L'ombre de la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) a plané, hier, sur les travaux de la rencontre au sommet des trois partis de l'Alliance présidentielle qui s'est tenue au siège du FLN qui assure la présidence tournante de ce groupe politique. « La coordination peut exprimer ses opinions en toute liberté, mais on lui demande de respecter les lois du pays » a indiqué le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, dans son allocution. L'orateur affirme en outre « qu'avec respect nous dirons que chacun peut s'opposer, mais sans semer le trouble ». Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a, lui aussi, évoqué la coordination qui, rappelons-le, a appelé à la tenue d'une marche le samedi prochain après en avoir fait de même le 12 février. Belkhadem, qui n'a pas cependant cité cette coordination, a ainsi indiqué que les trois partis vont examiner la question des marches non autorisées tout en plaidant pour la stabilité du pays . « L'Algérie doit préserver sa stabilité car notre pays est fatigué. C'est pourquoi nous ne voulons pas revenir à l'anarchie et à la confusion et nous sommes en faveur de la prise en charge des revendications des jeunes ». Le patron du FLN a, en effet, explicitement souligné la nécessité d'être constamment à l'écoute des jeunes reconnaissant qu'il y'a des problèmes d'emploi et de logement. Cette position et vite partagée par Ouyahia qui dira, à propos des manifestations des jeunes du début du mois de janvier, que « personne ne peut tourner le dos à ces revendications et ce, malgré les actes de vandalisme qui se sont produits ». Sur le changement que connaissent certains pays arabes, Ouyahia s'est interrogé s'il ne s‘agit pas d'une guerre de civilisations. Les trois leaders ont saisi cette opportunité pour dénoncer les déclarations de certains responsables de pays occidentaux relatives à la marche de la CNCD. « Nous refusons toute ingérence dans nos affaires et dans les affaires des pays arabes » a indiqué Belkhadem en mettant en exergue le deux poids deux mesures de certaines organisations internationales. «Personne ne peut nous dicter notre conduite et où étaient ces pays quand l'Algérie était toute seule dans son combat contre le terrorise dans les années 90. On n'accepte pas que l'Algérie retourne aux malheurs » a souligné Ouyahia. Abpoudjerra Soltani a lui aussi indiqué que l'Algérie ne sera ni l'Egypte, ni la Tunisie, refusant ainsi implicitement les ingérences étrangères et les visées de certaines puissances. Notons que l'Alliance présidentielle va élaborer un document qui contiendra des propositions qui seront soumises au chef de l'Etat . L'ombre de la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) a plané, hier, sur les travaux de la rencontre au sommet des trois partis de l'Alliance présidentielle qui s'est tenue au siège du FLN qui assure la présidence tournante de ce groupe politique. « La coordination peut exprimer ses opinions en toute liberté, mais on lui demande de respecter les lois du pays » a indiqué le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, dans son allocution. L'orateur affirme en outre « qu'avec respect nous dirons que chacun peut s'opposer, mais sans semer le trouble ». Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a, lui aussi, évoqué la coordination qui, rappelons-le, a appelé à la tenue d'une marche le samedi prochain après en avoir fait de même le 12 février. Belkhadem, qui n'a pas cependant cité cette coordination, a ainsi indiqué que les trois partis vont examiner la question des marches non autorisées tout en plaidant pour la stabilité du pays . « L'Algérie doit préserver sa stabilité car notre pays est fatigué. C'est pourquoi nous ne voulons pas revenir à l'anarchie et à la confusion et nous sommes en faveur de la prise en charge des revendications des jeunes ». Le patron du FLN a, en effet, explicitement souligné la nécessité d'être constamment à l'écoute des jeunes reconnaissant qu'il y'a des problèmes d'emploi et de logement. Cette position et vite partagée par Ouyahia qui dira, à propos des manifestations des jeunes du début du mois de janvier, que « personne ne peut tourner le dos à ces revendications et ce, malgré les actes de vandalisme qui se sont produits ». Sur le changement que connaissent certains pays arabes, Ouyahia s'est interrogé s'il ne s‘agit pas d'une guerre de civilisations. Les trois leaders ont saisi cette opportunité pour dénoncer les déclarations de certains responsables de pays occidentaux relatives à la marche de la CNCD. « Nous refusons toute ingérence dans nos affaires et dans les affaires des pays arabes » a indiqué Belkhadem en mettant en exergue le deux poids deux mesures de certaines organisations internationales. «Personne ne peut nous dicter notre conduite et où étaient ces pays quand l'Algérie était toute seule dans son combat contre le terrorise dans les années 90. On n'accepte pas que l'Algérie retourne aux malheurs » a souligné Ouyahia. Abpoudjerra Soltani a lui aussi indiqué que l'Algérie ne sera ni l'Egypte, ni la Tunisie, refusant ainsi implicitement les ingérences étrangères et les visées de certaines puissances. Notons que l'Alliance présidentielle va élaborer un document qui contiendra des propositions qui seront soumises au chef de l'Etat .