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"Il faut une industrie nationale de la sous-traitance et de la pièce de rechange" Le président de l'association des concessionnaires automobile algérienne AC2A :
LE parc national automobile estimé à 5 millions de véhicules dont 25% sont concentrés à Alger, et où pas moins de 285. 000 voitures ont été importées récemment, il ressort que 65% des véhicules des particuliers sont financés par le crédit à l'automobile. LE parc national automobile estimé à 5 millions de véhicules dont 25% sont concentrés à Alger, et où pas moins de 285. 000 voitures ont été importées récemment, il ressort que 65% des véhicules des particuliers sont financés par le crédit à l'automobile. "L'important pour nous consiste à développer le service aux clients et le service après-vente sachant que le marché national de la pièce de rechange absorbe 2 millions de dollars. Il faut, donc une évolution de la pièce de rechange en ce sens que l'automobiliste algérien consacre 230 dollars à l'entretien de son véhicule alors que l'Algérie a déboursé 500 millions de dollars dans l'importation de la pièce de rechange. Il devient impérieux de développer une industrie nationale de la sous traitance et de la fabrication de la pièce de rechange" a notamment déclaré, hier, lors d'une conférence de presse organisée au Palais des expositions de la Safex, Mohamed Bairi, président de l'association des concessionnaires automobile algériens (AC2A). Il ajoute que "l'industrie automobile présuppose un tissu de la sous-traitance qui est une véritable base à faire revivre. Aussi, il est essentiel d'instaurer un dialogue entre les concessionnaires et les pouvoirs publics". Pour ce qui est du Salon international de l'automobile, prévu du 17 au 27 mars prochain à la Safex, Bairi, a souligné que "le but de cet évènement consiste à mettre en adéquation les objectifs des constructeurs avec les attentes du marché et organiser des promotions afin de répondre aux attentes et aspirations du public". Dans un parc national automobile estimé à 5 millions de véhicules dont 25% sont concentrés à Alger, et où pas moins de 285. 000 voitures ont été importées récemment, il ressort que 65% des véhicules des particuliers sont financés par le crédit à l'automobile. Concernant l'épineux problème de la contrefaçon, Bairi a indiqué que "la pièce de rechange contrefaite représente un volume de 2.s500 tonnes et évaluée à 10 millions de dollars saisies aux frontières nationales en 2009". Le conférencier favorise le débat avec le gouvernement pour créer une industrie automobile structurée autour d'un tissu de petites et moyennes entreprises de la sous-traitance. "Il est primordial d'expliquer la situation de notre marché aux constructeurs automobile pour pouvoir bénéficier du transfert technologique et du savoir-faire et exporter vers d'autres pays" a- t-il précisé. Alors que 200.000 visiteurs et professionnels de l'automobile sont attendus à ce salon, pas moins de 40 participants dont 29 concessionnaires exposeront leurs produits. Il y aura également la présence de 2 sociétés de tunning et d'accessoires et 3 sociétés d'assurance et d'assistance. Pour sa part, Omar Rebrab, président de Hyundai Algérie, a affirmé qu'"il faut inviter les concessionnaires à investir dans la fabrication de la pièce de rechange afin d'assurer une intégration nationale de la pièce de rechange (tôlerie, vitrerie et plastique...) et non seulement le montage de la pièce de rechange ".Il prône, par ailleurs, une meilleure communication entre les autorités et les concessionnaires pour réaliser le transfert technologique et le savoir-faire industriel et améliorer les compétences des ressources humaines et de la main d'œuvre. "L'important pour nous consiste à développer le service aux clients et le service après-vente sachant que le marché national de la pièce de rechange absorbe 2 millions de dollars. Il faut, donc une évolution de la pièce de rechange en ce sens que l'automobiliste algérien consacre 230 dollars à l'entretien de son véhicule alors que l'Algérie a déboursé 500 millions de dollars dans l'importation de la pièce de rechange. Il devient impérieux de développer une industrie nationale de la sous traitance et de la fabrication de la pièce de rechange" a notamment déclaré, hier, lors d'une conférence de presse organisée au Palais des expositions de la Safex, Mohamed Bairi, président de l'association des concessionnaires automobile algériens (AC2A). Il ajoute que "l'industrie automobile présuppose un tissu de la sous-traitance qui est une véritable base à faire revivre. Aussi, il est essentiel d'instaurer un dialogue entre les concessionnaires et les pouvoirs publics". Pour ce qui est du Salon international de l'automobile, prévu du 17 au 27 mars prochain à la Safex, Bairi, a souligné que "le but de cet évènement consiste à mettre en adéquation les objectifs des constructeurs avec les attentes du marché et organiser des promotions afin de répondre aux attentes et aspirations du public". Dans un parc national automobile estimé à 5 millions de véhicules dont 25% sont concentrés à Alger, et où pas moins de 285. 000 voitures ont été importées récemment, il ressort que 65% des véhicules des particuliers sont financés par le crédit à l'automobile. Concernant l'épineux problème de la contrefaçon, Bairi a indiqué que "la pièce de rechange contrefaite représente un volume de 2.s500 tonnes et évaluée à 10 millions de dollars saisies aux frontières nationales en 2009". Le conférencier favorise le débat avec le gouvernement pour créer une industrie automobile structurée autour d'un tissu de petites et moyennes entreprises de la sous-traitance. "Il est primordial d'expliquer la situation de notre marché aux constructeurs automobile pour pouvoir bénéficier du transfert technologique et du savoir-faire et exporter vers d'autres pays" a- t-il précisé. Alors que 200.000 visiteurs et professionnels de l'automobile sont attendus à ce salon, pas moins de 40 participants dont 29 concessionnaires exposeront leurs produits. Il y aura également la présence de 2 sociétés de tunning et d'accessoires et 3 sociétés d'assurance et d'assistance. Pour sa part, Omar Rebrab, président de Hyundai Algérie, a affirmé qu'"il faut inviter les concessionnaires à investir dans la fabrication de la pièce de rechange afin d'assurer une intégration nationale de la pièce de rechange (tôlerie, vitrerie et plastique...) et non seulement le montage de la pièce de rechange ".Il prône, par ailleurs, une meilleure communication entre les autorités et les concessionnaires pour réaliser le transfert technologique et le savoir-faire industriel et améliorer les compétences des ressources humaines et de la main d'œuvre.