El Mehna, une œuvre relatant le combat d'un jeune débordant de vie et de rêves qui voit son quotidien tourner au cauchemar, a été à l'affiche du cinquième Panorama du cinéma algérien en France, qui a débuté mercredi soir à Nîmes à l'initiative de l'association France-El Djazair. Réalisé par Noureddine Zerrouki, ce film, projeté dans une salle archi-comble, raconte l'histoire d'un jeune Algérien féru de musique et dont la famille a été décimée par le terrorisme. Le jeune finit par positiver le sentiment de vengeance pour en faire une raison de vivre et un motif pour résister à la haine et à la rancoeur. Selon El Hadj Bensalah, ancien directeur de la Cinémathèque d'Oran et consultant international en cinéma algérien, la projection a eu un succès tel que de nombreuses associations versées dans le 7ème art se sont enquises des moyens d'en assurer la diffusion en France». M. Bensalah qui a animé le débat qui a suivi la projection, a indiqué à l'APS que des représentants du Festival de Nanterre, du mouvement associatif et du Festival cinémaginaire ont tenu à connaître les moyens de diffuser ce film qui a captivé un parterre de Français et d'Algériens résidants férus du grand écran. Cette manifestation culturelle itinérante se poursuivra jeudi avec un hommage à la femme algérienne au cinéma, l'occasion pour la réalisatrice Sabrina Draoui de présenter son court-métrage Goulili. D'autres œuvres de la comédienne Beyouna, réalisée avec Nadir Mokhneche, sont également à l'affiche. La cinquième édition du Panorama du cinéma algérien en France se poursuivra jusqu'au 3 février prochain. Au total, 25 films, courts-métrages et documentaires mettant à l'honneur les réalisatrices et les actrices algériennes sont à l'affiche de cet événement organisé en collaboration avec le Centre culturel algérien de Paris (CCA). Les organisateurs ont choisi de présenter dans ce cadre Mamya Chentouf de Baya Tidjani, Rachida de Yamina Bachir Chouikh, Goulili de Sabrina Draoui, On ne mourra pas de Amel Kateb, et Ma mère de Béatrice Romand. D'autres œuvres, classiques et récentes, seront également à l'affiche comme Morituri de Okacha Touita, La Citadelle de Mohamed Chouikh, De Hollywood à Tamanrasset de Mahmoud Zemmouri, Le voyage à Alger d'Abdelkrim Bahloul, Le vent des Aurès de Mohamed Lakhdar Hamina et L'opium et le bâton d'Ahmed Rachedi. El Mehna, une œuvre relatant le combat d'un jeune débordant de vie et de rêves qui voit son quotidien tourner au cauchemar, a été à l'affiche du cinquième Panorama du cinéma algérien en France, qui a débuté mercredi soir à Nîmes à l'initiative de l'association France-El Djazair. Réalisé par Noureddine Zerrouki, ce film, projeté dans une salle archi-comble, raconte l'histoire d'un jeune Algérien féru de musique et dont la famille a été décimée par le terrorisme. Le jeune finit par positiver le sentiment de vengeance pour en faire une raison de vivre et un motif pour résister à la haine et à la rancoeur. Selon El Hadj Bensalah, ancien directeur de la Cinémathèque d'Oran et consultant international en cinéma algérien, la projection a eu un succès tel que de nombreuses associations versées dans le 7ème art se sont enquises des moyens d'en assurer la diffusion en France». M. Bensalah qui a animé le débat qui a suivi la projection, a indiqué à l'APS que des représentants du Festival de Nanterre, du mouvement associatif et du Festival cinémaginaire ont tenu à connaître les moyens de diffuser ce film qui a captivé un parterre de Français et d'Algériens résidants férus du grand écran. Cette manifestation culturelle itinérante se poursuivra jeudi avec un hommage à la femme algérienne au cinéma, l'occasion pour la réalisatrice Sabrina Draoui de présenter son court-métrage Goulili. D'autres œuvres de la comédienne Beyouna, réalisée avec Nadir Mokhneche, sont également à l'affiche. La cinquième édition du Panorama du cinéma algérien en France se poursuivra jusqu'au 3 février prochain. Au total, 25 films, courts-métrages et documentaires mettant à l'honneur les réalisatrices et les actrices algériennes sont à l'affiche de cet événement organisé en collaboration avec le Centre culturel algérien de Paris (CCA). Les organisateurs ont choisi de présenter dans ce cadre Mamya Chentouf de Baya Tidjani, Rachida de Yamina Bachir Chouikh, Goulili de Sabrina Draoui, On ne mourra pas de Amel Kateb, et Ma mère de Béatrice Romand. D'autres œuvres, classiques et récentes, seront également à l'affiche comme Morituri de Okacha Touita, La Citadelle de Mohamed Chouikh, De Hollywood à Tamanrasset de Mahmoud Zemmouri, Le voyage à Alger d'Abdelkrim Bahloul, Le vent des Aurès de Mohamed Lakhdar Hamina et L'opium et le bâton d'Ahmed Rachedi.