Une commission intersyndicale chargée de concevoir et mettre en œuvre une nouvelle organisation de la gestion des œuvres sociales du secteur de l'Education nationale a été installée hier à Alger. La commission à laquelle participent, en qualité d'observateurs, les représentants du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale et celui de l'Education nationale, comprend les délégués des 7 syndicats agréés du secteur de l'Education nationale. Une commission intersyndicale chargée de concevoir et mettre en œuvre une nouvelle organisation de la gestion des œuvres sociales du secteur de l'Education nationale a été installée hier à Alger. La commission à laquelle participent, en qualité d'observateurs, les représentants du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale et celui de l'Education nationale, comprend les délégués des 7 syndicats agréés du secteur de l'Education nationale. Il s'agit de la Fédération nationale des travailleurs de l'éducation (FNTE), de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST), du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (SATEP) et du Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP). En vertu d'un arrêté ministériel datant du 22 septembre 1994, la gestion des œuvres sociales du secteur de l'Education relevait exclusivement de la FNTE, affiliée à l'UGTA. «Cependant, l'évolution multiforme qu'a connue le pays et notamment en matière de pluralisme syndical qui a permis l'agrément de divers syndicats au sein du secteur de l'Education nationale, a conduit les pouvoirs publics à procéder à des ajustements qui puissent être en harmonie avec les exigences du nouveau contexte», a indiqué le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, en procédant à l'installation de cette commission. C'est pourquoi, le ministère, «qui ne s'est jamais immiscé dans le gestion des œuvres sociales», entend, selon Benbouzid, «accompagner, dans cette nouvelle étape, les organisations syndicales du secteur pour dégager une plate-forme consensuelle qui agrée l'ensemble». L. B. Il s'agit de la Fédération nationale des travailleurs de l'éducation (FNTE), de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST), du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (SATEP) et du Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP). En vertu d'un arrêté ministériel datant du 22 septembre 1994, la gestion des œuvres sociales du secteur de l'Education relevait exclusivement de la FNTE, affiliée à l'UGTA. «Cependant, l'évolution multiforme qu'a connue le pays et notamment en matière de pluralisme syndical qui a permis l'agrément de divers syndicats au sein du secteur de l'Education nationale, a conduit les pouvoirs publics à procéder à des ajustements qui puissent être en harmonie avec les exigences du nouveau contexte», a indiqué le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, en procédant à l'installation de cette commission. C'est pourquoi, le ministère, «qui ne s'est jamais immiscé dans le gestion des œuvres sociales», entend, selon Benbouzid, «accompagner, dans cette nouvelle étape, les organisations syndicales du secteur pour dégager une plate-forme consensuelle qui agrée l'ensemble». L. B.