Un opérateur spécialisé dans l'élevage de poissons d'eau douce de la wilaya de Ghardaïa estime que le problème de l'aquaculture réside dans la commercialisation des produits et non dans la production. Un opérateur spécialisé dans l'élevage de poissons d'eau douce de la wilaya de Ghardaïa estime que le problème de l'aquaculture réside dans la commercialisation des produits et non dans la production. Ainsi, la coopération entre les opérateurs économiques et les promoteurs des produits de la pêche et de la mer avec les pouvoirs publics est inéluctable pour le développement du secteur de la pêche, notamment pour ce qui est de l'accès aux lignes de crédit bancaires et à l'acquisition d'équipements et moyens matériels. En effet, le ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, Abdellah Khanafou, a réitéré l'engagement de l'Etat pour garantir les investissements en apportant également l'aide et l'assistance nécessaires pour développer ce secteur stratégique pour contribuer à assurer la sécurité alimentaire du pays. «L'Etat s'engage à continuer à soutenir les investissements dans le créneau aquacole, a-t-il affirmé à Ouargla en ajoutant que «des aides proportionnelles aux futurs projets aquacoles seront désormais accordées aux promoteurs des petits projets». L'ensemble des armateurs et responsables des activités inhérentes à la pêche et à l'aquaculture que nous avons rencontrés, récemment, lors du Salon international de la pêche à la Safex, estiment que les principaux problèmes rencontrés par les professionnels du secteur sont, incontestablement, liés aux difficultés financières et à l'insuffisance des matériels adéquats pour mener à bien les opérations de pêche et accroître les rendements de la production. Le ministre encourage le soutien des activités aquacoles et leur développement à travers le pays, notamment par le biais de la mise en place de grands projets ayant nécessité la mobilisation de moyens financiers colossaux. Il estime qu'il faut également accorder des facilités, telles que préconisées par l'Etat dans la stratégie halieutique, comme «la réduction des coûts de consommation électrique et de l'eau, l'exonération des taxes douanières, susceptibles de contribuer à la réduction des frais de la production». Les mesures incitatives accordées par les responsables du secteur et l'encouragement des pêcheurs sont primordiales pour sauver les potentialités halieutiques nationales sous exploitées, actuellement, en raison, notamment, du manque d'infrastructures et de bateaux de pêche (sardiniers, chalutiers, thoniers…) et de ressources matérielles à la hauteur des ambitions nourries par les professionnels du secteur.La stratégie étatique doit être pragmatique, selon des intervenants dans le secteur de la pêche, car le temps passe vite et le mal développement de la filière de la pêche halieutique n'est pas en faveur des consommateurs sachant que le citoyen algérien consomme moins de 6 kg de poisson par an, alors que la moyenne mondiale préconisée par les instances de l'Onu tourne autour de 10 kg par habitant. D'autres imperfections et incuries ont été relevées dans le secteur par Khanafou, tels que «l'insuffisance d'aliments de poisson et à l'écoulement et la vente du produit» et l'une des actions immédiates à entreprendre pour trouver les solutions adéquates aux différents problèmes qui se posent se concentrent autour de la prise en charge effective et rapide des préoccupations des pêcheurs, notamment leur situation socioprofessionnelle (certains n'ont pas la couverture sociale, selon des gens du métier de la mer de la wilaya de Jijel). Il poursuit : «Il appartient aux aquaculteurs de trouver les mécanismes de commercialisation, en suggérant, à titre illustratif, à la coordination de la wilaya, l'organisation de journées d'information sur le produit, la conclusion de contrats avec les espaces commerciaux, dont les cantines scolaires et les entreprises économiques activant dans la région de Hassi Messaoud». Le partenariat national et la coopération avec des entreprisses et firmes étrangères, notamment hongroises qui ont une technologie et un savoir-faire reconnus dans le domaine de l'élevage en eau douce, sont un passage obligé pour le développement de la pêche et de l'aquaculture en Algérie. Ainsi, la coopération entre les opérateurs économiques et les promoteurs des produits de la pêche et de la mer avec les pouvoirs publics est inéluctable pour le développement du secteur de la pêche, notamment pour ce qui est de l'accès aux lignes de crédit bancaires et à l'acquisition d'équipements et moyens matériels. En effet, le ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, Abdellah Khanafou, a réitéré l'engagement de l'Etat pour garantir les investissements en apportant également l'aide et l'assistance nécessaires pour développer ce secteur stratégique pour contribuer à assurer la sécurité alimentaire du pays. «L'Etat s'engage à continuer à soutenir les investissements dans le créneau aquacole, a-t-il affirmé à Ouargla en ajoutant que «des aides proportionnelles aux futurs projets aquacoles seront désormais accordées aux promoteurs des petits projets». L'ensemble des armateurs et responsables des activités inhérentes à la pêche et à l'aquaculture que nous avons rencontrés, récemment, lors du Salon international de la pêche à la Safex, estiment que les principaux problèmes rencontrés par les professionnels du secteur sont, incontestablement, liés aux difficultés financières et à l'insuffisance des matériels adéquats pour mener à bien les opérations de pêche et accroître les rendements de la production. Le ministre encourage le soutien des activités aquacoles et leur développement à travers le pays, notamment par le biais de la mise en place de grands projets ayant nécessité la mobilisation de moyens financiers colossaux. Il estime qu'il faut également accorder des facilités, telles que préconisées par l'Etat dans la stratégie halieutique, comme «la réduction des coûts de consommation électrique et de l'eau, l'exonération des taxes douanières, susceptibles de contribuer à la réduction des frais de la production». Les mesures incitatives accordées par les responsables du secteur et l'encouragement des pêcheurs sont primordiales pour sauver les potentialités halieutiques nationales sous exploitées, actuellement, en raison, notamment, du manque d'infrastructures et de bateaux de pêche (sardiniers, chalutiers, thoniers…) et de ressources matérielles à la hauteur des ambitions nourries par les professionnels du secteur.La stratégie étatique doit être pragmatique, selon des intervenants dans le secteur de la pêche, car le temps passe vite et le mal développement de la filière de la pêche halieutique n'est pas en faveur des consommateurs sachant que le citoyen algérien consomme moins de 6 kg de poisson par an, alors que la moyenne mondiale préconisée par les instances de l'Onu tourne autour de 10 kg par habitant. D'autres imperfections et incuries ont été relevées dans le secteur par Khanafou, tels que «l'insuffisance d'aliments de poisson et à l'écoulement et la vente du produit» et l'une des actions immédiates à entreprendre pour trouver les solutions adéquates aux différents problèmes qui se posent se concentrent autour de la prise en charge effective et rapide des préoccupations des pêcheurs, notamment leur situation socioprofessionnelle (certains n'ont pas la couverture sociale, selon des gens du métier de la mer de la wilaya de Jijel). Il poursuit : «Il appartient aux aquaculteurs de trouver les mécanismes de commercialisation, en suggérant, à titre illustratif, à la coordination de la wilaya, l'organisation de journées d'information sur le produit, la conclusion de contrats avec les espaces commerciaux, dont les cantines scolaires et les entreprises économiques activant dans la région de Hassi Messaoud». Le partenariat national et la coopération avec des entreprisses et firmes étrangères, notamment hongroises qui ont une technologie et un savoir-faire reconnus dans le domaine de l'élevage en eau douce, sont un passage obligé pour le développement de la pêche et de l'aquaculture en Algérie.