Les cours du pétrole baissaient légèrement hier en cours d'échanges européens, en raison d'une hausse des stocks pétroliers américains et de la persistance d'inquiétudes liées à la situation en Libye. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai s'échangeait à 114,72 dollars en fin de matinée, en baisse de 44 cents par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 49 cents à 104,30 dollars. Les prix pliaient sous le poids d'une nette hausse des stocks de brut aux Etats-Unis selon l'Institut du pétrole américain (API) à la veille de la publication du rapport officiel publié par le Département américain de l'Energie (DoE) hier. Selon des analystes le DoE devrait faire état d'une hausse de 1,5 million de barils des stocks américains de brut sur la semaine dernière, tandis que les réserves d'essence auraient chuté de 1,7 million de barils et les produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage) de 400.000 barils. "Du fait des événements au Japon et en Libye, le rapport du DoE a été ignoré ces dernières semaines, mais l'attention des investisseurs commence à se détourner de ces événements" et devrait de nouveau se porter sur les stocks américains, commentait l'un d'entre eux. Les cours du pétrole baissaient légèrement hier en cours d'échanges européens, en raison d'une hausse des stocks pétroliers américains et de la persistance d'inquiétudes liées à la situation en Libye. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai s'échangeait à 114,72 dollars en fin de matinée, en baisse de 44 cents par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 49 cents à 104,30 dollars. Les prix pliaient sous le poids d'une nette hausse des stocks de brut aux Etats-Unis selon l'Institut du pétrole américain (API) à la veille de la publication du rapport officiel publié par le Département américain de l'Energie (DoE) hier. Selon des analystes le DoE devrait faire état d'une hausse de 1,5 million de barils des stocks américains de brut sur la semaine dernière, tandis que les réserves d'essence auraient chuté de 1,7 million de barils et les produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage) de 400.000 barils. "Du fait des événements au Japon et en Libye, le rapport du DoE a été ignoré ces dernières semaines, mais l'attention des investisseurs commence à se détourner de ces événements" et devrait de nouveau se porter sur les stocks américains, commentait l'un d'entre eux.