une fois la sélection des acteurs effectuée, ces derniers ont suivi un stage bloqué dans le domaine cinématographique à Aïn El-Hammam. Ce film sera produit sous l'égide de l'Association culturelle Tagharma du village Zoubga, dans la daïra d'Iferhounène.