Après son expérience de la marche du 12 février passé, la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) va récidiver aujourd'hui en tentant de faire adhérer à la marche à laquelle elle a appelé à Alger un nombre encore plus grand d'Algériens. Le bras de fer engagé avec les autorités va devoir donc se poursuivre en dépit de la précision apportée par le Premier ministre Ahmed Ouyahia quant à la date qui verrait la levée de l'état d'urgence, une des revendications de la CNCD. Le déploiement du dispositif policier au niveau des places stratégiques de la capitale était déjà dès hier très visible. Pour la marche d'aujourd'hui, prévue à 11h 00 sur le même itinéraire que celui de la marche du 12 février à savoir : Place du 1er mai- Place des Martyrs, les animateurs s'attacheront cette-fois-ci à ne pas laisser leur échapper le contrôle du leadership de la manifestation au profit de certaines figures politiques qui, par certains médias interposés, essayent de paraître comme les parrains de l'initiative. Les figures qui tentent de récupérer à leur profit la manifestation appelant au changement du régime politique en Algérie, si elles peuvent disposer d'une assise sociale du reste très faible, ont perdu toute crédibilité aux yeux de la population, estiment nombre d'observateurs. Leur présence dans la marche disent ces derniers, dessert plus qu'elle ne sert la cause. Si on a le souci de parler avec diplomatie pour ne pas indisposer certains membres de la CNCD, tous les doigts pointent en catimini Saïd Sadi, le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie. Contrairement à ce que disent certains, ce n'est pas la présence dans la marche de Ali Belhadj, ex-membre du Front islamique du salut dissous qui pose problème, explique-t-on puisque ce dernier n'a aucun lien ni de près, ni de loin avec la CNCD. Ce qui importe ce sont les revendications que nous hissons nous a dit une source de la CNCD. « Nous voulons une république sociale et démocratique. Nous voulons une république où chaque citoyen serait libre d'exprimer ses opinions et de revendiquer ses droits, la marche est ouverte à tous, femmes et hommes qui adhèrent à nos mots d'ordre : justice sociale, distribution équitable des richesses, ouverture des médias, le droit de constituer des partis et des associations dans le cadre de la loi du pays, etc. ». Rappelons enfin que les marches à Alger ne sont pas autorisées et que l'important dispositif sécuritaire mis en plance est là pour le rappeler. Après son expérience de la marche du 12 février passé, la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) va récidiver aujourd'hui en tentant de faire adhérer à la marche à laquelle elle a appelé à Alger un nombre encore plus grand d'Algériens. Le bras de fer engagé avec les autorités va devoir donc se poursuivre en dépit de la précision apportée par le Premier ministre Ahmed Ouyahia quant à la date qui verrait la levée de l'état d'urgence, une des revendications de la CNCD. Le déploiement du dispositif policier au niveau des places stratégiques de la capitale était déjà dès hier très visible. Pour la marche d'aujourd'hui, prévue à 11h 00 sur le même itinéraire que celui de la marche du 12 février à savoir : Place du 1er mai- Place des Martyrs, les animateurs s'attacheront cette-fois-ci à ne pas laisser leur échapper le contrôle du leadership de la manifestation au profit de certaines figures politiques qui, par certains médias interposés, essayent de paraître comme les parrains de l'initiative. Les figures qui tentent de récupérer à leur profit la manifestation appelant au changement du régime politique en Algérie, si elles peuvent disposer d'une assise sociale du reste très faible, ont perdu toute crédibilité aux yeux de la population, estiment nombre d'observateurs. Leur présence dans la marche disent ces derniers, dessert plus qu'elle ne sert la cause. Si on a le souci de parler avec diplomatie pour ne pas indisposer certains membres de la CNCD, tous les doigts pointent en catimini Saïd Sadi, le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie. Contrairement à ce que disent certains, ce n'est pas la présence dans la marche de Ali Belhadj, ex-membre du Front islamique du salut dissous qui pose problème, explique-t-on puisque ce dernier n'a aucun lien ni de près, ni de loin avec la CNCD. Ce qui importe ce sont les revendications que nous hissons nous a dit une source de la CNCD. « Nous voulons une république sociale et démocratique. Nous voulons une république où chaque citoyen serait libre d'exprimer ses opinions et de revendiquer ses droits, la marche est ouverte à tous, femmes et hommes qui adhèrent à nos mots d'ordre : justice sociale, distribution équitable des richesses, ouverture des médias, le droit de constituer des partis et des associations dans le cadre de la loi du pays, etc. ». Rappelons enfin que les marches à Alger ne sont pas autorisées et que l'important dispositif sécuritaire mis en plance est là pour le rappeler.