Les prix du pétrole évoluaient en baisse, jeudi en fin d'échanges européens, plombés notamment par une hausse surprise des stocks pétroliers aux Etats-Unis. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, s'échangeait à 96,35 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,81 dollar par rapport à la clôture de mercredi. Il est tombé en séance jusqu'à 95,43 dollars, son plus bas niveau depuis dix jours. Au New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février, dont c'est le dernier jour de cotation, baissait quant à lui de 2,45 dollars à 88,41 dollars, après avoir glissé jusqu'à 88,00 dollars, un niveau plus vu depuis près de deux semaines. Les prix du pétrole ont creusé leurs pertes tout au long de la journée "dans le sillage des places boursières et sur fond de grandes incertitudes sur l'environnement économique, alors que les chiffres des stocks américains focalisaient l'attention" du marché, estimaient des analystes. Selon les chiffres avancés par le Département américain de l'Energie (DoE), les réserves de brut aux Etats-Unis ont augmenté de 2,6 millions de barils sur la semaine achevée le 14 janvier. Alors que les stocks de brut avaient plongé de plus de 20 millions de barils depuis décembre, ce rebond significatif a pris de cours le marché: les analystes tablaient sur une baisse de 900.000 barils, en raison notamment de la fermeture de l'oléoduc Trans Alaska, par lequel transitent 10% de la production du pays. Les stocks d'essence ont quant à eux bondi de 4,4 millions de barils, le double de ce qu'escomptaient les analystes, tandis que les stocks de produits distillés progressaient de 1,0 million de barils - là encore plus qu'anticipé par le marché. Une série d'indicateurs favorables aux Etats-Unis n'a pas suffi à rasséréner un marché en difficulté, qui effaçait complètement ses gains de la semaine précédente. Les prix du pétrole évoluaient en baisse, jeudi en fin d'échanges européens, plombés notamment par une hausse surprise des stocks pétroliers aux Etats-Unis. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, s'échangeait à 96,35 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,81 dollar par rapport à la clôture de mercredi. Il est tombé en séance jusqu'à 95,43 dollars, son plus bas niveau depuis dix jours. Au New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février, dont c'est le dernier jour de cotation, baissait quant à lui de 2,45 dollars à 88,41 dollars, après avoir glissé jusqu'à 88,00 dollars, un niveau plus vu depuis près de deux semaines. Les prix du pétrole ont creusé leurs pertes tout au long de la journée "dans le sillage des places boursières et sur fond de grandes incertitudes sur l'environnement économique, alors que les chiffres des stocks américains focalisaient l'attention" du marché, estimaient des analystes. Selon les chiffres avancés par le Département américain de l'Energie (DoE), les réserves de brut aux Etats-Unis ont augmenté de 2,6 millions de barils sur la semaine achevée le 14 janvier. Alors que les stocks de brut avaient plongé de plus de 20 millions de barils depuis décembre, ce rebond significatif a pris de cours le marché: les analystes tablaient sur une baisse de 900.000 barils, en raison notamment de la fermeture de l'oléoduc Trans Alaska, par lequel transitent 10% de la production du pays. Les stocks d'essence ont quant à eux bondi de 4,4 millions de barils, le double de ce qu'escomptaient les analystes, tandis que les stocks de produits distillés progressaient de 1,0 million de barils - là encore plus qu'anticipé par le marché. Une série d'indicateurs favorables aux Etats-Unis n'a pas suffi à rasséréner un marché en difficulté, qui effaçait complètement ses gains de la semaine précédente.