Les syndicats nationaux des professeurs, docents et maîtres assistants en sciences médicales, des praticiens spécialistes de santé publique et des praticiens de santé publique, ainsi que le conseil national de l'ordre des médecins ont décidé de boycotter la conférence nationale sur la politique de santé et la réforme hospitalière. Dans un communiqué rendu public, hier, qu'ils ont signé conjointement, les syndicats du secteur expliquent que cette décision est motivée par leur refus d' «accepter d'être les complices d'une conférence alibi, vu qu'ils ne pouvaient pas accepter de faire semblant de discuter de textes qu'ils n'ont jamais vus». Ils rejettent catégoriquement l'idée de que «des commissions aient travaillé pendant des mois pour préparer cette conférence sans que leur travail soit rendu public». Pour ces syndicats, il est inconcevable pour eux de «cautionner que pendant qu'ils ont essayé de leur faire croire que l'avis des partenaires sociaux et des institutions ordinaires était important, le projet de loi sanitaire 2010 était déjà fin prêt sans aucune concertation, et dire que ce projet aurait été déjà transmis aux plus hautes instances du pays par d'autres institutions».«Malgré tous les combats menés par les syndicats autonomes pour retrouver la place qui leur sied, les pouvoirs publics continuent à privilégier un seul partenaire, à savoir l'UGTA», écrivent-t-ils. Pour conclure, les syndicats ont demandé qu' «un véritable débat transparent et sans précipitation soit initié avec les véritables partenaires sociaux pour une refonte profonde de notre système de santé». Les syndicats nationaux des professeurs, docents et maîtres assistants en sciences médicales, des praticiens spécialistes de santé publique et des praticiens de santé publique, ainsi que le conseil national de l'ordre des médecins ont décidé de boycotter la conférence nationale sur la politique de santé et la réforme hospitalière. Dans un communiqué rendu public, hier, qu'ils ont signé conjointement, les syndicats du secteur expliquent que cette décision est motivée par leur refus d' «accepter d'être les complices d'une conférence alibi, vu qu'ils ne pouvaient pas accepter de faire semblant de discuter de textes qu'ils n'ont jamais vus». Ils rejettent catégoriquement l'idée de que «des commissions aient travaillé pendant des mois pour préparer cette conférence sans que leur travail soit rendu public». Pour ces syndicats, il est inconcevable pour eux de «cautionner que pendant qu'ils ont essayé de leur faire croire que l'avis des partenaires sociaux et des institutions ordinaires était important, le projet de loi sanitaire 2010 était déjà fin prêt sans aucune concertation, et dire que ce projet aurait été déjà transmis aux plus hautes instances du pays par d'autres institutions».«Malgré tous les combats menés par les syndicats autonomes pour retrouver la place qui leur sied, les pouvoirs publics continuent à privilégier un seul partenaire, à savoir l'UGTA», écrivent-t-ils. Pour conclure, les syndicats ont demandé qu' «un véritable débat transparent et sans précipitation soit initié avec les véritables partenaires sociaux pour une refonte profonde de notre système de santé».