L'institution financière internationale de Bretton Woods estime que la croissance soutenue en Algérie est génératrice, vise à résorber le chômage et impulse les investissements publics.En effet, selon ``Econostrum`` la situation se clarifie en Algérie, en soulignant «qu'alors que la contestation politique et sociale se développe sur le terrain (manifestations de 7.000 chômeurs à Annaba, universités en grève, multiples mouvements de grève, manifestations de l'opposition…), la Banque mondiale adresse un satisfecit aux autorités algériennes». Ce site spécialisé dans l'actualité économique et financière en Méditerranée, indique que « concernant la croissance soutenue, l'amélioration de l'équité sociale par d'ambitieux programmes d'investissements publics, l'inversion de tendance après deux décennies de stagnation économique, la gestion macroéconomique prudente, l'amélioration des services sociaux et de l'aide aux personnes défavorisées ainsi que la réduction du chômage et de la pauvreté», l'institution de Btretton Woods ne tarit pas d'éloges, y compris sur le plan politique, à l'égard des pouvoirs publics qui ont réussi, selon elle, à rendre au pays sa stabilité, grâce au « processus de réconciliation nationale et l'augmentation des prix du pétrole ». Ce bilan, établi par le conseil d'administration de la Banque mondiale est rendu public dans la présentation du Cadre de partenariat Stratégique (CPS) pour 2011-2014. Le communiqué ajoute que «la Banque mondiale n'en rappelle pas moins ses fondamentaux parmi lesquels les réformes significatives du climat des affaires, la diversification économique et l'ouverture du commerce». Avec plus de 286 milliards de dollars en termes de réserves de changes (seuil historique), l'Algérie peut concrétiser d'importants projets de réalisation d'infrastructures économiques de base indispensables au développement durable. A. A. L'institution financière internationale de Bretton Woods estime que la croissance soutenue en Algérie est génératrice, vise à résorber le chômage et impulse les investissements publics.En effet, selon ``Econostrum`` la situation se clarifie en Algérie, en soulignant «qu'alors que la contestation politique et sociale se développe sur le terrain (manifestations de 7.000 chômeurs à Annaba, universités en grève, multiples mouvements de grève, manifestations de l'opposition…), la Banque mondiale adresse un satisfecit aux autorités algériennes». Ce site spécialisé dans l'actualité économique et financière en Méditerranée, indique que « concernant la croissance soutenue, l'amélioration de l'équité sociale par d'ambitieux programmes d'investissements publics, l'inversion de tendance après deux décennies de stagnation économique, la gestion macroéconomique prudente, l'amélioration des services sociaux et de l'aide aux personnes défavorisées ainsi que la réduction du chômage et de la pauvreté», l'institution de Btretton Woods ne tarit pas d'éloges, y compris sur le plan politique, à l'égard des pouvoirs publics qui ont réussi, selon elle, à rendre au pays sa stabilité, grâce au « processus de réconciliation nationale et l'augmentation des prix du pétrole ». Ce bilan, établi par le conseil d'administration de la Banque mondiale est rendu public dans la présentation du Cadre de partenariat Stratégique (CPS) pour 2011-2014. Le communiqué ajoute que «la Banque mondiale n'en rappelle pas moins ses fondamentaux parmi lesquels les réformes significatives du climat des affaires, la diversification économique et l'ouverture du commerce». Avec plus de 286 milliards de dollars en termes de réserves de changes (seuil historique), l'Algérie peut concrétiser d'importants projets de réalisation d'infrastructures économiques de base indispensables au développement durable. A. A.