Les cours du pétrole se sont redressés hier matin, stimulés par l'espoir d'une baisse des stocks pétroliers aux Etats-Unis ainsi que par un recul du dollar face à l'euro. Ainsi, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août, prenait 1,16 dollar à 62,02 dollars, par rapport à la clôture de la veille, sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, alors que le brut léger texan (WTI) gagnait 98 cents à 60,50 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Les prix de pétrole profitaient des chiffres publiés, mardi soir, par l'American Petroleum Institute selon lesquels les stocks de produits pétroliers ont fait mieux que les attentes, les stocks d'essence auraient perdu 69.000 barils, et les distillats se seraient étoffés de 656.000 barils. Selon les spécialistes du marché pétrolier, les cours profitent également d'une petite baisse du dollar face à l'euro, un mouvement incitant les investisseurs à acheter des matières premières pour se couvrir contre l'inflation. En revanche, la situation du Nigeria qui avait contribué à la hausse des prix du mois de juin, reste suivie, mais sans effet sur les cours, selon les experts. R. E. Les cours du pétrole se sont redressés hier matin, stimulés par l'espoir d'une baisse des stocks pétroliers aux Etats-Unis ainsi que par un recul du dollar face à l'euro. Ainsi, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août, prenait 1,16 dollar à 62,02 dollars, par rapport à la clôture de la veille, sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, alors que le brut léger texan (WTI) gagnait 98 cents à 60,50 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Les prix de pétrole profitaient des chiffres publiés, mardi soir, par l'American Petroleum Institute selon lesquels les stocks de produits pétroliers ont fait mieux que les attentes, les stocks d'essence auraient perdu 69.000 barils, et les distillats se seraient étoffés de 656.000 barils. Selon les spécialistes du marché pétrolier, les cours profitent également d'une petite baisse du dollar face à l'euro, un mouvement incitant les investisseurs à acheter des matières premières pour se couvrir contre l'inflation. En revanche, la situation du Nigeria qui avait contribué à la hausse des prix du mois de juin, reste suivie, mais sans effet sur les cours, selon les experts. R. E.