Le porte-parole du Conseil national de transition libyen, Abdelhafidh Al-Ghouga a démenti avoir accusé le gouvernement algérien de complicité avec le Guide libyen, le colonel Mouammar kadhafi, contre la révolution. Il a indiqué que l'accusation de complicité avec portée à l'Algérie «ne visait pas le gouvernement algérien». Et de préciser avoir parlé «d'informations selon lesquelles des pilotes algériens et syriens travaillant en Libye dans le cadre d'un accord entre l'armée libyenne et les armées de ces deux pays, et portant sur l'entraînement des pilotes de l'armée libyenne, auraient été contraints de combattre aux côtés du colonel Gueddafi». «Nous avons reçu des informations selon lesquelles ces pilotes entraînaient auparavant des soldats libyens et nous pensons que certains d'entre eux ont été contraints de piloter les avions car leurs familles étaient détenues dans des endroits inconnus», a-t-il ajouté. «Parler de pilotes algériens et syriens travaillant comme mercenaires au sein des unités de Gueddafi ne signifie nullement que nous accusons les Etats et gouvernements algériens et syriens d'aider Kadhafi», a-t-il encore ajouté. L'Algérie avait démenti en février dernier «de la manière la plus catégorique, les allégations mensongères colportées» par certains sites électroniques et certaines chaînes de télévision satellitaires sur une prétendue utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye. Par ailleurs, une autre source évoque un lobby marocain à l'origine des allégations colportées par certains opposants libyens dans une tentative d'impliquer l'Algérie dans les évènements que vit la Libye. «La conférence de presse animée vendredi dernier par l'ex-ministre libyen de Migration et des Affaires des migrants, Ali Richi, était orchestrée par un Marocain appelé Mohamed Saïd El Aoufi agissant pour le compte des services secrets marocains sous la couverture d'un correspondant de la chaîne France 24 à Washington où il était attaché de presse de l'ambassade du Maroc dans les années 90», précise-t-on. Le porte-parole du Conseil national de transition libyen, Abdelhafidh Al-Ghouga a démenti avoir accusé le gouvernement algérien de complicité avec le Guide libyen, le colonel Mouammar kadhafi, contre la révolution. Il a indiqué que l'accusation de complicité avec portée à l'Algérie «ne visait pas le gouvernement algérien». Et de préciser avoir parlé «d'informations selon lesquelles des pilotes algériens et syriens travaillant en Libye dans le cadre d'un accord entre l'armée libyenne et les armées de ces deux pays, et portant sur l'entraînement des pilotes de l'armée libyenne, auraient été contraints de combattre aux côtés du colonel Gueddafi». «Nous avons reçu des informations selon lesquelles ces pilotes entraînaient auparavant des soldats libyens et nous pensons que certains d'entre eux ont été contraints de piloter les avions car leurs familles étaient détenues dans des endroits inconnus», a-t-il ajouté. «Parler de pilotes algériens et syriens travaillant comme mercenaires au sein des unités de Gueddafi ne signifie nullement que nous accusons les Etats et gouvernements algériens et syriens d'aider Kadhafi», a-t-il encore ajouté. L'Algérie avait démenti en février dernier «de la manière la plus catégorique, les allégations mensongères colportées» par certains sites électroniques et certaines chaînes de télévision satellitaires sur une prétendue utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye. Par ailleurs, une autre source évoque un lobby marocain à l'origine des allégations colportées par certains opposants libyens dans une tentative d'impliquer l'Algérie dans les évènements que vit la Libye. «La conférence de presse animée vendredi dernier par l'ex-ministre libyen de Migration et des Affaires des migrants, Ali Richi, était orchestrée par un Marocain appelé Mohamed Saïd El Aoufi agissant pour le compte des services secrets marocains sous la couverture d'un correspondant de la chaîne France 24 à Washington où il était attaché de presse de l'ambassade du Maroc dans les années 90», précise-t-on.