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Partis politiques… ce qu'ils en pensent
Publié dans Le Midi Libre le 05 - 02 - 2011


MSP : Aboudjerra salue la mesure
Dès l'annonce par le Conseil des ministres de la décision du président de la République, qui a instruit le gouvernement à cette fin, de la levée prochaine de l'état d'urgence, de nombreux partis politiques ont réagi à cette mesure.Ce parti, qui est membre de l'Alliance présidentielle, exprime, à travers un communiqué signé de la main de son président, Aboudjerra Soltani, sa satisfaction. « Après que le président ait instruit le gouvernement d'initier une loi pour la levée de l'état d'urgence, le mouvement de la société pur la paix, qui a milité pour les libertés politiques salue cette décision » indique Aboudjerra Soltani.Le mouvement « demande à l'administration de préparer l'environnement propice à une vie naturelle pour tous les algériens dans toutes les wilayas afin que cela se répercute positivement sur la vie politique, les libertés et les droits de l'homme.» Le MSP prône également la nécessité de poursuivre les « reformes globales » et demande, en outre, une révision des lois qui régulent la vie politique, comme celles relatives aux partis politiques, à la commune et la willaya ou celles encore en rapport avec l'information et l'audio visuel.
Sedik Chiheb RND : « Un geste qui conforte les libertés »
Sedik Chiheb, vice-président de l'APN et membre du bureau national du RND, considère que cette décision du président de la république « est une bonne chose. C'est un geste nécessaire qui conforte les libertés d'une manière générale et élimine les entraves réelles ou supposées à une vie politique et associative normalisée et permettra donc à l'expression plurielle de s'exprimer en toute sérénité ». Chiheb, joint hier par téléphone, a ajouté que « cette décision ouvre aussi la voie à une saine construction démocratique ».
RCD : «La marche du 12 février maintenue»
Dans un communiqué rendu public à l'issue de l'annonce de cette décision, le RCD relève qu' « une fois encore le pouvoir algérien manque le train de l'histoire. Au lieu de répondre à des aspirations populaires légitimes de demande de changement d'un système politique qui a ruiné la nation et asservi le peuple, au lieu de prendre la mesure des périls qui guettent l'Algérie, le pouvoir choisit un week-end pour s'assurer du monopole de la communication et s'essaie encore à la
manœuvre et aux provocations pour créer la diversion ». « Le RCD rappelle qu'il s'en tient à la décision retenue avec ses partenaires : le maintien d'une marche populaire le 12 février à Alger,à l'ouverture politique et médiatique, revendiquée par les initiateurs » et « appelle à une volonté politique claire qui ne saurait s'accommoder avec les ruses et les tergiversations qui ont mené notre pays au désastre actuel » .
FFS : «Le peuple algérien aspire à un changement radical et pacifique »
« La décision envisagée de levée de l'état d'urgence dans un proche avenir » peut
être perçue comme un signal positif, mais le projet d'une nouvelle loi intitulée «loi de lutte antiterroriste» engendre l'inquiétude et le soupçon » a déclaré, hier, le premier secrétaire du FFS , Karim Tabou, lors de l'allocution d'ouverture de l'année de formation politique Ecole « Ali Mecili ».Le communiqué transmis à notre rédaction indique que pour « le FFS les choses sont claires, le peuple algérien aspire à un changement radical et pacifique. Le peuple algérien veut la démocratie pour bientôt, pour demain. Cette tentative de manipulation aura au moins le mérite d'aider à la décantation de la situation politique en Algérie ».
Moussa Touati, président
du FNA : « Bouteflika n'a pas voulu prendre une décision ferme »
Le président du FNA, Moussa Touati, a fait montre lui aussi de son scepticisme en indiquant que « Bouteflika n'a pas voulu prendre une décision ferme ». Touati, joint hier par téléphone, estime que « le président de la République a renvoyé la balle au gouvernement.Or il aurait dû signer lui-même le décret relative à la levée de l'état d'urgence ». Et d'ajouter qu' « on est pas encore sorti de l'auberge car nous allons peut être au moins six mois avant l'élaboration d'une permettant la levée de l'état d'urgence ».
El Islah : « Une décision qui conforte l'ambiguïté »
Le mouvement El Islah indique que «cette intention de lever l'état d'urgence dans un proche avenir en la conditionnant à l'élaboration par le gouvernement des lois relatives à la lutte contre le terrorisme avec le maintien de l'interdiction des marches dans la capitale traduit l'ambiguïté qui entoure cette décision ». Dans un communiqué rendu public hier et signé par son secrétaire général, Djamal Benabdessalam, « El Islah invite le pouvoir à clarifier sa position en fixant avec précision les délais relatives à l'élaboration par le gouvernement de ces lois ». El Islah considère que les raisons du maintien de l'interdiction des marches à Alger ne « sont pas convaincantes ». Le mouvement demande la levée de l'état d'urgence dans le courant de ce mois.
PT : Louisa Hanoune s'exprimera aujourd'hui
Djeloul Djoudi, membre du bureau politique du Parti des travailleurs n'a pas voulu faire le moindre commentaire en nous indiquant que la secrétaire générale , Louisa Hanoune , « va se prononcer demain (aujourd'hui NDLR) à l'occasion de la tenue d'un meeting de solidarité avec les peuples tunisien et égyptien.»
MSP : Aboudjerra salue la mesure
Dès l'annonce par le Conseil des ministres de la décision du président de la République, qui a instruit le gouvernement à cette fin, de la levée prochaine de l'état d'urgence, de nombreux partis politiques ont réagi à cette mesure.Ce parti, qui est membre de l'Alliance présidentielle, exprime, à travers un communiqué signé de la main de son président, Aboudjerra Soltani, sa satisfaction. « Après que le président ait instruit le gouvernement d'initier une loi pour la levée de l'état d'urgence, le mouvement de la société pur la paix, qui a milité pour les libertés politiques salue cette décision » indique Aboudjerra Soltani.Le mouvement « demande à l'administration de préparer l'environnement propice à une vie naturelle pour tous les algériens dans toutes les wilayas afin que cela se répercute positivement sur la vie politique, les libertés et les droits de l'homme.» Le MSP prône également la nécessité de poursuivre les « reformes globales » et demande, en outre, une révision des lois qui régulent la vie politique, comme celles relatives aux partis politiques, à la commune et la willaya ou celles encore en rapport avec l'information et l'audio visuel.
Sedik Chiheb RND : « Un geste qui conforte les libertés »
Sedik Chiheb, vice-président de l'APN et membre du bureau national du RND, considère que cette décision du président de la république « est une bonne chose. C'est un geste nécessaire qui conforte les libertés d'une manière générale et élimine les entraves réelles ou supposées à une vie politique et associative normalisée et permettra donc à l'expression plurielle de s'exprimer en toute sérénité ». Chiheb, joint hier par téléphone, a ajouté que « cette décision ouvre aussi la voie à une saine construction démocratique ».
RCD : «La marche du 12 février maintenue»
Dans un communiqué rendu public à l'issue de l'annonce de cette décision, le RCD relève qu' « une fois encore le pouvoir algérien manque le train de l'histoire. Au lieu de répondre à des aspirations populaires légitimes de demande de changement d'un système politique qui a ruiné la nation et asservi le peuple, au lieu de prendre la mesure des périls qui guettent l'Algérie, le pouvoir choisit un week-end pour s'assurer du monopole de la communication et s'essaie encore à la
manœuvre et aux provocations pour créer la diversion ». « Le RCD rappelle qu'il s'en tient à la décision retenue avec ses partenaires : le maintien d'une marche populaire le 12 février à Alger,à l'ouverture politique et médiatique, revendiquée par les initiateurs » et « appelle à une volonté politique claire qui ne saurait s'accommoder avec les ruses et les tergiversations qui ont mené notre pays au désastre actuel » .
FFS : «Le peuple algérien aspire à un changement radical et pacifique »
« La décision envisagée de levée de l'état d'urgence dans un proche avenir » peut
être perçue comme un signal positif, mais le projet d'une nouvelle loi intitulée «loi de lutte antiterroriste» engendre l'inquiétude et le soupçon » a déclaré, hier, le premier secrétaire du FFS , Karim Tabou, lors de l'allocution d'ouverture de l'année de formation politique Ecole « Ali Mecili ».Le communiqué transmis à notre rédaction indique que pour « le FFS les choses sont claires, le peuple algérien aspire à un changement radical et pacifique. Le peuple algérien veut la démocratie pour bientôt, pour demain. Cette tentative de manipulation aura au moins le mérite d'aider à la décantation de la situation politique en Algérie ».
Moussa Touati, président
du FNA : « Bouteflika n'a pas voulu prendre une décision ferme »
Le président du FNA, Moussa Touati, a fait montre lui aussi de son scepticisme en indiquant que « Bouteflika n'a pas voulu prendre une décision ferme ». Touati, joint hier par téléphone, estime que « le président de la République a renvoyé la balle au gouvernement.Or il aurait dû signer lui-même le décret relative à la levée de l'état d'urgence ». Et d'ajouter qu' « on est pas encore sorti de l'auberge car nous allons peut être au moins six mois avant l'élaboration d'une permettant la levée de l'état d'urgence ».
El Islah : « Une décision qui conforte l'ambiguïté »
Le mouvement El Islah indique que «cette intention de lever l'état d'urgence dans un proche avenir en la conditionnant à l'élaboration par le gouvernement des lois relatives à la lutte contre le terrorisme avec le maintien de l'interdiction des marches dans la capitale traduit l'ambiguïté qui entoure cette décision ». Dans un communiqué rendu public hier et signé par son secrétaire général, Djamal Benabdessalam, « El Islah invite le pouvoir à clarifier sa position en fixant avec précision les délais relatives à l'élaboration par le gouvernement de ces lois ». El Islah considère que les raisons du maintien de l'interdiction des marches à Alger ne « sont pas convaincantes ». Le mouvement demande la levée de l'état d'urgence dans le courant de ce mois.
PT : Louisa Hanoune s'exprimera aujourd'hui
Djeloul Djoudi, membre du bureau politique du Parti des travailleurs n'a pas voulu faire le moindre commentaire en nous indiquant que la secrétaire générale , Louisa Hanoune , « va se prononcer demain (aujourd'hui NDLR) à l'occasion de la tenue d'un meeting de solidarité avec les peuples tunisien et égyptien.»


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