Les troubles politiques et le soulèvement populaire en Egypte ont profondément transformé l'économie mondiale en ce sens que l'inflation touche de nombreux produits alimentaires de base sur le marché international où les cours des matières premières ont carrément flambé ces derniers jours. Les troubles politiques et le soulèvement populaire en Egypte ont profondément transformé l'économie mondiale en ce sens que l'inflation touche de nombreux produits alimentaires de base sur le marché international où les cours des matières premières ont carrément flambé ces derniers jours. Le Fonds alimentaire mondial (FAO) indique que suite à la hausse des prix des produits alimentaires, des risques de famine peuvent surgir dans certains pays du tiers monde. Les problèmes inhérents au trafic amoindri du canal de suez peuvent, en effet, provoquer d'importantes perturbations dans les transports et l'acheminement des denrées alimentaires et des vivres. Aussi, la crise sans précédent égyptienne a poussé le baril du pétrole Brent à son plus haut sommet depuis presque trois années. En effet, «le prix du baril de Brent a dépassé la barre des 103 dollars jeudi dernier, poussé à la hausse par la situation politique en Egypte qui entretient la crainte d'une propagation des violences à d'autres pays du Proche-Orient, selon des analystes et observateurs qui présagent d'autres répercussions néfastes dans le cas où la crise égyptienne persiste et dégénère». Avec l'incendie du gazoduc reliant l'Egypte à Israël non loin de la bande de Ghaza, et l'endommagement du gazoduc desservant la Jordanie crée une tension sur le gaz naturel dans cette région névralgique du Moyen-Orient en proie à des troubles dangereux aux conséquences imprévisibles et dramatiques pour les économies des pays de la région. Tous les pays de la région et même d'autres pays de la rive sud de la Méditerranée s'inquiètent des retombées du désastre politico-économico-social de la révolte en Egypte en s'approvisionnant en produits alimentaires afin d'éviter les hausses conjoncturelles sur le marché mondial en effervescence ces derniers temps en raison des crises tunisienne et égyptienne. Dans un autre registre, la Bourse de New York a fini à l'équilibre mercredi, marquant une pause au lendemain d'une nette hausse et face à de nouvelles tensions en Egypte: le Dow Jones a gagné 0,02% et le Nasdaq a perdu 0,04%, selon les experts. Depuis vendredi, la bourse de New York a connu une certaine fébrilité et attend des conséquences fâcheuses avec l'embrasement en Egypte. S'agissant de la Bourse de Toronto (Canada), elle a terminé la séance de mercredi en baisse après avoir engrangé ces derniers jours une série de solides gains, les investisseurs ayant gardé un œil sur la hausse du niveau de violence dans les manifestations antigouvernementales en Egypte, affirment les analystes qui restent sceptiques avec la complication de la situation au Caire, capitale en train de remodeler les rapports mondiaux des échanges économiques et commerciaux dans le monde en raison de la situation géopolitique importante de l'Egypte dans le monde et dans les pays arabes. La crise égyptienne a provoqué un véritable séisme dans les Bourses et la structuration des cours du pétrole ces derniers temps alors que certaines monnaies occidentales commencent à s'essouffler. Ainsi, le dollar canadien s'est apprécié de 0,27 cent américain à 101,19 cents US en l'espace de deux jours. Les prix du pétrole ont grimpé de plus de 6 % au cours des quatre dernières séances, certains observateurs s'inquiétant de la possibilité que les événements en Egypte ne perturbent pas trop le trafic dans le canal de Suez. Les experts en pétrole et en investissement estiment que «ce que le marché montre, c'est une résistance extrêmement forte» et savent que «ces événements en Egypte qui avaient inquiété vendredi, on a l'impression que ce n'est plus dans la tête des investisseurs. Dès qu'on a un petit recul des gros titres, on retrouve les acheteurs, qui ont peur de manquer la hausse du marché». Par contre, les investisseurs ont été encouragés par un indicateur meilleur que prévu sur le front de l'emploi aux Etats-Unis. Turbulences désastreuses affectant l'économie mondiale Selon des organismes spécialisés en analyse économique et financière, la poursuite des troubles en Egypte est encore un effet d'entraînement sur la situation économique dans le monde entier. Ainsi, International Financial Brokerage Group (IFBG) a rapporté dans son rapport économique hier que la situation est inquiétante pour l'économie et la finance internationale. Les observateurs estiment également que «les prix du pétrole ont grimpé remarquablement la dernière semaine au milieu des craintes que la crise en spirale en Egypte depuis le 25 Janvier, pourrait entraîner la fermeture du canal de Suez, une voie de navigation internationale vitale, et poussent les prix du pétrole et autres produits de base». Toute décision de fermer le canal de Suez pourrait pousser les prix du pétrole à un record de tous les temps élevé de 200 dollars le baril, selon le rapport, citant les estimations du Venezuela. Les analystes ajoutent que «un tel scénario dramatique va forcer la convocation d'une réunion d'urgence par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) d'élaborer des stratégies de sortie». L'OPEP a déjà préconise un relèvement du niveau de production en prévision de la forte demande et des besoins du marché pétrolier très fébrile ces derniers jours. L'on s'attend à une hausse frénétique et sans précédent des cours du baril du pétrole. Le Fonds alimentaire mondial (FAO) indique que suite à la hausse des prix des produits alimentaires, des risques de famine peuvent surgir dans certains pays du tiers monde. Les problèmes inhérents au trafic amoindri du canal de suez peuvent, en effet, provoquer d'importantes perturbations dans les transports et l'acheminement des denrées alimentaires et des vivres. Aussi, la crise sans précédent égyptienne a poussé le baril du pétrole Brent à son plus haut sommet depuis presque trois années. En effet, «le prix du baril de Brent a dépassé la barre des 103 dollars jeudi dernier, poussé à la hausse par la situation politique en Egypte qui entretient la crainte d'une propagation des violences à d'autres pays du Proche-Orient, selon des analystes et observateurs qui présagent d'autres répercussions néfastes dans le cas où la crise égyptienne persiste et dégénère». Avec l'incendie du gazoduc reliant l'Egypte à Israël non loin de la bande de Ghaza, et l'endommagement du gazoduc desservant la Jordanie crée une tension sur le gaz naturel dans cette région névralgique du Moyen-Orient en proie à des troubles dangereux aux conséquences imprévisibles et dramatiques pour les économies des pays de la région. Tous les pays de la région et même d'autres pays de la rive sud de la Méditerranée s'inquiètent des retombées du désastre politico-économico-social de la révolte en Egypte en s'approvisionnant en produits alimentaires afin d'éviter les hausses conjoncturelles sur le marché mondial en effervescence ces derniers temps en raison des crises tunisienne et égyptienne. Dans un autre registre, la Bourse de New York a fini à l'équilibre mercredi, marquant une pause au lendemain d'une nette hausse et face à de nouvelles tensions en Egypte: le Dow Jones a gagné 0,02% et le Nasdaq a perdu 0,04%, selon les experts. Depuis vendredi, la bourse de New York a connu une certaine fébrilité et attend des conséquences fâcheuses avec l'embrasement en Egypte. S'agissant de la Bourse de Toronto (Canada), elle a terminé la séance de mercredi en baisse après avoir engrangé ces derniers jours une série de solides gains, les investisseurs ayant gardé un œil sur la hausse du niveau de violence dans les manifestations antigouvernementales en Egypte, affirment les analystes qui restent sceptiques avec la complication de la situation au Caire, capitale en train de remodeler les rapports mondiaux des échanges économiques et commerciaux dans le monde en raison de la situation géopolitique importante de l'Egypte dans le monde et dans les pays arabes. La crise égyptienne a provoqué un véritable séisme dans les Bourses et la structuration des cours du pétrole ces derniers temps alors que certaines monnaies occidentales commencent à s'essouffler. Ainsi, le dollar canadien s'est apprécié de 0,27 cent américain à 101,19 cents US en l'espace de deux jours. Les prix du pétrole ont grimpé de plus de 6 % au cours des quatre dernières séances, certains observateurs s'inquiétant de la possibilité que les événements en Egypte ne perturbent pas trop le trafic dans le canal de Suez. Les experts en pétrole et en investissement estiment que «ce que le marché montre, c'est une résistance extrêmement forte» et savent que «ces événements en Egypte qui avaient inquiété vendredi, on a l'impression que ce n'est plus dans la tête des investisseurs. Dès qu'on a un petit recul des gros titres, on retrouve les acheteurs, qui ont peur de manquer la hausse du marché». Par contre, les investisseurs ont été encouragés par un indicateur meilleur que prévu sur le front de l'emploi aux Etats-Unis. Turbulences désastreuses affectant l'économie mondiale Selon des organismes spécialisés en analyse économique et financière, la poursuite des troubles en Egypte est encore un effet d'entraînement sur la situation économique dans le monde entier. Ainsi, International Financial Brokerage Group (IFBG) a rapporté dans son rapport économique hier que la situation est inquiétante pour l'économie et la finance internationale. Les observateurs estiment également que «les prix du pétrole ont grimpé remarquablement la dernière semaine au milieu des craintes que la crise en spirale en Egypte depuis le 25 Janvier, pourrait entraîner la fermeture du canal de Suez, une voie de navigation internationale vitale, et poussent les prix du pétrole et autres produits de base». Toute décision de fermer le canal de Suez pourrait pousser les prix du pétrole à un record de tous les temps élevé de 200 dollars le baril, selon le rapport, citant les estimations du Venezuela. Les analystes ajoutent que «un tel scénario dramatique va forcer la convocation d'une réunion d'urgence par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) d'élaborer des stratégies de sortie». L'OPEP a déjà préconise un relèvement du niveau de production en prévision de la forte demande et des besoins du marché pétrolier très fébrile ces derniers jours. L'on s'attend à une hausse frénétique et sans précédent des cours du baril du pétrole.