Le Prix Nobel de la paix 2005 et ex- président de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed El Baradei, affiche désormais son ambition de jouer un rôle politique de premier ordre en Egypte. En ne ménageant nullement le président égyptien, Hosni Moubarak, à l'égard duquel il a durci le ton ces derniers jours, El Baradei veut s'imposer comme le leader de l'opposition au président, dont tout porte à croire qu'il est en train de subir le même sort que le président tunisien déchu, Zine El Abidine Ben Ali. «Je descends aujourd'hui dans la rue avec mes collègues pour contribuer à apporter un changement et pour dire au président Moubarak qu'il doit partir» a indiqué hier, Mohamed El Baradei, dans une déclaration à la chaîne satellitaire française France 24. Pour cet opposant «le président égyptien n'as pas compris le message du peuple. Son discours a été totalement décevant. Les protestations vont se poursuivre avec plus d'intensité jusqu'à la chute du régime» a-t-il poursuivi. Mohamed El Baradei fait référence au discours de Hosni Moubarak, prononcé dans la nuit du vendredi au samedi et dans lequel il a annoncé avoir demandé au gouvernement de démissionner et qu'il a l'intention de former un nouveau gouvernement et d'initier nombre de réformes. «Quand un régime se comporte avec une telle bassesse et ouvre ses canons à eau sur quelqu'un qui a remporté le prix Nobel de la Paix, cela veut dire que c'est le début de la fin pour ce régime et qu'il est temps qu'il parte» a aussi souligné l'ancien président de l'AIEA, qui a quitté ses fonctions au mois de novembre 2009 et qui vit depuis à l'étranger. Il est rentré en Egypte deux jours après le début des manifestations et a pris, à l'instar de toute l'opposition égyptienne, avant-hier à la journée de la colère où il a été interpellé par les forces de l'ordre avant d'être relâché. El Baradei, pour rappel, a déjà annoncé l'année passé déjà qu'il pourrait se présenter à l'élection présidentielle prévue cet automne. Au mois de février 2010, à son retour en Egypte, il a été accueilli par ses partisans qui lui ont expressément demandé de présenter sa candidature à la présidentielle. Le Prix Nobel de la paix 2005 et ex- président de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed El Baradei, affiche désormais son ambition de jouer un rôle politique de premier ordre en Egypte. En ne ménageant nullement le président égyptien, Hosni Moubarak, à l'égard duquel il a durci le ton ces derniers jours, El Baradei veut s'imposer comme le leader de l'opposition au président, dont tout porte à croire qu'il est en train de subir le même sort que le président tunisien déchu, Zine El Abidine Ben Ali. «Je descends aujourd'hui dans la rue avec mes collègues pour contribuer à apporter un changement et pour dire au président Moubarak qu'il doit partir» a indiqué hier, Mohamed El Baradei, dans une déclaration à la chaîne satellitaire française France 24. Pour cet opposant «le président égyptien n'as pas compris le message du peuple. Son discours a été totalement décevant. Les protestations vont se poursuivre avec plus d'intensité jusqu'à la chute du régime» a-t-il poursuivi. Mohamed El Baradei fait référence au discours de Hosni Moubarak, prononcé dans la nuit du vendredi au samedi et dans lequel il a annoncé avoir demandé au gouvernement de démissionner et qu'il a l'intention de former un nouveau gouvernement et d'initier nombre de réformes. «Quand un régime se comporte avec une telle bassesse et ouvre ses canons à eau sur quelqu'un qui a remporté le prix Nobel de la Paix, cela veut dire que c'est le début de la fin pour ce régime et qu'il est temps qu'il parte» a aussi souligné l'ancien président de l'AIEA, qui a quitté ses fonctions au mois de novembre 2009 et qui vit depuis à l'étranger. Il est rentré en Egypte deux jours après le début des manifestations et a pris, à l'instar de toute l'opposition égyptienne, avant-hier à la journée de la colère où il a été interpellé par les forces de l'ordre avant d'être relâché. El Baradei, pour rappel, a déjà annoncé l'année passé déjà qu'il pourrait se présenter à l'élection présidentielle prévue cet automne. Au mois de février 2010, à son retour en Egypte, il a été accueilli par ses partisans qui lui ont expressément demandé de présenter sa candidature à la présidentielle.