Le chef de l'Etat Kazakh, Noursoultan Nazarbaïev, a fait part hier de sa volonté de rester au pouvoir, se disant comprendre le signal du peuple, en référence aux cinq millions de signatures de citoyens proposant le prolongement de son mandat jusqu'en 2020. "Je suis prêt à travailler autant que je pourrai, si mon état de santé me le permet", a déclaré le président Kazakhe. "J'ai compris le signal du peuple : ne pas quitter mon poste, continuer de travailler", a ajouté M. Nazarbaïev au pouvoir depuis 1989. Le président kazakh s'exprimait ainsi dans un discours annuel à la Nation prononcé devant les deux chambres du Parlement réunies. Le Parlement kazakh a approuvé mi-janvier une initiative signée par cinq millions de citoyens proposant d'annuler les présidentielles de 2012 et 2017 et de prolonger jusqu'en 2020 le mandat de Nazarbaïev. "Il s'agit des deux-tiers environ des électeurs. En quelques jours, l'initiative pour le référendum s'est transformée en mouvement populaire", s'est félicité M. Nazarbaïev. Le Conseil constitutionnel, saisi par M. Nazarbaïev le 17 janvier, devrait se prononcer sur la légalité de l'amendement constitutionnel autorisant la tenue du référendum. Le chef de l'Etat Kazakh, Noursoultan Nazarbaïev, a fait part hier de sa volonté de rester au pouvoir, se disant comprendre le signal du peuple, en référence aux cinq millions de signatures de citoyens proposant le prolongement de son mandat jusqu'en 2020. "Je suis prêt à travailler autant que je pourrai, si mon état de santé me le permet", a déclaré le président Kazakhe. "J'ai compris le signal du peuple : ne pas quitter mon poste, continuer de travailler", a ajouté M. Nazarbaïev au pouvoir depuis 1989. Le président kazakh s'exprimait ainsi dans un discours annuel à la Nation prononcé devant les deux chambres du Parlement réunies. Le Parlement kazakh a approuvé mi-janvier une initiative signée par cinq millions de citoyens proposant d'annuler les présidentielles de 2012 et 2017 et de prolonger jusqu'en 2020 le mandat de Nazarbaïev. "Il s'agit des deux-tiers environ des électeurs. En quelques jours, l'initiative pour le référendum s'est transformée en mouvement populaire", s'est félicité M. Nazarbaïev. Le Conseil constitutionnel, saisi par M. Nazarbaïev le 17 janvier, devrait se prononcer sur la légalité de l'amendement constitutionnel autorisant la tenue du référendum.