Aboudjerra Soltani, qui s'exprimait jeudi dernier sur les ondes de la Chaîne II, a rappelé le soutien de son parti à la candidature de Bouteflika, déjà annoncé dans le cadre des partis de l'Alliance présidentielle le 30 novembre passé. Aboudjerra Soltani, qui s'exprimait jeudi dernier sur les ondes de la Chaîne II, a rappelé le soutien de son parti à la candidature de Bouteflika, déjà annoncé dans le cadre des partis de l'Alliance présidentielle le 30 novembre passé. Aux multiples interrogations que se posent les uns et les autres s'agissant de la candidature du président de la République à la prochaine élection présidentielle 2009, le leader du MSP apporte cette réponse : « Bouteflika annoncera sa candidature fin février ou début mars.. ». Aboudjerra Soltani, qui s'exprimait jeudi dernier sur les ondes de la Chaîne II de la radio nationale dans le cadre de l'émission hebdomadaire « le forum du jeudi » a rappelé le soutien de son parti à la candidature de Bouteflika, déjà annoncé dans le cadre des partis de l'Alliance présidentielle le 30 novembre passé. Qualifiant de très positif l'action de l'actuel locataire du palais d'El Mouradia depuis qu'il est à la tête de l'Etat, l'invité de la radio a indiqué que « les dix dernières années ont permis de jeter les bases d'une assise pour se lancer dans l'édification de l'avenir » avant de donner l'exemple du remboursement anticipé de la dette extérieure qui est « à lui seul un motif de fierté » . Et comme annoncé par les leaders des trois partis, le FLN, le RND et le MSP, lors du sommet suscité, Aboudjerra a souligné que pour les besoins de la campagne électorale au profit de Bouteflika, « un comité a été chargé d'accomplir un travail de sensibilisation afin de réunir les conditions politiques. ». Considérant que le prochain président de la République « doit jouir d'une légitimité et d'un passé historique et œuvrer à assurer le développement national global », Soltani a réfuté la thèse selon laquelle ces élections sont fermées tant, comme l'affirment avec force certains analystes, tout semble indiquer que c'est l'actuel chef de l'Etat qui aura les faveurs grâce notamment au soutien des partis de l'Alliance présidentielle, des organisations et associations de la société civile. Il dira ainsi que cela ne doit pas être une préoccupation « du moment que l'élection se déroule dans un cadre transparent et loyal et que le peuple demeure souverain dans le choix de ses gouvernants ». D'ailleurs, le président du MSP ne voit aucun inconvénient à la présence d' observateurs internationaux lors du scrutin présidentiel, considérant cela comme normal et, mieux encore, il a estimé que chaque candidat est « en droit de solliciter leur présence ». Ceci semble être une réponse à la revendication du président du RCD, Said Sadi, lequel a conditionné sa participation à la présence massive d' observateurs internationaux. Du reste, Soltani a lancé un appel en direction des personnalités nationales des differents courants politiques à prendre part à ce rendez-vous qui « leur offre une réelle opportunité pour réinvestir la scène politique et mettre leurs idées et programmes à l'aune de la concurrence ». Interpellé sur le risque de l'abstention des électeurs à cette élection, ce qui pourrait porter un sérieux coup à la crédibilité même du scrutin, Aboudjerra Soltani a appelé les Algériens « à assumer leur responsabilité » car , a t-il plaidé, « l'élection présidentielle est une question importante qui doit être prise au sérieux » . Invité hier à l'émission « En toute franchise » de la radio Chaîne III, le président du MSP a pratiquement developé les mêmes convictions et les mêmes positions exprimées la veille. Mais interrogé sur le rôle de la femme dans la vie politique et nationale, notamment après la révision de la Constitution qui lui réservé une place de choix, Aboudjerra a soutenu que son parti est favorable à ce que la femme soit présente à tous les échelons de la responsabilité politique excluant toutefois son accès à la magistrature suprême. Il dira aussi s'attendre à ce que le prochain projet de loi organique portant sur la promotion des droits politiques de la femme lui réserve au moins 25 % de parts dans les fonctions électives. A. S. Aux multiples interrogations que se posent les uns et les autres s'agissant de la candidature du président de la République à la prochaine élection présidentielle 2009, le leader du MSP apporte cette réponse : « Bouteflika annoncera sa candidature fin février ou début mars.. ». Aboudjerra Soltani, qui s'exprimait jeudi dernier sur les ondes de la Chaîne II de la radio nationale dans le cadre de l'émission hebdomadaire « le forum du jeudi » a rappelé le soutien de son parti à la candidature de Bouteflika, déjà annoncé dans le cadre des partis de l'Alliance présidentielle le 30 novembre passé. Qualifiant de très positif l'action de l'actuel locataire du palais d'El Mouradia depuis qu'il est à la tête de l'Etat, l'invité de la radio a indiqué que « les dix dernières années ont permis de jeter les bases d'une assise pour se lancer dans l'édification de l'avenir » avant de donner l'exemple du remboursement anticipé de la dette extérieure qui est « à lui seul un motif de fierté » . Et comme annoncé par les leaders des trois partis, le FLN, le RND et le MSP, lors du sommet suscité, Aboudjerra a souligné que pour les besoins de la campagne électorale au profit de Bouteflika, « un comité a été chargé d'accomplir un travail de sensibilisation afin de réunir les conditions politiques. ». Considérant que le prochain président de la République « doit jouir d'une légitimité et d'un passé historique et œuvrer à assurer le développement national global », Soltani a réfuté la thèse selon laquelle ces élections sont fermées tant, comme l'affirment avec force certains analystes, tout semble indiquer que c'est l'actuel chef de l'Etat qui aura les faveurs grâce notamment au soutien des partis de l'Alliance présidentielle, des organisations et associations de la société civile. Il dira ainsi que cela ne doit pas être une préoccupation « du moment que l'élection se déroule dans un cadre transparent et loyal et que le peuple demeure souverain dans le choix de ses gouvernants ». D'ailleurs, le président du MSP ne voit aucun inconvénient à la présence d' observateurs internationaux lors du scrutin présidentiel, considérant cela comme normal et, mieux encore, il a estimé que chaque candidat est « en droit de solliciter leur présence ». Ceci semble être une réponse à la revendication du président du RCD, Said Sadi, lequel a conditionné sa participation à la présence massive d' observateurs internationaux. Du reste, Soltani a lancé un appel en direction des personnalités nationales des differents courants politiques à prendre part à ce rendez-vous qui « leur offre une réelle opportunité pour réinvestir la scène politique et mettre leurs idées et programmes à l'aune de la concurrence ». Interpellé sur le risque de l'abstention des électeurs à cette élection, ce qui pourrait porter un sérieux coup à la crédibilité même du scrutin, Aboudjerra Soltani a appelé les Algériens « à assumer leur responsabilité » car , a t-il plaidé, « l'élection présidentielle est une question importante qui doit être prise au sérieux » . Invité hier à l'émission « En toute franchise » de la radio Chaîne III, le président du MSP a pratiquement developé les mêmes convictions et les mêmes positions exprimées la veille. Mais interrogé sur le rôle de la femme dans la vie politique et nationale, notamment après la révision de la Constitution qui lui réservé une place de choix, Aboudjerra a soutenu que son parti est favorable à ce que la femme soit présente à tous les échelons de la responsabilité politique excluant toutefois son accès à la magistrature suprême. Il dira aussi s'attendre à ce que le prochain projet de loi organique portant sur la promotion des droits politiques de la femme lui réserve au moins 25 % de parts dans les fonctions électives. A. S.